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Anonymous

Invité

« des bleus au coeur » (solal)
Ven 3 Juin - 15:26


 
Solal Alighieri
« des bleus au coeur. »
 Nicolas Simoes ; Gotta be somebody


nom complet ;  Solal, Alejandro Alighieri
âge ; vingt-six ans.
date & lieu de naissance ; le vingt-et-un juin à Vérone.
nationalité ; italien de naissance, et des origines colombienne.
activité professionnelle ; médecin urgentiste.
études ; des études de médecine, et des stages de secourisme.
situation financière ; aisé.

:coeur: état civil ; Célibataire, un électron libre.  
:coeur: orientation sexuelle ; les jolies courbes féminines, hétérosexuel.

L'indépendance à l'état brut. Un électron libre , qui s'égare ici et là sans jamais réellement s'attarder. Il vogue au grès de ses envies. Solal, c'est un fauve, un animal à apprivoiser qui ne peut s'empêcher de n'en faire qu'à sa tête.  Solal n'est pas vraiment le genre d'homme à suivre les règles. C'est plutôt le genre d'homme qui fonce dans l'tas, qui n'hésite pas à relever ses manches pour venir étaler ses propres règles. Il n'a peur de rien, ni de ces lois qui emprisonnent les êtres humains, qui les condamnent à n'être que de simples "pantins", ni même des conséquences qui adviennent parfois. Elles n'ont qu'à surgir, d'un instant à l'autre, et sa ruse lui permettra de les dompter. Il n'a pas peur lui, aprés tout, la peur empêche l'homme de vivre. C'est un solitaire, un jeune-homme qui ne suit uniquement ses propres règles. Il se fiche de tout, des règles , des conséquences et plus particulièrement des personnes qui l'entourent. Solal, il n'en fait qu'à sa tête. Et puis, c'est un homme. Un homme qui cache ses moeurs, enfouie chacun de ses maux à l'intérieur de son être. ça s'accumulent comme un vulgaire tas d'ordures. L'italien a le sang-chaud, et les jurons s'égarent bien souvent entre ses lèvres pour se disperser dans l'air. Les mots tonnent  avant que les mains ne s'en mêlent. Solal, c'est un bagarreur, un jeune-homme dont les origines italiennes s'enflamment trés souvent à l'intérieur de lui. Des coups échangés, des visages balafrés , les ruelles italiennes sont parsemées de petits ignares qui succombent à l'aube.  Solal, et ses idées noires. Un jeune-homme qui semble en perpétuelle quête de rébellion contre son patronyme. Alighieri, un fardeau qui le consume de l'intérieur. Pourtant, Solal est bien plus qu'un amas de mots péjoratifs. Au fond, c'est un homme attentionné qui prends soin des rares personnes qui compte à ses yeux. Les évènements passés l'ont fragilisé, ont entaché le jeune-homme pleins d'ambitions qu'il est réellement. Pourtant, il continue malgré lui à veiller sur les autres. Il est comme ça Solal. Pleins d'antithèses, à repousser la moindre once d'attachement, et pourtant, à veiller sur les autres. Tout un tas de contradictions résident en lui.  
Comme une grande partie de sa génération le jeune-homme s'est pris d'affection pour de nombreuses substances. Solal enchaîne les doses de caféïne, un stimulant d'énergie dont il ne cesse d'abuser la consommation. Alors, une fois les doses ingurgitées, les nuits sont trés vites écourtées. Des nuits qui se transforment en de petits footings, des moments d'évasions où il largue son énergie à travers la nuit.  Courir à perdre haleine. Le sport, c'est son domaine. Cette évasion quotidienne qui lui permet de canaliser son énergie. Et si sa génitrice s'en mords parfois les doigts, Solal n'est pas prêt à abandonner  la boxe. Enchaîner les coups, les éviter, basculer sur ses appuis, virer légèrement à la droite puis à la gauche. La technique rejoint l'ambition, et chacun des coups doit abattre l'adversaire. Et malgré ses penchants pour le sport, et ses indénombrables activités physiques, Solal s'est égaré. Il a succombé à ces petits tubes cancérigènes, à la nicotine, et ne peut ainsi s'empêcher d'enchaîner les paquets de cigarettes. Une odeur définie comme exécrable d'après sa cadette, un adjectif qui ne l'empêche pourtant pas de poursuivre sa consommation. La vie de Solal est la représentation même de ce qu'il est. Elle est à la hauteur de ses antithèses intérieures, digne de toutes ces interrogations qui demeurent en lui, et de cette impulsivité qui surgit parfois. Solal, il vit à cent-à-l'heure. C'est probablement pour cela qu'il se refuse d'abandonner son poste d'urgentiste. Il pourrait évoluer, bifurquer dans une médecine plus spécialisée, mais Solal, il préfère la vivacité des urgences. Ces indénombrables situations qui peuvent survenir d'un instant à l'autre. L'adrénaline de l'instant.

Love at first sight
Le bashert, encore une invention humaine destinée à vendre un peu d'espoir au plus naïf d'entre-nous. Ce mot, suffit à lui-seul à faire relever les prunelles du jeune-homme vers les cieux. Un mot qui amène un flot d'exaspération. Le jeune-italien est d'avantage porté sur la réalité que sur l'illusion même d'un éventuel "bashert". Il y croit, comme un homme d'une trentaine d'année croit au père noël. Et même si sa cadette ne cesse de lui râbacher l'éventualité de l'existence même d'un bashert, lui, il se contente simplement de sourire. L'existence d'un bashert, quel qu'il soit, n'est définitivement pas pour un homme comme lui. Y croire, reviendrait à s'abandonner à une naïveté dont il renie aujourd'hui la moindre existence. Le bashert est un attachement, et même l'attachement n'est pas digne d'existence aux yeux de Solal. Lui, il fuit l'attachement comme la peste. Il se refuse le moindre attachement dans l'espoir de ne jamais perdre le contrôle de soi. Solal, a déjà goûté au fruit défendu de l'amour, à cet attachement réciproque qui fini subitement par devenir un fardeau. L'attachement l'a consumé de l'intérieur, l'a détruit, et la chute fut vertigineuse. Alors, il se refuse une nouvelle fois de croire à ces idioties de Bashert, ou bien même de s'abandonner naïvement au moindre attachement. Il préfère renier ses sentiments, que de finir dans la désillusion. Croire au Bashert, c'est comme croire au bonheur de l'amour, on boit des illusions, on se fait des films, on goûte au bonheur, et puis au final, c'est l'auto-destruction. C'est donner un moyen à quelqu'un d'atteindre notre personne, et d'en être le vulgaire pantin. Alors, Solal il rit au nez de ces naïfs qui crient haut-et-fort avoir trouvé leur bashert. Un bashert sexuel, un bashert amoureux, un bashert amical, tellement d'idioties qu'un Bashert de compagnie pourrait un jour ou l'autre voir le jour. L'être-humain ne sait apparemment plus quoi inventer pour donner de l'illusion au monde.

La famille Alighieri est une famille originaire de Vérone depuis des siècles. Solal est né, et a vécu tout au long de sa vie dans les abords de cette ville. Il connait ainsi chacun des recoins de cette jolie-ville d'italie. Les ruelles étroites et les bâtisses ensoleillées n'ont aucun secret pour ce jeune-homme. Et bien que les proverbes se rejoignent dans le monde entier pour émettre le fait qu'aucun être-humain n'est satisfait de son propre pays, de sa ville d'origine. Et que l'herbe semble toujours plus verte chez ses voisins, le jeune-homme n'a quant-à-lui jamais émit l'hypothèse de partir. Et pourtant, il aurait pu. Il aurait peut-être apprécié s'éloigner de l'emprise familiale, cependant, vivre loin de Vérone serait trés vite bien monotone. L'italien qu'il est, possède l'italie en lui. Solal entretient des rapports conflictuels avec son géniteur. Il a beau être son unique fils, un descendant pour la famille, le jeune-homme n'a jamais suivi les précieuses ambitions de son père. Héritier d'un patronyme, Solal a toujours renié les obligations familiales au profit de ses propres volontés. Des écarts de conduite, une liberté trés peu appréciée par son géniteur et qui finirent très vite par entacher les relations paternelles. D'indénombrables petites querelles. Solal n'a jamais accepté d'intégrer l'idéologie même de la famille Alighieri. Le savoir-vivre italien, les bonnes moeurs, des bonnes manières et une attitude qui frôle l'hypocrisie. Des non-dits, l'apprentissage du mensonge pour ne pas froisser l'interlocuteur. Des attitudes qui divergent du comportement même du jeune-italien. Suivre les règles du paternel aveuglément, le jeune-homme n'en a jamais été capable. Il voulait être lui-même, et non un pantin soigneusement formaté aux exigences de la famille Alighieri.  Il aurait dû être avocat, et suivre les pas de son géniteur pour prolonger l'influence de la famille Alighieri. Il n'en fit rien. Lui qui n'a jamais suivit les lois, les apprendre était tout bonnement impensable. Son père défends l'argent, pas l'homme en tant qu'être humain. Tout ce qui importe son géniteur c'est d'amasser de l'argent. Et s'il aurait aimé que son fils défendent des riches , qu'ils soient coupables ou non, Solal c'est quant-à-lui dirigé à l'opposé même des exigences de son géniteur. Des études de médecine, pour se dévouer aux autres. Pendant qu'un Alighieri s'enrichit sur le dos des plus pauvres, l'autre sauve des vies, les soigne sans se soucier d'une quelconque rémunération.  Son travail, il l'exerce par passion, et s'il pourrait tout-à-fait évoluer dans une unité divergente des urgences, il refuse. La rémunération n'est pas celle d'un chirurgien, et ses diplômes sont bien au-dessus des simples compétences d'un médecin urgentiste. Pourtant, Solal ne pourrait abandonner son unité. Il préfère le rythme quasi-interminable des urgences, de l'influence qui survient à tout instant, et de ces patients à vif. La routine est inexistante, et c'est justement ça qui permets à Solal d'y perdre pieds. De jour, comme de nuit, le jeune-homme s'y dépense corps et âme.   Conservatrice, la vieille famille Alighieri avait déjà prédit le mariage du jeune-homme. Un mariage arrangé, une de ces sottises qui ne peut empêcher le jeune-italien de sortir de ses gonds. Il était impensable pour l'italien de se lier officiellement à une jeune-femme, et encore moins pour simplement satisfaire les exigences de sa famille. Alors, même si cette alliance aurait pu permettre de consolider d'avantage la notoriété de sa famille, Solal n'en fit rien.   L'amour, c'est un sentiment qu'il a connu. Un ressenti auquel il a cru. Autrefois, quand il était encore naïf. Et puis le sentiment d'amour a dérivé, il est tombé de haut , et s'est retrouvé au plein coeur de la haine.   Gamin, le jeune-homme ne pouvait s'empêcher de remanier habilement les règles du jeu au fur-et-à-mesure de la partie. Une manière comme une autre d'obtenir ainsi la victoire. C'était un mauvais-joueur, un garçon prêt à tout pour s'octroyer une victoire. Quel qu'en soit le prix.   Cette hargne de vaincre se retrouve aujourd'hui dans sa passion. Il enchaîne les coups, percute son adversaire et le poignarde à chaque instant. La boxe taï, où tout les coups sont permis. Les règles se brisent, volent en éclats, une représentation même de sa vie. Lui qui envoie valser la vie. Alors, il n'est pas rare qu'il revienne avec de jolis hématomes, de petites marques violacées qui font grincer des dents sa génitrice. Il est parsemé de coups, le visage balafré pour une dizaine de jour. ça entache l'image de la famille Alighieri, et de ce prétendant véronais au corps d'Apollon.  10» Loin d'être sentimental, sa petite soeur demeure la prunelle de ses yeux. Solal veille sur elle, et n'hésite jamais à intervenir entre elle et leur géniteur. En vain, car peut importe les ambitions personnels de sa cadette, celle-ci fini toujours par se rallier aux exigences de leur géniteur.  11» Grand consommateur de produits addictifs, le jeune-homme est un addict de cette substance cancérigène appelée "nicotine". Il ne peut s'en empêcher, les mauvaises habitudes ont la vie dure, et les tubes cancérigènes s'enchaînent au fur-et-à-mesure de la journée. A cette addiction s'associe la caféine, une substance énergisante qui stimule un peu plus ce corps.    12» Bien loin des habitudes de sa génération, le jeune-homme n'est pas un consommateur d'alcool. Rare sont les boissons alcoolisées qui s'immiscent dans sa gorge. Il se contente simplement de savourer la douceur des vins rouges. De douces substances qui stimulent son palet sans pour autant envenimer son esprit. Boire à s'en vider la tête n'a jamais figuré dans les ambitions du jeune-homme.  13» Un crayon qui traîne, un moment d'ennui, et Solal gribouille quelques courbes. Un passe-temps , auquel il s'adonne parfois et qui lui permettait autrefois de gagner un peu d'argent sans être dépendant financièrement de son géniteur. Une fois penché sur une feuille, le crayon devient une part-entière de lui-même.  14» Solal a terminé ses études à Paris, jolie capitale européenne qui fut une véritable expérience pour le jeune-homme. Une simple année, une petite année qui a suffi au jeune-homme à maîtriser les bases de la langue française. Alors, quand une personne l'agace un peu trop, Solal n'hésite pas à utiliser les mots de Molière. Une habile petite manière de passer ses nerfs sans irriter un patient déjà indésirable. D'ailleurs, il n'est pas rare que le jeune-homme profite de ses connaissances de la langue française pour taquiner sa cadette.  15» Comme un bon nombre d'italien de sa génération, Solal n'était pas dans l'obligation de réaliser sa conscription. Pourtant, la pression paternelle exercer sur sa personne l'a conduit à réaliser son service militaire. Loin d'être un supplice ou une quelconque punition à ses yeux, le jeune-homme a trouvé au sein de cette expérience un véritable savoir-vivre. D'ailleurs, Solal a failli s'engager définitivement au sein de l'armée Italienne à la fin de son service militaire.    16» Aventurier, il n'est pas rare que le jeune-homme s'accorde quelques jours de répit pour partir à l'aventure. Un camping sauvage, l'escalade d'un volcan, ou bien même la descente en rappel d'une falaise, tout est bon pour stimuler l'intégralité de ses sens. Solal n'a peur de rien, et les sensations fortes permettent au jeune-homme de lâcher-prise, le temps d'un instant.  17» Hyperactif, le jeune-homme a pourtant extrêmement de difficulté à s'extirper de l'emprise de Morphée. Chaque matin, c'est un véritable petit combat entre la douceur des draps et le monde réel. Alors, quand sa cadette s'en mêle, les râles défilent. Des raclements de gorge, de petits grognements de mécontentement qui ne peuvent qu'amuser sa petite soeur.   18» A force de fréquenter l'univers médical, le sang est devenu extrêmement banal à ses yeux. Un vulgaire constituant du corps humain qui se coagule, glisse en nos veines et s'y échappe parfois en une marée rougeâtre. Des hémorragies , des piqûres,  une vulgaire banalité aux yeux du jeune-médecin.   19» Gamin, ses parents l'empêchaient de perdre son temps avec les consoles de jeux électroniques. Alors, Solal marchandait lui-même avec ses camarades de classe pour obtenir les derniers jeux qu'il cachait ensuite sous son matelas. Une petite ruse enfantine qui fonctionna pendant de nombreuses années. D'ailleurs, plus tard, lorsque son attitude n'était pas digne des exigences de son géniteur, il était puni de téléphone portable. Une punition qui ne cessait inlassablement d'être renouvelée. Alors, le jeune-italien avait fini par glisser sa carte sim dans un autre téléphone. Une autre de ses ruses qui lui permettait de continuer à correspondre avec ses amis malgré l'interdiction. 20» Il a beau être à l'écart du monde, prétendre se foutre des autres, Solal participe anonymement à de nombreuses œuvres caritatives. Il finance de nombreuses recherches, et n'hésite pas à larguer d'astronomiques sommes pour permettre à des personnes de vivre mieux, de profiter d'avantage de leur vie. Des virements qui font perdre la tête à son géniteur.


who i am wasn't good enough
Pseudo ; spleen.ocean âge ; la vingtaine. pays ; france. fréquence de connexion/RP ; 7j/7. un dernier mot ;  :superman: .

Type de personnage : inventé
« des bleus au coeur » (solal)
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