Wealth is the ability to fully experience life.
 jamie dornan ; hey soul sister

nom complet ; sorabella, un nom qui sonne familier aux oreilles des habitants de la belle Vérone, la dynastie y a ancrée ses racines depuis des décennies et ils sont si nombreux qu'il est impossible que vous n'en ayez pas au moins un dans votre entourage. rafael, mais il n'y a guère encore que sa mère qui ne l'appelle ainsi, l'entendre de la bouche de son épouse est le présage d'un moment délicat. on l'appelle plus communément rafa.
âge ; 33 ans, la trentaine tout juste dépassée, après une ascension professionnelle fructueuse c'est le moment de penser plus sérieusement à fonder une famille.  
date & lieu de naissance ; 9 janvier 1983, Vérone.
nationalité ; italienne, s'il a beaucoup voyagé il n'a jamais souhaité quitter l'Italie pour vivre ailleurs.
activité professionnelle ; asset manager, gérant de portes-feuilles, gestionnaire d'actifs, appelez ça comme vous voulez, son métier est de rendre les riches encore plus riches et d'empocher une marge confortable en restant derrière un écran ou accroché à son téléphone tout en profitant des avantages : magnifique voiture et déjeuners d'affaires au frais de la société.  
études ; il a réalisé des études de finance et de droit à l'université de Milan.  
situation financière ; plus que confortable, son salaire fixe est à cinq chiffres, les bonus annuels aussi.
état civil ; marié depuis quelques années déjà dans la plus belle tradition catholique.
orientation sexuelle ; il n'aime que les femmes et leur décolleté vertigineux.  



Rafael, on a longtemps cru qu'il n'était intéressé que par l'argent et les portes que ça lui ouvrait. Evidemment il a profité d'un statut apprécié par la gent féminine, il ne s'en cache pas et il ne regrette pas. Le généreux argent de poche dont il bénéficiait lui donnait accès à ce qu'il pensait être le plus important : les soirées mondaines et les excès, les belles filles, les jolies voitures, les bouteilles de champagnes hors de prix et encore les belles filles, dans des robes toujours plus chères. Il ne s'était jamais posé de question sur l'amour et ce que ça représentait, sa vie de célibataire enchaînant les conquêtes le satisfaisait et il n'y avait donc pas lieu de s'interroger sur un mode de vie différent. Les petites amies qu'il avait ici et là, de temps en temps, jamais plus de quelques mois, le lassaient rapidement et jamais vraiment il n'avait cru lui même que les choses pourraient être différentes. Pour lui l'amour et la notion d'âmes soeurs étaient des choses lointaines et dont il n'avait pas besoin dans son monde où tout avait un prix. Et puis Chiara était arrivée, elle et son empathie, sa tolérance et son ouverture sur le monde, elle et son sourire, ses longues jambes et son froncement de nez sexy, et elle avait tout changé. Si il ne ressentait pas avant le besoin quelconque d'amour, à présent qu'il y avait goûté il savait qu'il ne pourrait s'en passer. Bien meilleure que n'importe laquelle des drogues, Chiara était devenue sa dose quotidienne, la raison pour laquelle il se levait le matin. Comment c'est arrivé ? Il ne le sait pas vraiment. Pourquoi s'est-il mis à l'aimer elle et pas une autre ? Probablement parce qu'elle est si spéciale. En aimera-t-il une autre un jour ? Il ne le sait pas, mais il y a quelques mois il était incapable d'en douter, aujourd'hui les choses ont encore changées.


« Alors, qu’est-ce qu’il a dit ? » demande-t-il. Il pose ses yeux sur elle et à l’instant où elle ouvre la bouche pour répondre, elle s’effondre. Rafael sent un frisson le parcourir le long de son dos, c’est désagréable, elle n’a pas besoin de parler pour qu’il comprenne, ses larmes suffisent, elles disent déjà tout. Il vient la prendre dans ses bras et il la serre fort contre lui, sans un mot, dans le plus grand des calmes. Il presse ses lèvres contre son front et continue de l’éteindre en attendant qu’elle se calme, il lui murmure que ça va aller même s’il n’en est pas sûr. Elle relève le visage vers lui et il passe doucement sa main sur sa joue, « J’suis désolée, » souffle-t-elle, et il ne sait pas quoi lui répondre, alors il lui adresse un léger sourire et dit « Ne le soit pas, on va trouver une solution, » et d’une certaine façon, il se dit que c’est possible, il a toujours trouvé des solutions à tous ses problèmes, il ne veut pas s’inquiéter. Ce n’est pas grave.
Ils ne peuvent pas se briser tous les deux, il faut que l’un d’eux tienne le choc, tienne debout, pour eux, pour continuer. Les jours passent et le cœur de Chiara s’allège, elle finit par le croire quand il lui dit qu’ils vont trouver une solution et que ça va aller, mais plus elle y croit et moins il le lui dit, et moins il le lui dit, moins il y croit lui-même, et c’est à son tour petit à petit de s’interroger. Rafael travaille plus tard et même lorsqu’il est présent, son esprit est absent, ailleurs, distrait, alors il finit par quitter les lieux physiquement, il sort tard, va voir des amis, passe du temps avec ses frères et sœurs, il l’évite et au fond il sait que c’est mal mais il ne sait pas comment gérer sa présence, il ne sait pas quoi faire face à elle. Il lui en veut même s’il sait que ce n’est pas de sa faute, mais il l’aime et voudrait que les choses reviennent à la normal, il voudrait réussir à penser à autre chose.
Un dimanche midi, le temps semble s’arrêter, face à leurs familles ils redeviennent ce couple beau sous tous les angles, il se complaît de leur sourire et de leur bonne humeur, de cette impression d’être à nouveau un couple banale et sans problème, un couple idéal. La pression remonte alors qu’il s’installe dans la voiture pour rentrer et que Chiara s’installe à ses côtés. Elle pose sa main sur la sienne avant qu’il ne démarre et il tourne le regard vers elle. Ils s’observent longuement et elle finit par briser le silence « Rafa, il faut qu’on parle… » lui soupire « Je sais, Chiara, écoute, c’est juste que… J’ai besoin de réfléchir un peu à tout ça,
- Mais ça fait des semaines et tu ne me dis rien !
- Je sais.
- Arrête de dire que tu sais, dit autre chose.
- …
- Tu m’en veux ?
- Non.
- Rafael… »
Il détourne le regard et démarre la voiture.
Giovanni Sorabella fulmine alors que Matteo quitte la maison, il se lève, tape du poing sur la table et entre dans une colère noire, tout le monde autour est silencieux, encore surpris de la nouvelle, sauf Jago, déjà au courant, et Rafa, que ça fait presque sourire. Mme Sorabella tente de calmer son mari et ils quittent la pièce, chacun commence alors à se lever, sans un mot ni un commentaire pour ce qui vient de se passer. Rafa se penche vers Tony assise juste à côté de lui et il vient lui souffler à l’oreille « C’est le moment où on s’éclipse, tu me suis ? » la benjamine hausse les sourcils avec curiosité avant d’hocher la tête, ils se lèvent alors et saluent brièvement les autres avant de quitter à leur tour la maison. Rafael se dirige vers sa voiture et monte à l’avant, d’ailleurs il n’y a pas d’arrière, c’est une trois portes coupée sport ; toute en vanité, pas de place pour des passagers supplémentaires et superflus. Quand ils sont à l’intérieur de l’habitacle, tous les deux, il soupire et met le contact avant de tourner les yeux bleus vers sa sœur « J’ai besoin d’une bière après ce que je viens d’entendre, lui dit-il, même si finalement ça a un certain sens… » la voiture démarre et se lance, Antonia commente « C’est totalement dingue, je n’ai jamais vu papa comme ça,
- Moi non plus, à vrai dire, répond-t-il les yeux rivés sur la route, et je pense qu’on va en entendre parler pendant très longtemps,
- Qu’est-ce qui va se passer pour Matt ?
- Je ne sais pas, »
En réalité, il a bien une idée, mais il préfère ne pas y penser. Il gare rapidement la voiture et ils vont dans un bar, sans se poser de question il commande deux bières, considère que du haut de ses quinze ans Antonia est assez grande à présent pour prendre la décision de boire ou non. Elle ne rechigne pas. Finalement les verres s’enchaînent, Rafa s’amuse de la témérité de sa sœur et après la bière ils goûtent à des potions plus relevés si bien que les phrases de Tony deviennent petit à petit incompréhensible, ce qui a le don de faire encore plus rire Rafael. Mais pour chaque verre qu’elle ingurgite il en boit le double, et ils suivent les derniers clients à l’extérieur du bar quand enfin les portes ferment. Rafa jette un œil à sa montre et vient s’asseoir sur le capot de sa voiture. Tony tangue et tente de prendre place à côté de lui, il l’aide un peu, passe son bras autour de ses épaules pour l’attirer près de lui tout en riant, « Tu ne vomis pas, hein ? » lui demande-t-il, et elle secoue la tête avant de se mettre à rire à son tour, « Tu veux danser ?
- Hein ? fait-elle,
- Attend… » souffle-t-il, il descend du capot et ouvre la portière de la voiture pour se pencher à l’intérieur, là, il allume la radio et monte le son suffisamment fort pour que l’on puisse l’entendre de l’extérieur. « - Mademoiselle ? » et il tend sa main vers sa sœur, qui, gloussant, l’attrape et vient le rejoindre sur le trottoir pour partager une danse vacillante.

Pseudo ; diktat âge ; 23 dimanche pays ; france. fréquence de connexion/RP ; as much as possible, deux à trois rp par semaine en moyenne. bref avis sur le forum ; pure beauty. comment l'avez-vous découvert ? bazzzz. un dernier mot ; love   .

ENCORE UN SORABELLA
Toi en plus
J'vais te garder à l'oeil.

En tout cas, c'est parfait. Fais juste attention aux petites fautes d’inattentions. (Je dis ça, mais il m'arrive aussi d'en faire) C'est amusant de découvrir vos fiches, on retrouve des bouts d'histoires qui s'égare d'un Sorabella à l'autre. Puis, j'ai hâte de découvrir les aventures des Sorabella. Gardes-moi un lien (saloupiot que tu es.) Car au final, j'pense que Solal et Rafa pourraient probablement bien s'entendre.