she burns like rum on the fire. (giorgina) Dim 26 Juin - 21:33
Giorgina Robertini
she burns like rum on the fire alexis ren ; Here without you
nom complet ; Après de longues hésitations, les parents de la jeune femme décidèrent de donner à leur enfant Giorgina comme premier prénom. Il n'a pas forcément de signification particulière à leurs yeux, ou du moins ils en ont fait jamais part à la jeune femme. Elle a pour deuxième prénom Elena qui était le prénom de sa grand-mère paternelle et Maria celui de sa grand-mère maternelle. Elle préfère ne pas mentionner son nom de famille ou le moins possible, car en effet elle est une Robertini et tout le monde à Vérone sait parfaitement que sa famille est liée à la mafia italienne, ce qu'elle déteste bien évidemment par-dessus tout. âge ; Giorgina vient tout récemment d'avoir dix-neuf ans, la majorité en Italie, mais on lui a toujours dit qu'elle faisait plus, ce qui n'est pas pour lui déplaire pour le moment. date & lieu de naissance ; Elle est née un bon matin d'été, le vingt-trois juin 1997 dans un petit hôpital de Vérone où ses frères et soeurs sont nés avant elle. nationalité ; Elle est italienne et c'est le cas dans sa famille depuis maintenant huit générations. Sa grand-mère maternelle lui a tout de même avoué qu'un peu de sang islandais coulait dans ses veines. activité professionnelle ; Elle vient tout juste de terminer le lycée avec des résultats excellents, pour entrer l'année prochaine dans une école supérieure. Malheureusement depuis la mort de son père à l'âge de seize ans, elle a décidé de quitter sa mère car elle sait qu'elle est impliquée indirectement dans sa mort. N'ayant plus aucun contact avec celle-ci elle finance son école en étant serveuse et strip-teaseuse. études ; Elle a réussi à entrer dans l'école de danse classique et contemporaine de ses rêves. situation financière ; Si elle n'allait pas dans une des meilleures écoles de danse elle vivrait sans doute beaucoup mieux que maintenant, mais elle est dans la classe moyenne. Ce n'est pas un désastre total, mais elle qui ne voulait jamais devenir strip-teaseuse dans le bar où elle travaillait, elle a fini par le devenir sinon elle croulerait sous les dettes et les factures. état civil ; La jeune femme étant battue par son ex petit-ami et violée par le meilleur ami de son père, elle est désormais célibataire et sa tête lui interdit de rencontrer qui que cela soit en amour, même si son coeur est encore en train de tomber amoureux. orientation sexuelle ; Elle ne l'a jamais caché et l'affirme fièrement qu'elle est bisexuelle. D'après elle, on ne tombe pas amoureux du sexe, mais de la personne.
Giorgina est une fille bien plus forte et courageuse que ce qu'elle n'y parait. Mais elle est impulsive, insouciante des choix qu'elle peut prendre dans sa vie et souvent immature. En apparence elle peut être très froide, mais lorsqu'on la connaît elle peut être la fille la plus souriante que l'on connaît A l'âge de dix-sept ans elle a été violée par un homme qui appartenait au même gang que son père. Cet évènement l'a endurcie et l'a rendu hostile envers toutes relations amoureuses. Pour se détendre elle fait du yoga, même si pour l'instant elle n'a pas encore vu ses résultats. Sa famille appartenant à la mafia italienne elle baigne dans la drogue depuis sa naissance, même si elle n'en a jamais vraiment pris. Mais elle boit énormément et fume beaucoup trop pour son âge. Maintenant qu'elle fait des strip-teases dans le bar où elle travaille, elle a peur que quelqu'un de son école de danse la reconnaisse et la balance au directeur. Elle a l'habitude d'aller tous les matins acheter des croissants et des pains au chocolat à la boulangerie en bas de chez elle. Depuis maintenant trois mois elle fait du bénévolat dans les quartiers pauvres ou/et mafieux parce qu'elle ne veut pas que ces enfants deviennent comme elle.
Love at first sight
Giorgina était le genre de fille à croire aux âmes soeurs. Selon elle il y avait quelqu'un dans le monde, homme ou femme qui lui avait été destiné dès sa naissance. A ce moment là la seule chose qu'elle espérait est que cette âme soeur parlerait la même langue que la sienne. Malheureusement la jeune femme changea totalement d'avis lorsqu'elle a été violée à l'âge de dix-sept ans par un homme de la mafia qui était soit disant un ami de son père. A cause de cela elle n'a même pas pu savoir ce que cela faisait d'aimer et d'être aimée. Depuis, elle reste aussi loin qu'elle peut des relations amoureuses parce que pour elle ce n'est que des histoires que l'on raconte aux enfants et enchaîne les coups d'un soir les uns après les autres. Femmes, hommes, mariés, célibataires. Elle n'hésite même pas à briser des familles, tout cela pour se sentir mieux. D'après elle, cela lui permet de profiter de tous les plaisirs sans souffrir. Mais au fond elle n'a jamais arrêté de souffrir. Elle aimerait réussir à croire en tout cela, qu'elle va rencontrer quelqu'un de bien qui va réussir à l'aider, à la faire remonter à la surface et surtout, à la faire se sentir en vie. Malgré tous ses efforts elle n'y arrive pas et elle n'y arrivera pas tant qu'elle n'aura pas rencontré cette fameuse personne. Mais qui voudrait d'une épave comme elle ? Qui pourrait réussir à croire en elle ? Il y a peu de temps elle pensait avoir trouvé la bonne personne, mais malheureusement cet homme n'était qu'avec elle pour pouvoir la faire souffrir. Son père avait tué le père de son petit-ami et pour cela il l'a battu. Elle l'a quitté au moment où elle s'est rendue compte dans quelle situation elle était. Tant qu'elle n'aura pas de réponses à ces questions elle n'avancera pas et cela, elle le sait parfaitement. Mais ce qui l'effraie le plus c'est de croire que quelqu'un tient à elle puis se rendre compte qu'elle se trompe. Elle vit dans une cycle sans fin tant que personne ne viendra le briser.
PART I L’enfance, l'adolescence et la mafia.
Je vis le monde pour la première fois un bon matin d'été ou plus précisément le vingt-trois juin 1998 dans un petit hôpital de Vérone. A cette époque je ne savais pas ce qu'il allait m'attendre. Fille d'Enzo Robertini, je compris dès mon plus jeune âge je devais éviter ou encore mieux, ne pas mentionner mon prénom. En effet la famille Robertini, ma famille appartenait à la mafia italienne et cela tout le monde le savait. Je ne savais pas encore marcher que l'on m'avait déjà mis cette étiquette de fille de gangster. Contrairement à mes frères et mes soeurs dès mes premiers pas à l'école je réussissais à obtenir des résultats brillants pour mon âge. Je faisais ainsi la fierté de mes parents, parce que, contrairement à ce que les personnes pouvaient croire, mes parents ne voulaient pas que je fasse partie de la mafia. Pourtant mon enfance fut bien plus difficile qu'en apparence. Les parents des enfants avec qui je partageais mon école primaire était au courant que j'étais une Robertini. Alors les parents allaient voir tour à tour mes instituteurs pour que les enfants ne me parlent pas et ne jouent pas avec mon dans la cours. Mais mes parents voulaient que je m'en sorte dans la vie, mais en choisissant une autre voie que la leur. Ainsi en plus de me distinguer aisément à l'école, j'avais réussi à faire mes preuves en danse classique et contemporaine alors que je n'avais que sept ans. A cette époque déjà, ma professeur de danse voyait un grand avenir pour moi dans la danse. Jeune fille ayant un avenir prometteur mes journées étaient rythmées par mes cours traditionnels et mes cours de danse. Alors contrairement à mes soeurs et frères j'avais réussi à entrer dans un des meilleurs collèges d'Italie au plus grand bonheur de mes parents. La mentalité était totalement différente que celle de mon primaire. J'avais réussi à me faire pas mal d'amis alors qu'il y avait seulement deux mois de cela je n'étais vraiment amie qu'avec deux ou trois personnes. Les années passaient, j'étais une des élèves les plus prometteuses de mon collège et je me destinais à devenir une grande danseuse. Puis il y eut ce fameux jour, le vingt-sept novembre 2013. A cette époque je n'avais que seize ans et je n'avais jamais vraiment fait l'expérience d'être née dans une famille mafieuse hormis les regards que l'on me jetait après avoir connu mon nom. Pourtant cette journée n'avait pas tellement mal commencé. Je m'étais levée, avais pris mon petit-déjeuner puis je m'étais préparée pour aller au lycée. A partir de mon entrée au lycée je n'avais cours que le matin et toute l'après-midi je faisais des cours de danse. Après ma matinée très calme au lycée je rentrais à la maison pour manger avec ma mère et mon père pour ensuite repartir pour aller à la danse. Mais ce jour-là fut différent. A peine je rentrais chez moi j'entendais mon père crier au téléphone. C'était très rare de le voir dans un état pareil parce qu'il était quelqu'un de très calme habituellement. « Comment ça ? Qu'est-ce que ma femme a dit ? Répondez-moi ! », criait-il. Ma mère aurait fait quelque chose de mal ? Il n'arrêtait pas de crier, il voulait savoir quelque chose et je crus comprendre quand il eut la réponse qu'il voulait. Je l'entendais commencer à pleurer. Je ne savais pas quoi faire. Je me dirigeais vers lui discrètement en lui demandant qu'est-ce qu'il n'allait pas. Il me dit seulement quelques mots, mais ses mots seront à jamais graver dans ma mémoire. « Ne fais jamais confiance en ta mère. D'accord chérie ? » Au début je pensais qu'ils venaient de se disputer et qu'il disait cela sur un coup de tête. Mais j'étais loin de savoir qu'il avait totalement raison. Et alors que j'étais en plein cours de danse, la directrice interrompit mon cours et me demanda de la suivre dans son bureau. « Giorgina, il s'est passé quelque chose de grave dans ta famille. Il faut que tu rentres chez toi. » J'étais sonnée, perdue. Elle ne voulait pas me dire ce qu'il s'était passé. J'avais peur. J'étais terrifiée. Mon école de danse était seulement à quelques minutes à pied de chez moi, mais ce jour-là la directrice me proposa de me raccompagner chez moi. Arrivée devant ma maison je remerciais la directrice. De loin je voyais ma mère sortir de la maison en pleur. « Maman qu'est-ce qu'il y a ? Ils m'ont fait venir ici le plus rapidement ! » Elle se jeta alors dans mes bras tout en pleurant. Elle me disait des mots que je n'arrivais pas à comprendre. Alors je la repoussais et lui demandais de reprendre ses esprits pour me dire ce qu'il y avait. Alors elle me regarda dans les yeux et me dit seulement quatre mots qui allaient changer ma vie. Ton père est mort. Je sentais alors à cet instant là des larmes me coulaient sur les joues. Mon corps devenait faible et je m'écroulais sur le sol. Mon père était mort ? Mais pourtant ce matin quand je l'avais il m'avait l'air... Non... Non ! Je me souvenais soudainement ce qu'il m'avait dit. « Ne fais jamais confiance en ta mère. D'accord chérie ? » Ma mère était donc impliquée ? Et puis je l'avais entendu au téléphone hurlait parce que ma mère avait fait quelque chose de grave. Elle était là pourtant à me prendre dans ses bras. « Je sais que c'est de ta faute ! J'ai entendu Papa ce midi au téléphone ! Lâche moi ! », disais-je tout en la repoussant. Je courais alors dans ma chambre. Ma mère courait derrière moi tout en essayant de me rattraper. Pourtant elle n'essayait pas de démentir ce que je venais de dire. Je prenais ma valise et mis toutes mes affaires. Quand celle-ci fut pleine j'en pris une autre. J'avais essayé de prendre seulement les essentiels et le maximum de vêtements. Elle était là, assise sur mon lit et ne m'empêchait même pas de partir. Je partais alors sans dire un mot. Je laissais ma mère seule chez elle sans aucun remord. A ce moment là je ne savais pas où aller car j'étais encore mineur. La seule personne qui m'avait semblé digne de confiance était le meilleur ami de mon père qui lui aussi appartenait à la mafia, mais il m'avait aimé comme sa fille. Je savais qu'il m'accueillerait.
PART II Une jeune adulte violée, battue et seule.
Comme je l'avais prévu, le meilleur ami de mon père Roberto m'accueillit à bras grands ouverts, tout comme sa femme et ses deux enfants de dix et treize ans. Je comptais rester seulement moins de deux ans chez eux. En effet le jour où je serais majeure je partirais afin de me trouver un petit studio dans un quartier pauvre et un travail en plus de mon école. Je me voyais déjà travailler dans un petit café. Mais pour l'instant c'était impossible. Roberto et sa famille avaient eu la gentillesse de prendre en compte les dépenses de mon école, mais je comptais bien les rembourser dès mes premiers salaires. Tout se passait absolument à merveille pendant plus d'un an. Je pensais avoir enfin trouvé un endroit qui me permettrait d'avoir une vie plus ou moins normale. Malheureusement un soir tout dérapa encore une fois. La femme de Roberto apprit que celui-ci la trompait depuis des années. Elle le savait depuis un petit moment, mais elle préférait fermer les yeux au début. Mais elle ne pouvait plus vivre comme cela. Je la comprenais parfaitement par ailleurs. Comment vivre avec un homme qui passe son temps à aller voir d'autres femmes ? Alors un soir elle partit avec leurs enfants sans même lui dire au revoir. Elle n'avait laissé qu'une lettre en guise d'adieux. Alors que je rentrais de l'école, je vis Roberto assis sur le canapé, la tête entre les mains tout en pleurant. Sa femme m'en avait parlé quelques jours plutôt, du coup en le voyant comme cela je compris ce qu'il venait de se passer. J'essayais de le réconforter du mieux que je pouvais assise à côté de lui sur le canapé. Soudain, sans vraiment comprendre si qui allait se passer il me poussa sur le canapé et je tombais allonger sur le ventre sur celui-ci. J'essayais de me relever comme je le pouvais mais il me tenait au niveau de mes poignets. Il me faisait mal, mais cette douleur n'était rien comparée à ce qu'il allait m'arriver par la suite. Il mettait sa tête dans mes cheveux, les sentait et m'embrassait tout le long du coup. Je le suppliais d'arrêter, mais il continua de plus belle. Il me déshabillait sans que je ne pouvais lui en empêcher. J'étais faible et il le savait. Je pleurais, hurlais, mais je savais parfaitement que cela n'allait rien changer. Alors j'essayais de me détendre, de lui faire croire que je rentrais dans son jeu. J'arrêtais de pleurer et essayais de rentrer dans son jeu. Je ne me souvenais pas exactement de ce que je lui disais, mais mon but était qu'il me lâche au moins un de mes bras. Ce qu'il fit. A côté du canapé se trouvait une lampe en verre sur une table de chevet. Alors j'envoyais la main doucement derrière pour l'attraper. Je fermais les yeux, essayais de faire comme ci il ne se passait rien. Je pris la lampe, fis un grand geste en arrière et l'assommais avec. Il était inconscient et du sang coulait de son crâne. Je relevais vite et remettais mon pantalon. Je savais qu'il pouvait se réveiller à n'importe quel moment alors j'essayais de faire au plus vite. Je courus vers ma chambre, pris mes deux valises et je les remplissais aussi vite que je pouvais. Au moment où j'avais fini je courrais vers la porte d'entrée pour pouvoir à jamais partir. Il était encore là, sur le canapé inconscient. Je fermais la porte et je n'avais qu'une idée en tête : ne plus jamais avoir un rapport avec cette putain de mafia. Par chance mon école avait été payée d'avance, mais je n'avais ni de travail ni d'endroit où dormir. Alors ma meilleure amie m'accueillit avec un grand sourire. J'avais à peine réussit à lui raconter ce qu'il s'était passé. Toutes les nuits c'était la même chose. Je pleurais encore et encore. Au bout de quelques semaines j'avais réussi à me trouver un emploi dans un bar de strip-tease en tant que serveuse. C'était le seul endroit où il avait accepté de me prendre alors que j'étais mineure. Je devais commencer à travailler à partir de maintenant pour pouvoir économiser pour l'année prochaine car j'avais en effet réussi à être admise dans l'école de danse classique et contemporaine de mes rêves. Il s'agissait d'une des meilleures d'Italie. Mon père aurait été si fière de moi... Le jour de mes dix-huit ans je pris enfin mon envole. J'allais maintenant vivre dans mon petit (très petit) chez moi. J'avais réussi à louer un petit appartement dans La Cittadella. Loyer que j'arrivais à peine à payer avec mon petit salaire de serveuse en plus des frais de mon université. Heureusement qu'il y avait Lorenzo. Enfin... Heureusement qu'il avait été là pour m'aider avec tout cela jusqu'au jour où le destin frappa à nouveau, sans jeu de mots. Je ne comprenais pas pourquoi le destin s'acharnait contre moi, je ne voyais pas ce que j'avais bien pu faire de mal. En effet alors que nous étions ensemble depuis quelques mois, ce qui était un exploit pour moi sachant que je ne pensais plus jamais aimer quelqu'un après mon viol, il avait commencé à me frapper. Tous les soirs il était encore plus violent. J'avais honte la journée d'aller à mes cours de danse alors que l'on voyait, sous mon maquillage qui coulait à cause des efforts physiques, des bleus sur mon visage, sur mes bras et mes jambes. J'étais même parvenue à avoir honte de moi pensant que je le méritais. Mais un jour j'ai eu la chance que ma meilleure amie s'en rende compte et qu'elle me donne la force de faire arrêter cela. J'appris seulement quelques jours après qu'il m'avait frappé durant tout ce temps parce que mon père avait tué le sien. C'était toujours les mêmes histoires avec toujours les mêmes personnes. C'était toujours à cause de cette p*tain de mafia. Son départ m'avait coûté beaucoup plus que ce que je pensais. C'était lui qui payait le loyer de mon appartement. Maintenant qu'il n'était plus là j'étais obligée de faire des strip-teases en plus de mes services de serveuses. Si quelqu'un de l'administration parvenait à le découvrir, ça sera la fin pour moi...
PART III A suive...
who i am wasn't good enough
Pseudo ; bluelagoon. âge ; 16 ans. pays ; France. fréquence de connexion/RP ; 6j/7. bref avis sur le forum ; il est magnifique et à l'air très convivial . comment l'avez-vous découvert ? sur bazzart. un dernier mot ; .
Re: she burns like rum on the fire. (giorgina) Dim 3 Juil - 18:39
Bienvenue à Vérone
Eh bien, la pauvre n'a pas eu la vie facile . Ca m'a mise mal à l'aise tout ça, j'ai beaucoup de mal en général avec les personnages violés et compagnie ; non parce que je n'en veux pas, mais vraiment parce que c'est quelque chose qui me donne vraiment la nausée en règle générale. Oui, je suis un peu sensible . En tout cas j'espère que tu te plairas bien ici
A présent que tu es validée, n'oublie pas d'aller réserver ton avatar et recenser ton métier (ou tes études). Tu peux également t'inscrire au flood d'intégration afin d'apprendre à connaître les autres joueurs. Enfin, pense à faire une demande de logement afin de ne pas te retrouver à la rue ! Enfin, n'oublie pas de venir surveiller le sujet des nouveautés pour rester à la page dès qu'il y a du neuf sur le forum. Nous restons à ta disposition en cas de besoin, n'hésite pas à nous contacter. Bon jeu sur /LOVE
Re: she burns like rum on the fire. (giorgina) Dim 3 Juil - 21:26
oui je suis exactement pareille que toi, mais pour une fois je voulais un peu sortir de ma zone de confort avec les filles qui ont toujours eu la vie facile, parents riches...etc Je voulais jouer un personnage plus complexe :)
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état civil ; La jeune femme étant battue par son ex petit-ami et violée par le meilleur ami de son père, elle est désormais célibataire et sa tête lui interdit de rencontrer qui que cela soit en amour, même si son coeur est encore en train de tomber amoureux.
. comment l'avez-vous découvert ? sur bazzart. 
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très bon choix. 
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n'hésite pas si jamais tu as besoin de quoi que ce soit, le staff est là pour toi 
. En tout cas j'espère que tu te plairas bien ici 
