Isaiah Leonelli
It's okay, I know someday I'm gonna be with you.
Sam Claflin ; gotta be somebodynom complet ; Isaiah Pietro Leonelli.
âge ; 26 ans.
date & lieu de naissance ; 20 juin 1990, à Vérone.
nationalité ; Isaiah est italien depuis de nombreuses générations.
activité professionnelle ; Isaiah est propriétaire d'une petite librairie depuis peu.
études ; licence professionnelle métiers de l'édition, spécialité librairie.
situation financière ;normale.
état civil ; célibataire.
orientation sexuelle ; hétérosexuel.
La plupart des gens qui le rencontrent tendent à dire qu'Isaiah est quelqu'un de doux. C'est la première chose qui ressort quand on le mentionne, et il s'en félicite autant qu'il s'en offusque. Petit c'était un enfant bagarreur et qui ne tenait pas en place, puis il a grandi, a découvert les livres et l'art et s'est énormément calmé. Isaiah a longtemps été une de ces personnes qu'on aurait pu qualifier de trop bonnes, parfois trop connes. Il a toujours voulu faire rire les autres, leur rendre le sourire et leur offrir un petit bout de son propre bonheur, et souvent cette bulle de bonheur qu'il s'était si sagement créée lui a éclaté au visage. Pourtant il ne cesse pas d'être lui-même, il est simplement devenu plus méfiant avec le temps. Plus méfiant avec quasiment tout le monde, sauf quelques personnes qui réussissent à se frayer un chemin à travers les barrières qu'il se construit, et cela déclenche une petite peur chez l'italien. Une petite peur qui pourrait bien le paralyser un jour, si elle se mettait à grandir. Au delà de sa sensibilité et de sa gentillesse Isaiah est aussi un homme extrêmement déterminé lorsqu'il s'agit de son avenir professionnel et personnel et il sait ce qu'il veut, ou plutôt ce qu'il ne veut plus.
Love at first sight
Depuis tout petit l'italien n'a pas exactement été baigné dans un univers plein d'amour, il a toujours vu ses parents se déchirer et se détruire chacun de leur côté, et cela l'a fait cauchemarder plus d'une fois quand il était un enfant. En grandissant son opinion ne s'est pas vraiment modérée, ni radicalement modifiée et désormais il n'est pas plus convaincu par cet amour auquel il ne croyait déjà pas tant quand il avait presque vingt ans de moins. Les basherts, honnêtement? Une jolie rêverie, ou bien des histoires pour endormir les petits enfants, comme on l'a fait avec lui. Isaiah a tendance à croire que les basherts, s'ils existent, ne sont pas quelque chose qui doit prendre une place excessive dans la vie d'un être. C'est un avis que tout le monde ne partage pas, mais le jeune homme a décidé de vivre sa vie sans s'angoisser avec la recherche de l'être tant attendu ou redouté par d'autres. Il n'essaie pas à tout prix de trouver le sien et préfère se laisser aller au fil des rencontres qu'il fait, et des personnes qui viennent prendre une place dans son cœur et puis repartent, la plupart du temps. Si jamais son bashert existe il le rencontrera bien assez tôt, et il n'est certainement pas pressé. Il faut avouer que le jeune homme a des peurs enfouies au plus profond de lui, aussi, parce que la vie n'a pas toujours été totalement tendre. Il a souvent aimé trop fort et cela lui a joué des tours, alors le goût de l'amour, oui. De l'amour qui fait du bien, il n'en est pas certain, surtout quand les dites personnes aimées s'en vont. Surtout quand cette fille qui le bouleverse un peu trop ne cesse de jouer avec son cœur. Mais il garde la tête haute autant que possible et il se construit, et peut-être qu'il finira par découvrir par hasard que lui aussi, quelqu'un l'attend quelque part.
Hey, you, what's your story? L’amour et moi ça fait deux, je l’ai compris bien assez tôt, ou trop tard, tout dépend de la façon dont on voit les choses. Mes parents n’ont pas aidé, se détruisant chacun de leur côté en nous oubliant ma sœur et moi, un peu partout, un peu tout le temps. J’ai cependant essayé d’aimer très fort les autres, et ma sœur me l’a plutôt bien rendu, mes petites-amies beaucoup moins. Il fallait bien se rendre à l’évidence, je n’ai jamais fait le poids face à un bel espagnol par exemple, je n’étais que moi.
Pas d’amour pour Isaiah, donc. Pourtant étrangement ce n’est pas du tout la première pensée que j’ai eue quand je l’ai rencontrée. Je n’ai pas pensé à l’amour du tout, à vrai dire. Elle n’a jamais été particulièrement aimable avec moi et je ne faisais pas non plus d'efforts pour lui plaire, il faut le dire. Je ne supportais pas son ton hautain et distant, son dédain quand je tentais de la faire rire, et son air faussement agacé. Faussement, parce que j’ai assez tôt vu clair dans son petit jeu, alors je me suis accroché un peu plus fort qu’avec les filles précédentes, sans savoir pourquoi. Je ne cherchais pas quelque chose de sérieux, je ne cherchais rien du tout si j’y repense, j’étais juste là, auprès d’elle. C’était peut-être un peu le fait du destin, ou de nos amis communs qui nous ont confié une tâche aussi gratifiante qu’empreinte de responsabilités, mais j’ai revu Hazel une seconde fois, puis une troisième, une quatrième, jusqu’à ne plus les compter.
« Madame s’ennuie de moi il paraît ? » Sa réponse a fusé, accompagnée d’un regard noir qui m’a fait éclater de rire. « Crétin prétentieux. » Et cette appellation a eu beau me faire grincer des dents, je l’ai laissée dire puis je me suis penché au-dessus du couffin pour récupérer ma nièce de six mois. En la berçant ensuite doucement je suis retourné vers Hazel. « Ils nous l’ont confiée pour la soirée, à tous les deux. Alors tu vas devoir me supporter. » Elle a haussé les épaules et j’ai levé les yeux ciel, parce que son indifférence ne m’impressionnait plus, elle m’attendrissait presque.
« Tu comptes me laisser entrer ? » J’ai doucement demandé en me balançant d’un pied sur l’autre pour tenter de me réchauffer. Je n’avais pas prévu de venir, j’avais encore moins prévu qu’une fois sur le pas de sa porte elle m’appellerait. C’était une coïncidence surprenante, et la nuit qui en a suivi l’a été tout autant, si ce n’est plus. J’ai découvert Hazel plus que je n’avais pu le faire en plusieurs années et cela m’a bouleversé. Je la trouvais superbe, assise en tailleur sur son petit canapé, les joues rougies par l’alcool que nous buvions et toujours ce sourire moqueur sur les lèvres. La soirée s’est poursuivie et mes joues se sont également colorées, ma langue s’est déliée et je me suis ouvert, moi aussi. Des récits à demi-mots, des confidences que je m’étais promis de ne faire à personne, il y avait quelque chose chez elle ce soir-là qui m’inspirait profondément confiance. Et quand je me suis réveillé, le lendemain, avec le sentiment d’avoir fait une bêtise sans pour autant m’en sentir coupable, j’ai pris soin de déposer un baiser sur son front avant de filer comme un voleur.
who i am wasn't good enough
Pseudo ;Astrangenight.
âge ;18 ans.
pays ; France.
fréquence de connexion/RP ; 4/7.
bref avis sur le forum ; j'aime déjà beaucoup
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comment l'avez-vous découvert ? Bazzart.
un dernier mot ; supercalifragilisticexpialidocious?
Type de personnage : scénario d'Hazel Fitzegarld