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Anonymous

Invité

in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Lun 20 Juin - 23:08


 
Axel Van Assel
i know happiness, i know love, and you know it too. but you're too blind to see it.
 Chris Wood ; Gotta Be Somebody


nom complet ; À ta naissance, tu t'appelais Alessio Armani, ou du moins si t'avais eu le nom de ton père. Seulement, Giorgio n'a jamais voulu te considérer comme son fils. Alors tu t'appelais Alessio O'Ceallaigh, parce que ta mère était irlandaise. Mais elle a fini par t'abandonner devant un orphelinat, sans donner ton nom, sans que personne ne sache rien. Alors on t'a appelé Axel. Et vu qu'il te fallait bien un nom, tu as gardé celui de l'enfant avec qui tu traînais toujours, avant qu'il meurt. Van Assel. Alors officiellement, tu t'appelles Axel Van Assel.
âge ; Vingt-huit ans, et pourtant tu n'as pas l'impression d'avoir cet âge-là. On peut le dire clairement, tu as vécu dix-neuf ans dans un paradis certain avant d'être relâché dans l'enfer de la vie. T'as l'impression d'avoir vécu tellement plus d'années, tellement que c'en est impressionnant.
date & lieu de naissance ; T'es né le 26 août 1987 à Vérone. Et d'ailleurs, t'as immédiatement fait chier ton monde. Personne ne savait s'il fallait ou non te donner le nom d'Armani, mais vu que ton père biologique a dit que non, c'était non. Du coup t'es né sous un nom, et une semaine plus tard t'en avais un autre.
nationalité ; Même si tu rêvais, plus jeune, d'une autre nationalité, t'es italien. Mais tes origines sont bien plus brouillées que ça. Ton grand-père maternel était français, ta grand-mère irlandaise et ta mère irlandaise alors que ton père est italien. T'es un mélange de trop d'origines différentes, mais ça donne un beau résultat.
activité professionnelle ; Toi, t'es le lieutenant de police de Vérone. Mais t'es pas le flic chiant qui arrête les gens sans essayer de comprendre. Non, tu passes ton temps à essayer de savoir ce qui poussent les gens à faire des conneries, et t'aimes pas foutre des peines trop lourdes.
études ; T'as fais des études de droit, ce qui t'as permis d'être flic par la suite. Et puis en même temps, t'étais assistant pour le chef de la police, t'agrafais ses papiers, tu lui faisais son café, ses photocopies, t'étais son chien quoi.
situation financière ; T'as plutôt pas mal d'argent. On pourrait te dire pas mal au dessus de la moyenne, mais t'as beaucoup trop travaillé pour en arriver là, alors que personne ne vienne t'envier : ça sert à rien.
:coeur: état civil ; Officiellement et même officieusement, t'es célibataire, et tant mieux. T'es tellement pas branché sentiments que ça t'intéresse pas, tout ça, les relations amoureuses. Tu préfères rester seul, c'est plus simple, plus rapide et plus sûr.
:coeur: orientation sexuelle ; Officiellement, t'es hétérosexuel. Enfin, c'est ce que tu dis à tout le monde. En réalité, t'es bisexuel avec même des tendances homosexuelles, mais certaines femmes arrivent quand même à te faire tourner la tête, il ne faut pas croire.

« J'ai conscience qu'en voulant adopter un enfant on ne voit que ses bons côtés, mais Axel n'est pas un ange. Aussi jeune soit-il, il a déjà son caractère bien à lui. Déjà, Axel c'est certainement l'enfant le plus sociable que nous avons ici. Mais sociable au point d'en être lourd. Il passe son temps à discuter, à parler. C'est une vraie pipelette, et ça c'est vraiment très important à savoir si vous ne voulez pas d'un gosse qui parle tout le temps. Mais après, il est également très à l'écoute des autres, très attentionné. C'est tout ce qu'on peut retenir de ses bons côtés. Pour ce qui est du mauvais, il est très maladroit. Depuis le début de la semaine, il a du casser trois ou quatre verres, et ce n'est que pour ce qui est facilement cassable encore. Il n'est pas prudent et se fiche du fait qu'on puisse lui demander de faire attention. Et il est également très pessimiste et défaitiste. C'est difficile de lui faire garder un projet en tête pendant longtemps, ou alors il perdra toute envie. » gérante de l'orphelinat, 2002.

« Si vous cherchez quelqu'un qui se soumettra facilement, ce n'est pas Axel que vous devriez venir voir. En étant sa coéquipière, je crois être capable de vous dire absolument tout sur lui. Axel est un leader, il aime passer devant les autres et il aime être écouté. Heureusement, il a assez d'autorité pour prétendre en être un réel, de leader. C'est un bon policier. Il est sérieux, il est sincère et il fait attention aux autres. Axel, c'est certainement.. La personne la plus aimée du service. Certes, il est lieutenant. Habituellement, il ne devrait pas s'occuper de futilités comme les bagarres, les ventes de drogues, mais plus des choses.. Haut classés, comme les meurtres, les viols. Mais il s'intéresse à tout, à tout le monde. Quand il apprend des choses sur des jeunes qui font des conneries, il va les voir lui-même mais habillé en tant que civil, il les écoute, il fait attention à eux, il essaye de comprendre ce qui ne va pas et essaye de leurs donner des solutions. C'est pas le genre de policier qui irait appeler leurs parents pour les descendre plus bas que terre. Je sais qu'Axel a déjà été au plus bas, et malgré son intelligence et sa sociabilité, il le cache très mal. C'est un bon menteur, mais pas quand il s'agit de son vécu. Et il semble l'avoir compris, parce qu'il est très secret. Un flic secret avec une grande gueule, on aura tout vu. Avant notre dernière mission, et maintenant encore j'imagine, Axel était quelqu'un de très pessimiste, de pessimiste mais de bienveillant tout de même. Il est aussi très protecteur, et j'en viens souvent à me demander si c'est une bonne chose qu'il me protège. À ce point oui, parce qu'Axel n'est pas prudent, il est maladroit et il s'obstine toujours à faire les choses telles qu'il les veut. Et puis Narcisse serait même jaloux de lui tellement il est narcissique. Il fait les choses bien, il le sait, il s'en vante. Certaines fois j'en viens à me dire.. S'il vous plaît, faites le taire ! » Rex, sa coéquipière, 2016.

Love at first sight
ITV.: Si je vous dis Bashert, à quoi pensez-vous ? Quel est votre avis là-dessus ?
A.VA: Sincèrement ? Ces histoires de bashert, d'âme soeur, c'est des conneries. C'est stupide, déjà comme légende. Quel homme, aussi complet soit-il, pourrait effrayer Dieu de sa puissance, au point où il le séparerait en deux ? Une âme soeur, c'est inexistant. Ou alors ça existe, et on apprend à l'être au fil du temps. Je me plaît souvent à me dire qu'Alejandro était mon âme soeur, mon âme frère plutôt. Et je me plaît à me dire que Rex pourrait le devenir également. Mais je ne crois pas à toutes ces conneries, c'est stupide et sans aucun doute la chose la plus illogique et insensée existante dans les crânes des Hommes. Je ne dis pas qu'on ne peut pas avoir de rêves, non. Loin de moi cette pensée, même. Seulement, ça n'existe pas. Rien ne sert de rêver là-dessus, c'est comme si je vous disais ouvertement que les licornes existent et que je n'émettais aucun doute là-dessus. Vous voyez ? Complètement stupide.

ITV.: Avez-vous vécu une expérience qui vous a donné le goût de l'amour ? Ou même de l'amitié, de la passion, ou rien du tout ? Ou alors quelque chose qui a mal tourné ?
A.VA: Comme tout homme je pense. Non, je n'ai jamais été amoureux. J'ai déjà ressenti des sentiments amicaux, pour beaucoup de personnes. Mais jamais autant que pour Alejandro. D'ailleurs, c'est probablement ma seule relation qui a mal tourné, et que j'aurais souhaité voir durer toute une vie. Parce qu'Alejandro, c'est mon meilleur ami. J'ai ressentis un sentiment d'amitié à l'instant même où je l'ai rencontré, quand j'avais sept ans donc. J'ai eu ce sentiment d'amitié jusqu'à mes dix-neuf ans, le jour où je l'ai vu se faire poignarder, juste en face de moi. Mes sentiments restent inchangés, c'est mon meilleur ami, il le restera à jamais. C'est le seul goût sentimental que j'ai ressentis, de ma vie entière. Jusqu'à l'instant où j'ai vu cette femme, la première fois. Je ne dirais pas que la voir m'a donné un goût de passion, mais penser à elle me le donne. Vous savez ce genre d'envie brûlante.. Un goût de désir plutôt, de rêve inaccompli. Mais n'arrivez pas à vous imaginer quelque chose que je n'ai pas dis. Je ne crois toujours pas à l'âme soeur, et même elle ne pourra pas me le mettre en tête. Certes elle est magnifique, je la voudrais à mon bras, j'aimerais connaître son odeur, le goût de ses lèvres ou la douceur de sa peau, mais ne soyons pas un romantique exagéré. Elle appartient déjà à quelqu'un d'autre. Je ne pense pas qu'un sentiment d'amour ou de passion nous donne ce goût amer dans la bouche quand on la voit avec quelqu'un d'autre. Ce serait sinon tellement immonde que personne ne le voudrait.

Tu joues avec tes doigts quand tu vois les adultes passer. T'as jamais voulu partir, toi. T'es bien là où t'es, tu te sens chez toi, t'as l'impression d'être dans une famille immense, incroyable. Et pourtant, t'as que sept ans. Et aujourd'hui pourtant, les adultes venaient seulement déposer un enfant. Un enfant qui ne comprend pas, qui regarde autour de lui. Et puis tu sais pas ce qu'il s'est passé dans son crâne, mais il s'est tourné vers toi et il s'est approché. Peut-être parce que t'avais l'air triste. Dans le fond, tu l'étais un peu. « Comment tu t'appelles ? » C'est la première phrase qu'il te dit. Alors tu relèves la tête, tu le regardes et tu finis par la pencher. « Axel. » T'as juste dit ça, et il semblait troublé. T'étais pas très bavard avant, c'est lui qui t'as changé. « Axel ? Mais Axel comment ? Tu peux pas t'appeler que Axel. C'est pas possible, c'est pas rigolo sinon. Ton papa et ta maman, c'est quoi leur nom ? » Et t'as baissé le regard, alors peut-être qu'il a comprit. Il a posé ses mains d'enfant sur tes joues et il a levé ton visage, suffisamment haut pour que ton regard croise son regard bleu. « J'ai pas de papa. Ni de maman. J'en ai jamais eu. » T'avais dis ça très facilement, parce que c'était facile pour toi. Et puis il a finit par t'embrasser sur la joue, il était bien trop sociable ce gosse et tu te demandais pourquoi toi. « Je m'appelle Alejandro. Alejandro Van Assel ! Ma maman et mon papa sont allés voir les tiens je crois. » C'était une bien douce formulation pour dire que ses parents étaient morts. Alejandro te semblait trop proche, mais pourtant tu ne l'avais pas laissé, tu ne l'avais pas abandonné, dès le premier jour. « Je sais que c'est vite de dire ça, mais toi et moi on va devenir les meilleurs amis du monde. » Et il avait eu raison quand il t'avait prononcé ces mots-là. Vous l'étiez devenus.

Quinze ans. Et pour la première fois, tu entrais dans un lycée hors de l'orphelinat. Alejandro et toi, vous aviez suppliés Anastasia, la gérante, de vous inscrire dans une autre école que celles de l'orphelinat. Mais seulement, assit sur ta chaise à côté de ton meilleur ami, tu t'étais senti bien stupide devant le professeur qui t'avais posé une question, une seule. Sur un ton de remarque, elle te l'avait dit clairement « Axel, pourquoi est-ce qu'il n'y a pas de nom de famille donné sur tes fiches ? ». Et tu t'étais enfoncé dans ta chaise, t'avais senti Alejandro attraper ta main sous la table et tu l'avais regardé par la suite. T'arrivais pas à ouvrir la bouche, c'était comme si t'étais pétrifié. Et il avait finit par parler à ta place. « On a oublié de le marquer. C'est Axel Van Assel. » Alors tu l'avais regardé, t'avais pas compris pourquoi il disait quelque chose qui n'était pas vrai. Et la femme vous avait observé, elle était pleine de questions. « Vous êtes frères ? » Et t'avais entendu le rire de ton meilleur ami qui avait hoché négativement la tête en te regardant. « On est mariés par les liens de l'amitié et jusqu'à ce que la mort de nos âmes nous séparent. » Et t'avais pas pu détacher ton regard d'Alejandro qui avait reposé son regard sur la professeure. Tu t'étais à peine approché de lui et t'avais passé tes bras autour de ses épaules pour le prendre dans tes bras, un geste que t'avais jamais fais avant. Et ça l'avait surpris, mais il avait sourit. Et puis t'avais finis par lui chuchoter une seule chose. « Je t'aime Alej. » Et lui, il avait tourné le regard vers toi. Un regard qui voulait dire que c'était réciproque. Vous vous étiez bien trouvé. Parce qu'en huit ans, vous ne vous étiez jamais lâchés.

Dix-neuf ans. T'en as marre, pleine crise d'adolescence et même Alejandro est perturbé par ce que tu deviens. Plusieurs fois t'as hurlé sur les gérants de l'orphelinat, tu les prenais comme coupable et tu leurs disait qu'ils n'étaient rien pour toi, pas même une famille. Alors que pourtant, ils étaient eux tous ta vraie famille. T'avais un cercle de cinq amis, vous étiez chacun une face du dé. Alejandro, le un, représentant l'action et l'ego. En second, il y avait toi, le deux, la complémentarité et l'union. En troisième, Katja, le trois symbolique de la création. En quatrième, il y avait Kip, l'ordre et le travail, celui qui vous liait tous. Pour la suite, il y avait également Leo, le cinq, la liberté, le changement, votre petit prince, et Sevan, le six, l'harmonie, l'amour et l'art, votre artiste. Vous aviez à vous six l'habitude de vous appeler le Cercle, et personne ne pouvait venir entre vous. Jamais personne. Seulement ton caractère brûlant vous séparait de plus en plus. Il n'y avait que Kip qui essayait de te comprendre, et même Alejandro n'essayait pas de savoir ce qui n'allait pas. Tu craquais juste, tu pétais un câble, mais c'était rien, rien de grave.
Jusqu'à ce soir, au même âge. Vous étiez tous sorti pour boire, vous, le petit gang de délinquant qui taguait les murs avec des inscriptions en anglais du style « The Circle crew was here » ou « The Circle is watching you », des choses de ce genre-là. Et même Kip était de la partie, ce qui était un miracle. Le petit gang d'abrutis qui passait leurs temps à faire des conneries, vous étiez sorti boire, vous bourrer la gueule. Seulement la musique donnait mal au crâne à Alejandro, Katja était à la limite d'un coma éthylique, Sevan était appuyé contre un mur à vomir alors que Leo se cachait les yeux pour ne pas faire de même et Kip essayait de vous calmer, vous tous. Alors tu t'étais éloigné avec Alejandro, après avoir prévenu Kip, et vous aviez marché un bon moment dans les rues. Vous parliez fort, chantiez, dansiez, jusqu'à l'instant où vous aviez décidé de faire demi-tour. Presque arrivés à la boîte, pourtant, Alejandro avait fait l'erreur de foncer dans quelqu'un, il s'était bien sûr excusé mais ça n'avait pas suffit. Et toi tu l'avais vu, le regard du type, t'avais eu peur. « Alej, recule.. » T'avais prononcé ces mots tout doucement, Alejandro s'était tourné vers toi et avait finit par s'approcher de l'homme en essayant de s'excuser une nouvelle fois. Et puis tu l'avais vu, la lame, t'avais pas pu réagir. Une seule fraction de seconde avait suffit pour que t'entendes un bruit assez sourd, et l'homme avait disparu. T'avais pas pu t'empêcher de gueuler, encore une fois, en t'approchant de ton meilleur ami, posant ta main sur son ventre au niveau de sa blessure. Il saignait, énormément. Beaucoup trop. Et quelques pas plus loin, il y avait Kip et les autres, qui s'étaient approchés en courant en t'entendant.
Ce soir-là, vous aviez fini à l'hôpital. T'étais assis dans la salle d'attente quand Alejandro était en salle d'opération, et même si t'avais la foi, tu ne pouvais empêcher tes larmes de rouler sur tes joues. À côté, Katja était allongée sur les genoux de Kip, endormie, Leo avait son casque sur ses oreilles et écoutait de la musique et puis Sevan était parti s'acheter un café pour rester éveillé. « Hey, Axel. Pleure pas, d'accord ? Alej est fort, ça va aller. Il va s'en sortir. Je te le promet. » T'avais tourné la tête vers Kip, assit à tes côtés, et t'avais hoché la tête en posant ta tête contre son épaule. T'avais mal au cœur, t'avais peur, c'était la première fois que tu ressentais ça. Alors t'avais finis par regarder tes mains, par regarder la bague que t'avais depuis bien longtemps. C'était la bague de ton mariage fraternel avec Alejandro, et il avait la même. C'était une bague que t'enlevais jamais, même pour te doucher. Et c'était un symbole, un vrai symbole pour vous deux. Et finalement, une infirmière était apparue. Alejandro te réclamait, seulement toi. Alors tu t'étais immédiatement levé, et t'y étais allé. Il était là, dans un lit d'hôpital, son ventre recouvert de bandages, il avait l'air d'être en train de mourir alors qu'il était branché de partout à des machines. Mais tu t'étais approché quand même, tu t'étais assis sur le fauteuil à ses côtés et t'avais attrapé sa main avec une douceur incroyable. T'avais prononcé trois mots, de ta voix brisée à cause de toutes les larmes que t'avais laissé couler. « Je suis là. » Et il avait sourit. Il t'avait regardé et il avait posé sa main libre sur ta joue, il avait lâché ta main pour poser la deuxième contre l'autre joue et t'avais relevé la tête lorsque tu avais baissé le regard, pour te regarder dans les yeux. « Moi aussi je suis là, Axel. S'il te plaît, fais pas cette mine d'enterrement. Souris moi. » Tu l'avais écouté, tu l'avais regardé et un sourire plus que faible était apparu sur tes lèvres. « Je t'aime Ax, retiens bien ça. Toujours, d'accord ? J'aurais jamais cru rencontrer quelqu'un comme toi un jour, j'aurais jamais cru pouvoir t'aimer à ce point et.. » T'avais posé ta main sur sa bouche pour le faire taire, les larmes se remettant à couler sur tes joues. « Dis pas tout ça. Jamais. À mes yeux, ça ressemble trop à un adieu. » Il avait bougé sa tête pour retirer ta main, et il avait penché la tête sur le côté. « Mais c'en est certainement un. J'ai besoin de te le dire, au cas où je meurs et.. » Et tu l'avais encore coupé, t'avais secoué la tête et t'avais posé tes mains sur les côtés de ta tête en appuyant tes coudes sur tes genoux. « Arrête, arrête, arrête ! Tu vas pas mourir Alejandro. Parce que t'as pas le droit de m'abandonner. T'as pas le droit, t'as compris ? Tu peux pas venir dans ma vie, tout bousculer, prendre une place énorme comme ça pour ensuite m'abandonner, t'as compris ? Dis le que t'as compris ! » Il avait hoché la tête, et il avait finit par prendre ta main doucement, parlant bien plus bas qu'avant. « Je t'abandonnerais jamais Axel. Surtout parce que je suis.. »
Mais t'avais jamais pu entendre la suite de cette phrase. Il y avait juste ses yeux qui s'étaient fermés, t'avais entendu les machines faire des bruits plus qu'étrange et des médecins arriver. T'avais compris ce qu'il se passait quand ils t'avaient éloignés, il était en train de mourir. Tu le comprenais que maintenant, et tu ne pouvais pas t'empêcher de vouloir t'approcher de lui encore. T'avais pas pu t'empêcher de pleurer, encore une fois, jusqu'à même tomber à genoux au sol. Et Sevan était arrivé derrière toi, il avait vu la scène et t'avais entendu un verre tomber contre le sol. Ils étaient tout les quatre venus à toi, ils voulaient tous qu'il s'en sorte. Vous étiez tous les six les meilleurs amis que cette terre ait pu porter. Et voilà qu'on vous l'enlevait, lui. « Heure de la mort : deux heures vingt-sept. » T'étais resté effondré au sol même en entendant cette phrase. Parce que c'était comme si on t'enlevais ta raison de vivre, la seule personne que tu ne voulais pas perdre. Et t'avais finis par te lever, t'avais attrapé le médecin et tu lui avais presque hurlé dessus. « Vous pouvez pas le laisser comme ça, vous devez le ramener ! Vous pouvez pas.. » Et c'était Kip qui t'avais fais reculer, il t'avait fait reculer alors même qu'il était aussi en larmes, et tu l'avais entendu à sa voix quand il t'avait parlé. « Il peut rien faire Axel, c'est fini.. » Et il avait raison, c'était fini. T'en étais conscient, mais tu ne pouvais pas te résoudre à te le dire. Alors t'avais repoussé Kip, et tu t'étais approché d'Alejandro, t'avais posé tes mains contre ses joues et tu l'avais secoué doucement. T'étais hors de toi, complètement. Parce qu'en moins d'une seconde, t'avais perdu tout ce que t'avais. « Alejandro.. Tu dois te réveiller. Tu m'as dis que tu m'abandonnerais jamais.. S'il te plaît, ouvre tes yeux. » Mais il n'avait pas rouvert les yeux. Il n'avait pas pu. Il était mort, et tu n'arrivais pas à te l'avouer.

T'es debout à côté d'autres gens de l'orphelinat. Ils sont tous en pleurs, toi t'as fini de pleurer depuis un moment. Toute l'eau de ton corps y est passée. Et puis t'entends quelqu'un t'appeler, te demander si tu veux parler. Alors tu t'approches. T'as préparé ce que tu voulais dire. Alors tu te places devant le cercueil presque mis en terre, tu regardes la feuille froissée que t'as dans les mains, les traces d'encre qui a coulée à cause de tes larmes qui tombaient sur la feuille, et tu finis par la froisser encore plus, par la mettre dans la poche de ta veste noire. Et tu relèves la tête doucement. « Je sais que tout le monde ici connaissait Alejandro. Certains comme le gosse le plus égoïste qui soit, ou comme le plus égocentrique. Comme un imbécile qui savait pas quoi faire de sa vie et qui restait donc un pauvre petit délinquant. » Et t'avais finis par regarder les personnes devant toi. Notamment Kip, Katja, Sevan, Leo. Ils étaient tous là, avec toi. Sevan était en larmes, c'était limite s'il regardait ce qu'il se passait. Sevan n'avait pas pleuré une seule fois avant, mais maintenant qu'on l'enterrait, sa mort était officielle. « Mais certains d'entre nous le connaissaient bien plus que ça. Alejandro était quelqu'un de très.. Très fort. C'était la meilleure personne que je connaisse. Il passait son temps à faire attention aux autres, à faire attention à nous. Ses amis. » Et puis tu t'étais remémoré les mots d'Alejandro, quand vous étiez plus jeune. Quand vous aviez formé le cercle, quand vous étiez insouciants de ce qu'il se passerait. « Il m'a dit un jour que personne ne pouvait choisir sa famille, ou ce qu'elle deviendrait. J'ai pas réussi à le croire. Parce que j'avais réussi à choisir ma famille. Vous tous, vous en faites parti. Certes, une famille bien plus grande que les autres, mais on en est une quand même. Mais je suis tombé d'assez haut. Il avait raison. Personne ne choisit sa famille, personne ne choisit ce qu'elle devient. Parce que pour rien au monde j'aurais choisi de laisser mourir la meilleure personne que j'ai pu rencontrer. » Et tu t'apprêtais à prononcer d'autres mots, mais tu n'avais pas pu, t'avais sentis les larmes rouler contre tes joues et t'avais posé ta main sur ta propre bouche. Alors tu t'étais seulement excusé, et tu t'en étais allé. Tu ne pouvais pas rester plus longtemps ici, c'était terminé.
Mais quelques semaines plus tard, alors que t'avais eu vingt ans, tu t'étais décidé à revenir. Tu t'étais assit sur la terre, t'avais posé ta main sur la pierre tombale et t'avais passé tes doigts sur les lettres gravées de son prénom. T'avais mis un moment avant d'ouvrir la bouche, t'avais eu du mal, et pourtant tu l'avais fais. « J'aurais pas du te dire de te taire. Maintenant j'ai envie de savoir ce que tu voulais me dire, j'ai envie de tout savoir. J'ai envie de te parler, de te voir une dernière fois.. Je passe mon temps à regarder nos vidéos. Au Cercle et nous deux. » Et tu avais déjà l'envie de pleurer, mais tu ne voulais pas le faire. Tu ne voulais plus le faire. « Je suis devenu assistant du chef de la police. On a arrêté de jouer les délinquants. C'est plus pareil sans toi, tu sais. Katja.. Katja elle devient dingue. Elle passe son temps à pleurer, ou alors à baiser. Elle dit que c'est la seule façon d'oublier la douleur qu'elle a. Mais elle se blesse encore plus avec ça, et je le sais. Kip, il est totalement déprimé. Ses notes ont chuté depuis... Il a plus la foi à quoi que ce soit. Et tu sais bien que Kip pourtant, c'est le mec le plus optimiste au monde. Leo lui.. Lui, il est devenu.. Quelqu'un d'autre. Il nous écoute plus quand on parle. Et il a pété un câble. Il nous adresse plus la parole depuis quelques jours. Mais pourtant, on comprend qu'il soit mal, qu'il soit blessé. C'est normal. Et Sevan.. Sevan c'est le seul qui a presque pas changé. Il passe juste son temps à te dessiner. » Et t'avais appuyé ta tête contre la pierre tombale, t'avais regardé ta main gauche et la bague en argent que tu n'avais toujours pas enlevée, et t'avais fermé les yeux finalement. « Et moi, moi.. J'ai l'impression de mourir sans toi. De vraiment mourir. J'ai envie de mourir. J'ai envie de venir avec toi. Comme tes parents ont fait avec ma mère. Envoie moi un signe, montre moi que tu penses toujours à moi là-haut. Je t'en supplie, Alej. J'ai besoin de toi. » Et il s'était mit à pleuvoir. T'avais pris ça comme le signe que t'avais demandé. Alors t'avais rouvert les yeux, t'avais regardé le ciel, et t'avais souris faiblement. « Je t'aime Alej. Je te le promet, je te vengerais. Même si je dois tuer pour ça. »

« Votre nom ? » Tu bloques à cette question. Tu regardes la nouvelle et tu penches la tête. T'as vingt-six ans. T'es le nouveau lieutenant de la police, parce que t'as réussi à augmenter de rang. Alors c'est normal que ta coéquipière ne te connaisse pas encore. Tu soupires. « Axel Van Assel. Lieutenant. Pas la peine de vous présenter, officier Rex, je vous connais. » Évidemment que tu la connaissais. Tu t'étais informé bien avant d'arriver là. Ce jour-là, ton chef t'avais donné une mission. Ou du moins, t'avais été interpellé. Vol dans une bijouterie, le bijoutier avait appuyé sur son bouton et voilà tout. Alors t'y étais allé avec Rex, ton arme en main, t'étais entré dans la bijouterie et vous aviez mis moins de dix minutes pour arrêter le voleur. Seulement, quand tu vis le bijoutier, son regard t'interpellait. Tu l'avais déjà vu, et ton cœur te le disait. Alors tu t'étais approché, t'avais regardé le type et tu lui avais juste dis un mot « Vous.. ». Parce que ta colère montait. Et tu lui avais mis un crochet bien placé, suffisamment pour le faire tomber au sol. « J'ai juré, j'ai promis sur sa tombe que je te tuerais pour ce que t'as fais. » Et Rex était arrivée derrière, elle t'avait reculé pour que t'arrêtes de le frapper au sol, alors que tu lui avais déjà mis la bouche en sang avec un seul coup de poing. « Mais t'es complètement dingue Van Assel ! Il t'arrive quoi là ? » T'avais repoussé ta coéquipière et t'avais attrapé les menottes, relevant le bijoutier et regardant son badge. « Rafael Calvez, je vous arrête pour le meurtre d'Alejandro Van Assel. Et vous avez évidemment le droit de garder le silence. Surtout quand c'est un témoin oculaire qui vous arrête. » T'avais réussi à le faire arrêter, t'avais réussi à le faire mettre en prison. Mais t'avais toujours cette envie de le tuer, de lui faire ressentir ce que toi-même tu ressentais depuis la mort de ton meilleur ami.

T'avais pas voulu laisser Rex y aller quand t'avais vu la peur sur son visage. Une alerte à la bombe dans un bâtiment désaffecté. Alors tu avais contredis ton chef, et t'étais parti toi-même. Ton casque sur la tête, arme dans les mains, t'étais entré dans le bâtiment et t'avais vu ce gosse, de la vingtaine, qui avait également un pistolet en main, il te menaçait avec. Alors t'avais relevé ton arme, t'avais levé les mains et tu t'étais baissé. « Je pose mon arme, regarde. T'as pas à avoir peur, d'accord ? » Et tu l'avais vu sourire. T'avais senti un coup brutal derrière la tête, et puis rien. Quand t'avais ouvert les yeux, tu t'étais retrouvé attaché avec des chaînes dans une pièce qui puait le sang et le brûlé. Tu ne savais pas où t'étais, mais t'avais entendu deux types parler. Un certain Alex et un certain Simon. Et t'étais resté longtemps avec eux. Un mois et demi, où t'avais essayé de les raisonner malgré les tortures qu'ils te faisaient. T'avais inconsciemment appris à les connaître. À connaître leurs noms : Simon et Alex. À connaître leurs âges : vingt et un et vingt-deux ans. Qui ils étaient, deux américains engagés dans l'armée, qui avaient vu leur meilleur ami mourir. Et tu comprenais leurs actes, dans un sens. Après la mort d'Alejandro, t'en avais eu envie aussi. De détruire le monde, de le mettre à tes pieds. De les appeler tous esclaves parce que t'étais leur maître, et parce que tu le serais jusqu'à ce qu'Alejandro te soit rendu. Mais tu n'avais rien fais, parce que t'en avais pas eu la force. Tu ne pouvais pas les blâmer pour avoir cette puissance que tu n'avais pas. Alors tu leurs avais parlé, t'avais voulu les raisonner. Mais t'y étais pas parvenu. T'y étais pas parvenu, même ce jour-là ou tu essayais de les raisonner pour la unième fois. Sauf que cette fois, Alex avait craqué. Il avait posé son canon contre ton crâne, pour la première fois après un mois et demi. « Donne nous les codes du commissariat. On va tout faire exploser. Et promis, on touchera pas ta famille. » Mais tu ne parlais pas, tu répétais qu'ils ne seraient pas condamnés à beaucoup, juste du redressement pour avoir torturé et frappé un flic, et même que tu ne porterais pas plainte. Et t'avais entendu son arme se charger, et ta peur de mourir était devenue immense. Alors t'avais attrapé le couteau qu'il avait à sa ceinture, et tu lui avais mis un coup plus que brutal au niveau du ventre, alors même qu'il était derrière toi. T'avais sentis sa main attraper la tienne, le couteau de lacérer les côtes, mais tu t'étais libéré. T'avais pas lâché, même quand une balle était entrée dans ton épaule, malgré la douleur. Tu l'avais frappé avec le couteau une seconde fois. Et il avait lâché son arme. Et puis une troisième fois. T'avais du sang sur les vêtements, sur le visage, ton uniforme de policier était déchiré de partout, puait le brûlait, puait le sang. Des fringues dans lesquelles t'étais resté trop longtemps. Quand Simon était arrivé, tu t'étais approché de lui. Et t'avais passé la lame au niveau de sa gorge alors qu'il n'avait pas encore sorti son arme. Tu les avais tué pour ta vie, et t'étais sorti de bâtiment. T'avais marché jusqu'à l'hôpital, où t'étais entré en te vidant de ton sang, une main au niveau de tes côtes avant de perdre conscience.

« Axel ? T'es toujours avec nous ? » Tes meilleurs amis, toujours là quand il faut. Tu secoues la tête. Vous êtes à la maison. Ils t'ont bien perdu depuis que t'es revenu. Là, tu ne les a pas, les visions de tes cauchemars. T'as pas pris tes médicaments pour ta commotion, ils savent et tu sais que Katja va t'y forcer. Sevan est allongé sur le canapé, toi t'es assis devant et les autres sont sur l'autre canapé. Tout semble normal pourtant. « On sait qu't'as changé depuis que t'es revenu à la vraie vie bébé. Raconte nous, qué pasa ? » C'est Leo qui parle. Voilà, il faut le dire. Vous tous, vous aviez tous des origines différentes. Toi, t'étais d'origine irlandaise. Leo, il était espagnol, Katja était russe, Kip était anglais et Sevan américain. Et puis avant, il y avait Alejandro. Franco-italien. Vous étiez un beau mélange. Tu tournes la tête vers Leo et tu finis quand même par sourire. « Je vais bien Leo, ça va. » Il hoche la tête, il te croit pas. Finalement Sevan se redresse, il pose ses mains sur tes épaules et il penche la tête. « Alors mec, tu t'es trouvé une nana ou t'es libre pour te marier avec moi ? » T'avais oublié ce détail. T'avais promis un an auparavant à Sevan que si tu ne trouvais pas l'amour, vous vous marierez. Mais c'était une promesse stupide, faite en étant bourré. Alors t'avais ris, tu l'avais poussé doucement et tu lui avais tiré la langue. « J'ai trouvé une nana. Enfin. Elle est fiancée, elle connaît pas mon nom, c'est une Borgia. Quoi ? Tu vois pas le problème ? » Et Sevan avait haussé les sourcils et il avait rit, te frappant sur la tête. « Oh hello, Van Assel-O'Ceallaigh-Armani, je t'appelle sur Terre. Si une femme. Une femme ! T'intéresse, fonce. On s'en branle de son fiancé. Au pire tu l'incarcères, t'es flic mec, t'es pas personne. Et comment elle s'appelle ? » Tu peux pas t'empêcher de sourire, mais tu lui met quand même une claque alors que les autres vous regarde attentivement. « Desideria Borgia. Mais je te promet, je te jure Sevan que si tu oses aller la voir, je te tue. Avec mes dents et un couteau en plastique. Lentement ! » Et alors il avait sourit, posant sa tête dans ses propres mains alors que Katja finissait par se lever en parlant. « Comme c'est mignon. Tu me fais penser à Alej quand il parlait de toi. » Et alors tu relevais la tête vers la seule femme de votre groupe, te mordant les lèvres sans comprendre sa référence. Kip avait soupiré, regardant Katja. « On avait dit qu'on en parlerait pas, Kat. Ce qu'elle veut dire Axel, et que visiblement il n'a pas pu te dire.. Alej était amoureux de toi. Et merci, la russe, t'as plombé l'ambiance. J'me tire. » Et alors, l'anglais s'était levé, il s'était barré dans la chambre, et toi t'étais resté là, comme un con à penser à Alejandro alors que tu parlais de ton coup de cœur du moment. Eh merde.


who i am wasn't good enough
Pseudo ; Maxime. âge ; 16 ans. pays ; France. fréquence de connexion/RP ; 7/7. bref avis sur le forum ; Juste : wow. comment l'avez-vous découvert ? Par Bazzart. un dernier mot ; Nénuphar !

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Re: in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Mar 21 Juin - 0:08


chris est tellement adgjhdfkh :73: :61:
bienvenue ici. :coeur:
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Re: in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Mar 21 Juin - 7:54


Bienvenue par ici :44:
Anteia Aggelos
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Re: in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Mar 21 Juin - 9:42


Le magnifique policier :62:.
Bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche :coeur:
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Re: in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Mar 21 Juin - 10:35


Chris :73:

Bienvenue parmi nous :44:
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Re: in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Mar 21 Juin - 10:42


Waouh lieutenant de police... :73: :73:

Bienvenue parmi nous lieutenant! :coeur:
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Invité

Re: in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Mar 21 Juin - 10:43


C'est quoi tout ces gens beaux comme des kebab là :63:
Merci à tous in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel) 2554221286
Anonymous

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Re: in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Mar 21 Juin - 10:46


Clara elle va souvent se faire arrêter si les policiers sont aussi canons :siffle: :73:
Anonymous

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Re: in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Mar 21 Juin - 10:47


Eh bien, vu la répugnance d'Axel pour arrêter les gens.. Bonne chance pour tomber sur le bon flic :siffle:
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Re: in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Mar 21 Juin - 10:48


Trop pas juste :33: J'viendrais quand même demander un lien à ta validation hein :siffle:
Anteia Aggelos
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Re: in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Mar 21 Juin - 10:49


"Gens beaux comme des kébabs", tu m'as tuée ! :48:
Anonymous

Invité

Re: in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Mar 21 Juin - 10:51


officiellement bienvenue parmi nous I love you
Anonymous

Invité

Re: in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Mar 21 Juin - 10:53


Merci Gia ♥️
Clara, je ferais un effort pour t'arrêter si tu veux :siffle:
Daisy, me dis pas que vous êtes pas magnifique quand même pfpf :langue:
Anteia Aggelos
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Re: in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Mar 21 Juin - 11:26


Ah non, nous le sommes ! :21:
Par contre j'émets quelques doutes quant à ma capacité à poser cet attribut au mot "kébab", à chaque fois que j'en mange c'est tout sauf magnifique :48:
Anonymous

Invité

Re: in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Mar 21 Juin - 12:06


ARMANI POWER :39: :39:
bon même si t'es pas un vrai de vrai, je te pardonne :han:
bienvenuuuuuue officiellement parmi nous :hanoui: :45:
Anonymous

Invité

Re: in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Mar 21 Juin - 13:10


bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche I love you
Anteia Aggelos
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Re: in my eyes i'm somebody important and my opinion matters, but i am pretty stupid (axel)
Mar 21 Juin - 15:54


Bienvenue à Vérone

Tu sais déjà tout ce que j'en pense, vu que j'ai fait mon compte-rendu minute par minute sur la CB. Mais quand même, je tenais à le dire devant tous : ta fiche est une pépite. Je ne pouvais pas rêver mieux comme bashert et je suis vraiment heureuse que tu aies choisi ce lien, le mien, trop d'honneur :bril:. On va être mignons avec nos fantômes réciproques, mais on va tout casser ! :superman:

A présent que tu es validé, n'oublie pas d'aller réserver ton avatar et recenser ton métier (ou tes études). Tu peux également t'inscrire au flood d'intégration afin d'apprendre à connaître les autres joueurs. Enfin, pense à faire une demande de logement afin de ne pas te retrouver à la rue ! Nous restons à ta disposition en cas de besoin, n'hésite pas à nous contacter. Bon jeu sur /LOVE

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