(hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Mar 14 Juin - 22:21
I want you close, and close ain't close enough mattezio
Tu as fui. Comme un lâche. Tu es parti du bar sans accorder un regard à personne. Ton frère, ta cousine, ton cousin. Tu les as évité. Tu as fait en sorte que ta sortie soit moins visible que ton entrée. T’es juste parti. Discrètement, en baissant la tête. C’est probablement la meilleure décision que tu aies prise ce soir. Tu traines des pieds dans les rues de Vérone. Il fait nuit. Tu es complètement perdu. Dans ta tête. Dans le quartier. Tu sais pas trop ce que tu fais là. Trop d’émotions d’un coup. Toutes contradictoires. Tu commences à désaoûler et ça te donne encore plus envie de retourner au bar pour enchainer les verres. Tu te rends compte que tu vas te souvenir de cette soirée. Demain. Après-demain. Pendant des semaines. Tu sais déjà que ton paternel va s’empresser de t’appeler demain à la première heure quand il saura ce qu’il s’est passé. Parce-que, oui il le saura. Forcément. Il ne peut pas en être autrement. Il est peut-être même déjà au courant. Ca ne t’étonnerait même pas qu’il ait engagé des hommes de main pour te garder à l’oeil. Pour éviter les scandales.L’hériter Armani, tout juste prêt à reprendre le flambeau, à l’origine d’une bagarre dans un bar du centre-ville. Ca fait vendre. Félicitations Ezio, ton visage sera bientôt à la une des journaux nationaux. Avec un peu de chance, ils auront même récupéré une photo de toi avec le nez en sang. Classe. Le sex-appeal au maximum. La dignité au plus bas. Ta réputation va en prendre un coup. Celle de toute ta famille aussi. Ton nom de famille, ton héritage. Tu portes bien trop de choses sur tes frêles épaules. Beaucoup trop. Tu n’es pas assez responsable. Trop immature. Ce soir en est la preuve. Une perte de contrôle. Ton impulsivité. Une connerie. Tout Vérone qui a assisté à ton pétage de câble. Tu lèves la tête et tu te retrouves devant une pharmacie de nuit. Tu rentres sans aucune hésitation. La fille écarquille les yeux alors qu’elle a posé les yeux sur toi juste deux secondes. Tu dois probablement comprendre que t’as une sale gueule. Mais bon tu le savais. Tu es amoché. Un poing en plein visage. Jago qui a probablement mis toute sa colère dedans. Cadeau de la soirée. La trace du Sorabella sur ta face. Tu ne t’attardes pas. Pas de sourire. Pas de politesse. Tu te contentes de lui expliquer ton cas. Elle lève les yeux. Même une parfait inconnue est blasée de ton comportement, si c’est pas merveilleux ça. Elle te ramène un sac en plastique rempli. Elle t’explique ce que tu dois faire avec chaque boite. T’écoute pas. Tu t’en fiches. C’est pas ton problème. Tu ne vas pas te soigner tout seul. Blablabla. Tu la regardes juste pour lui faire croire que ça sert à quelque chose qu’elle te raconte tout ça. Elle s’arrête de parler. Enfin. Elle aurait pu te parler de la mort de sa grand-mère ça t’aurait fait le même effet. Tu payes. Tu te casses. Ton sac à la main. Tu accélères le pas. Les rues sont vides mais tu ne veux pas que quelqu’un t’aperçoive. Tu n’es pas d’humeur à parler. Et encore moins à expliquer ce que tu fais dans ce quartier à cette heure-là. C’est pas le tien. T’es bien loin de chez toi. T’aurais dû rentrer. Directement chez toi. Ne pas t’égarer en chemin. Retourner à la villa et te faire plaindre par Persé. Lui raconter toute la soirée et essayer de te faire passer pour la victime. Même si au fond tout ça c’est de ta faute. Tu n’as que ce que tu méritais. Persé, même en étant absente, elle arriverait à vite comprendre ton rôle dans toute cette histoire et peut-être qu’elle te ferait la morale. Gentiment. En te disant que clairement tu as abusé. Encore une fois. Sauf que tu ne vas pas la rejoindre. Pas ce soir. Tu rentres dans le bâtiment. Tu as retrouvé ta confiance en toi. Tu n’as jamais été aussi sûr de toi. Tu arrives devant la porte. Tu frappes. Trop fort. Sans t’arrêter. T’attends qu’il t’ouvre. Tu frappes encore. Ton poing encore légèrement ensanglanté contre la porte. Le voisin va te haïr mais tu t’en fous. Puis la porte s’ouvre enfin. Tu ne prends même pas le temps de regarder son état. Tu l’as peut-être réveillé. Ca fait un moment qu’il t’a lâché. Il t’a laissé seul dans les toilettes du bar après t’avoir sauvagement embrassé. L’allumeur. Tu lui tends ton sac en plastique en fronçant les sourcils. Tu lui laisses pas le choix de le récupérer. « Mets en application tes conseils à deux balles de tout à l’heure. J’ai tout ce qu’il faut là-dedans et ça m’a coûté une blinde donc fais en bon usage. » Un sourire au coin des lèvres. Tu es plus sûr de toi. Tu n’es plus celui qu’il a vu au bar. Là t’es déterminé à obtenir ce que tu veux. Et c’est lui que tu veux. Peu importe que tu sois amoché. Tu ne comptes pas repartir. « T’es qu’un allumeur tu le sais ça ? M’embrasser comme ça et te casser aussi vite ? » Tu le regardes droit dans les yeux. C’est pas un reproche. Un sous-entendu probablement. Ta façon à toi de lui faire comprendre que tu as aimé mais que tu es frustré. Frustré qu’il ait tout arrêté. Que tu te sois retrouvé comme un con prêt à te déshabiller pour lui alors que tu le voyais te tourner le dos sans te jeter un regard.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Mar 14 Juin - 23:02
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AIN'T CLOSE ENOUGH
matteo il claque la porte de son appartement quand il rentre finalement chez lui, il s'en fout du bruit, pour une fois, il a envie de dire à ses voisins de se faire foutre si jamais ils viennent se plaindre. il abandonne sa veste dans l'entrée et n'attend pas d'être dans la salle de bain pour commencer à défaire les boutons de sa chemise tâchée de sang. bordel. il peut s'estimer heureux qu'elle soit noire, le sang ça se voit pas de suite sur le noir, y'aurait manquer plus que ça, qu'on le voit avec une chemise à moitié en sang sortir de ce bar. il pousse finalement un soupire, passant une main sur son visage et dans ses cheveux, c'est confus dans sa tête à matt, comme souvent quand il se retrouve seul dans la même pièce qu'armani. sans compter ce baiser. celui qu'il a initié. puis l'étreinte qu'il a quittée. sans doute lâchement d'ailleurs. ouai, peut-être bien, pour tout avouer, matteo il en a un peu rien à foutre de ce qu'ezio peut penser de lui. il s'en fout carrément. sa chemise termine sa course sur le carrelage de la salle de bain, suivie rapidement par le reste de ses vêtements alors qu'il laisse bientôt l'eau chaude couler sur son corps et détendre ses muscles tendus par la soirée. il soupire un peu alors qu'il perd le fil du temps. il arrête finalement l'eau après s'être lavé convenablement et opte pour un simple jogging et un t-shirt, le premier trouvé dans son armoire. matteo il sait pas exactement combien de temps s'est écoulé depuis la fin de la soirée au bar, il en sait strictement rien et quand il jette un oeil à la montre accrochée au mur de la cuisine, il pousse un nouveau soupir en observant qu'il est minuit passé depuis peu. le match est terminé depuis longtemps. matt il jette un coup d'oeil aux résultats sur internet, il aime pas particulièrement le foot, mais c'est un italien, pur et dur. alors il soutient un minimum son pays. un fin sourire éclaire son visage quand il trouve enfin les résultats. deux à zéro pour l'italie. c'est au moins ça. matteo il s'apprêtait à aller se coucher quand y'a des coups qui résonnent à la porte, il se demande même pas c'est qui, il le sait déjà et un sourire moqueur se dessine sur ses lèvres. il se dirige vers la porte pour l'ouvrir et se retrouver face à ezio, il récupère le sac qu'il lui tend et jette un rapide coup d'oeil à l'intérieur. « mets en application tes conseils à deux balles de tout à l'heure. j'ai tout ce qu'il faut là-dedans et ça m'a coûté une blinde donc fais en bon usage. » il soupire, lève les yeux au ciel face au comportement du gamin, il ferme la porte derrière ezio. « t'es qu'un allumeur tu le sais ça ? m'embrasser comme ça et te casser aussi vite ? » matteo il se retourne vers ezio et il laisse échapper un léger rire avant d'avancer dans l'appartement, il fait signe à ezio de s'asseoir sur une chaise avant de s'asseoir en face de lui et de poser le sac sur la table, fouillant à l'intérieur. « oh, c'est certain que faire ça dans les toilettes d'un bar avec potentiellement plus de la moitié de ma fratrie dans le dit bar c'était une bonne idée. jago t'as pas loupé et ça aurait pu être pire, si quelqu'un nous avait surpris. » matt il se relève pour humidifier une compresse avant de revenir vers ezio, il soupire un peu et lui intime de ne pas bouger alors qu'il se rapproche de lui et commence à essuyer le sang qui macule son visage, il ne peut empecher un rictus de se dessiner sur ses lèvres. « t'es en manque ezio pour venir jusque chez moi ? » parce que matteo il est pas con non plus, il sait très bien pourquoi le gosse est là, pas pour se faire soigner, enfin si, mais pas totalement. il sait très bien qu'armani est la pour l'obliger à terminer ce qu'il a commencé plus tôt. ça ne lui déplaît pas tant que ça à matteo. « j'te fais autant d'effet que ça ? » il pose le coton imbibé de sang sur la table avant de poser ses deux mains sur les cuisses d'ezio, les faisant lentement remonter vers ses hanches. c'est un jeu qui commence, il le sait, malgré sont issus déjà toute trouvée. matteo relève la tête vers ezio, plongeant son regard dans le sien.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Mer 15 Juin - 0:10
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Ce baiser. Inattendu, passionnel, violent. Tous ces sentiments qu’il a réussi à te faire ressentir avec ce simple contact. Ses lèvres contre les tiennes. Trop d’un coup. Aucune douceur. Aucune tendresse. Ce n’était pas amoureux. C’était juste... violent. Il n’y avait pas de promesse. Pas de sous-entendu. Rien de repoussant à tes yeux. Pas de petites lignes à déchiffrer où il te déclare sa flamme. Non. Vous n’êtes rien l’un pour l’autre. Juste des anciens amants. Pendant quelques temps. Rien de vraiment officiel. Rien de réellement concret. Mais il a réussi à laisser sa trace. Une trace légère mais intense, qui s’est intensifiée quand tu l’as senti contre toi. Il était près. Suffisamment pour que tu ne veuilles pas te détacher de lui. Tu en voulais plus. Mais avant même que tu comprennes quoi que ce soit, il s’est détaché de toi et il est parti. Deux mots. Pas ici. Sauf que ça ne te suffit pas. Il n’a pas le droit de te faire ça. T’embrasser à t’en faire perdre la tête pour te lâcher. Ca a duré quelques secondes. Trop court pour en profiter. Trop court pour être satisfait. Alors tu te pointes chez lui. Tu devrais pas. Non c’est une mauvaise idée. Si quelqu’un te voit devant la porte du fils Sorabella, c’est le scandale. Un de plus dont tu seras le protagoniste. Rien de surprenant en soit mais peut-être que ce soir tu devrais juste te faire discret. Donc tu le fais. Tu es raisonnable. Presque. Parce-que tu as décidé d’être discret dans l’appartement de Matteo. Tant pis si quelqu’un te voit, tu diras que tu t’es perdu. T’auras aucune crédibilité, Ezio tu le sais. Sauf que quand il ouvre la porte et que tu te retrouves face à lui, t’oublies pas mal que tu n’as rien à faire là. Il regarde ce que tu lui offres et il lève les yeux au ciel. Tu n’en attends pas moins de lui. C’est la première réaction qu’il fait à chaque fois que tu parles. Avec le temps tu t’es dit que c’était peut-être une forme d’affection alors qu’au fond c’est juste de l’agacement. Mais tu passes au dessus. Il te laisse rentrer. C’est tout ce qui compte. Tu t’assois là où il te dit de le faire. Tu pensais qu’il allait râler. Te balancer un « je suis pas infirmier » ou une connerie de ce genre. Après tout, il t’a giflé il y a moins de deux heures. Donc c’est presque surprenant qu’il ne dise rien. Tu pourrais presque croire qu’il tient à toi et à ta tête d’amoché. Tu as un petit sourire quand tu le vois fouiller dans le sac. Ouai il va définitivement te soigner. Ca te plait. T’aimes l’idée. Tu as bien fait de venir. Matteo Sorabella qui va s’occuper de toi. Sa douceur effacera la violence de son jumeau. En apparence du moins. « Oh, c'est certain que faire ça dans les toilettes d'un bar avec potentiellement plus de la moitié de ma fratrie dans le dit bar c'était une bonne idée. Jago t'as pas loupé et ça aurait pu être pire, si quelqu'un nous avait surpris. » Matteo, la voix de la sagesse. C’est beau, merveilleux et vrai. Mais toi, t’es pas trop porté sagesse. Il te manque quelques compétences dans ce domaine. Conséquence de ton âge ou de ton immaturité. Peut-être un mélange des deux. Il s’approche de toi et commence à essuyer le sang séché sur ton visage. « A partir de quel âge on devient chiant et peureux ? Le goût du risque tu connais pas ? T’es trop vieux, ça doit être ça. » Tu lèves les yeux au ciel. Tu t’amuses. Pas de raison qu’il soit le seul à faire des remarques. T’es doué aussi pour le taquiner. Et tu comptes bien lui prouver. Toi tu aurais été prêt à tout faire dans ces toilettes. « T'es en manque Ezio pour venir jusque chez moi ? J'te fais autant d'effet que ça ? » Les deux questions à un million de dollars. Si tu réponds, il gagne le jackpot. Tu sais pourquoi t’es là. Il le sait aussi. C’est un sous-entendu. Une vérité qui plane dans la pièce. Comme un murmure. Ses mains sur tes cuisses. Elles remontent sur tes hanches. Doucement. Sensuellement. Il veut ta mort. C’est officiel. Tu te mordilles la lèvre inférieure. Ses yeux dans les tiens. Le gris rencontre le bleu. Tu te rapproches de lui. Tu ne dis rien. Aucun mot ne sort de ta bouche. Le silence est précieux à cet instant. Tu ne veux rien gâcher. Tu t’approches de lui. Un peu plus près. Sûr de toi. Voulant tester l’effet que toi tu lui fais. Tes lèvres frôlent à peine les siennes. C’est rapide. Trop pour qu’il puisse apprécier. Une caresse. Légère. Tu lui mords la lèvre. Tu souris. « Si tu savais l’effet que tu me fais... » Tu te recules. Toujours les yeux plongés dans les siens. Tu veux voir le retournement de situation. Le moment où son regard montrera ce que ton corps ressent en ce moment. « T’as pas fini. Il me reste du sang là. » T’es fier de toi. Terriblement fier de toi. Tu lui montres ton poing ensanglanté. Tu as réussi à enlever le plus gros à l’eau avant de partir du bar mais c’est pas net. « La fille de la pharmacie a dit qu’il fallait désinfecter avec un truc là-dedans. » Ta main gesticule et désigne le sac en plastique. Tu as envie d’aller plus loin. Tu as envie de céder. Mais tu ne veux rien faire avant d’être sûr qu’il le désire aussi. Autant que toi en tout cas. C’est ton côté gamin pourri-gâté qui ressort. Tu te fais désirer. Et t’adores ça.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Mer 15 Juin - 1:12
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au départ, ça devait être une relation sans lendemain, rien de bien officiel, mais rien de bien officieux non plus. c'était un peu pour s'amuser, sans doute, c'était pour faire passer le temps, les caresses et les baisers échangés. c'était pas totalement secret, mais c'était pas non plus crié sur tous les toits. leur relation. si l'on peut appeler ça une réelle relation à la vue de la haine entre leurs familles respectives. douce ironie que de voir les deux fils coucher ensemble. rires amères sur les langues lorsque l'annonce était faite à demi-mots, sous-entendus au détour d'une discussion, des mots murmurés. tout autant que les gémissements ont été murmurés un temps durant, la nuit à l'abris des regards, ils continuent de l'être, y'a pas de sentiments, y'a juste une attraction un peu trop forte, sans doute pas vraiment contrôlable, le prouve encore ce baiser échangé il y a quelques heures seulement. rien de sentimental dedans, de la colère, de la violence, de la haine, de la passion, un mélange parfaitement équilibré, qui ne se brise, qui ne se rompt pas, jamais. matteo ça l'étonne même pas de trouver ezio derrière sa porte, le visage rapidement essuyé mais encore rougit de son propre sang, un sachet avec de quoi le soigner à l'intérieur. il s'y attendait même un peu matt, à retrouver le gamin dans son appartement, pour une nuit de plus, une dont ils ne parleront pas, accord silencieux qui les arrangent un peu. dans ces moments-là y'a plus d'armani. y'a plus de sorabella. y'a juste ezio et matteo. rien d'autre. un moment parmi un autre à partager avec quelqu'un. matteo il impose à ezio de s'asseoir alors qu'il humidifie une compresse avec un peu d'eau pour terminer de nettoyer le sang sur son visage, tâche qu'il effectue presque en silence, il ne répond pas à la provocation du gamin, pas exactement, les mots glissent le long de ses lèvres alors qu'il pose des questions auxquelles il a déjà les réponses, il le fait simplement pour jouer, un jeu qui peut vite devenir dangereux, incontrôlable, qui finira dans tous les cas de la même manière. alors pourquoi jouer ? pour alimenter un désir certain, tester les limites, toujours. matteo il pose ses mains sur les cuisses d'ezio avant de les faire remonter lentement vers ses hanches, son regard gris croise le céruléen des yeux du plus jeune avant de se poser sur ses lèvres. lèvres qu'il mordille. matt il a envie de le faire à sa place. ezio il veut jouer, lui aussi, il se penche vers matteo, effleure à peine ses lèvres pour venir mordiller ces dernières. « si tu savais l’effet que tu me fais... » il se pince les lèvres, résiste à l'envie de prendre ses lèvres de nouveau. « t’as pas fini. il me reste du sang là. » ezio il monte son poing. le con. quelle idée de frapper dans un miroir aussi. matteo il soupire avant de récupérer une compresse propre et d'éponger le sang qui suinte encore des plaies toutes fraîches, recouvrant la main d'ezio d'une des siennes, il la porte à ses lèvres, embrassant la paume et l'intérieur de sa main, avant de mordiller deux de ses doigts, mimant un geste qui n'a rien de sous-entendu pour le jeune homme, fixant toujours le regard azur. matteo il s'amuse un peu, avant de finalement relâcher la main d'ezio. « la fille de la pharmacie a dit qu'il fallait désinfecter avec un truc là-dedans » matteo il fouille un peu le sac pour y trouver un désinfectant, il récupère un bout de tissu propre avant d'en imbiber de désinfectant et de nettoyer correctement les nombreuses plaies se retrouvant sur le poing d'ezio. « quelle idée de frapper un miroir aussi. » matt se pince les lèvres avant d'esquisser un léger sourire et de se relever, rassemblant les cotons sales et usagés avant de se diriger vers la cuisine pour la jeter. il se doute du regard d'ezio derrière lui, presque brulant. matt il sait qu'il porte ce genre de pantalons un peu trop large et qui lui tombe sur les hanches, il se mordille les lèvres avant de jeter les compresses et de revenir vers ezio, s'arrêtant à l'entrebâillement et la porte pour y prendre appuis, continuant de ce mordiller les lèvres. « j'espèrais que tu vienne. » qu'il lâche avant de se rapproche de nouveau d'ezio, contournant la chaise sur laquelle il est assit pour se retrouver dans son dos. matteo il se penche derrière ezio et il commence à défaire les premiers boutons de sa chemise pour glisser une main sur son torse. « tu sais que j'ai pensé à toi, quand j'ai pris ma douche ? » qu'il souffle contre son oreille, la voix rauque et basse, alors que sa main continue de découvrir la peau diaphane.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Mer 15 Juin - 2:16
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Tu as besoin d’adrénaline. De sensations. Tu as besoin de te sentir vivant. Savoir que tu as le contrôle. Parfois. Avec toute cette vie dans laquelle tu es enfermé, ces moments où tu retrouves cette liberté sont essentiels. Cette liberté qui t’est si précieuse. Toi, prisonnier de ta vie. Dans cette cage dorée que t’offre ton nom de famille. Ton paternel qui dirige ta vie sans que tu puisses faire quoi que ce soit. Tu aimerais être spontané, ne pas réfléchir et faire. Mais tu ne peux plus. Tu dois penser à trop de choses maintenant. Tes actions déteignent sur ta famille, sur son image et sur l’empire. L’empire que ton père a crée et dont il est si fier. Mais tu n’arrives pas à être satisfait. Cette vie ne te convient pas. Te lever chaque matin pour te retrouver derrière un bureau ça ne te plait pas. Ca ne te ressemble pas. Tu veux des frissons. Tu veux ressentir des émotions. Bien plus que de l’agacement ou de la colère. Matteo c’est ta bouffée d’oxygène. Ta petite brise d’air frais dans cette atmosphère si pesant. Son regard, son sourire, son toucher. Tout te fait de l’effet. C’est physique. Uniquement physique. Une attraction qui ne s’explique pas. Tu as besoin de lui. Ton corps en a besoin. Tu le ressens au plus profond de ton être quand tes yeux croisent les siens. Encore plus ce soir. Parce-que cet abruti t’a cherché. Il t’a embrassé. Il t’a frustré. Et toi tu veux qu’il continue ce qu’il a commencé. Alors tu le cherches. Tu y vas doucement. Un sourire. Un regard malicieux. Tes lèvres qui se pincent. Une caresse sur les siennes. Légère. Mais si intense. Pleine de sous-entendu. Puis tu fais un deuxième pas. Tu le mordilles. Tu adores. La sensation. Le contrôle que tu as. Il se contrôle. Il ne réagit pas. Presque pas. Alors tu te recules de nouveau. Tu joues. Tu lui montres que tu seras un adversaire de taille. Tu ne comptes pas repartir avant de l’avoir déshabillé, avoir t’avoir parcouru son corps avec tes lèvres. Tu lui montres ton poing. Ensanglanté. Signe de ton dernier coup de colère de la soirée. Contre le miroir. Il s’est brisé et a ouvert tes phalanges. Tu ne le regrettes pas. Pas quand tu vois Matteo qui nettoie tes plaies. Délicatement. Parfaitement. Il fait attention. Il prend son temps. Puis il amène ta main à sa bouche. Un baiser sur ta paume. Un à l’intérieur de ta main. Il mordille deux de tes doigts. Tu lèves les yeux au ciel, amusé. Tu n’es pas le seul à vouloir jouer. Cette tension entre vous. Ce désir qui s’installe. Progressivement. Silencieusement. Accompagné de la délicatesse de ses gestes. Chaque coup valait le coup. Celui de Jago. Celui que tu t’es infligé tout seul. Matteo efface ta douleur, ton mal-être, ta colère par le simple contact de ses lèvres sur ta peau. Alors tu en réclames un peu plus. Tu veux son attention. Encore un peu. Tu en as besoin. Tu le vois fouiller pour trouver le désinfectant. il continue. Ton poing ressemble de nouveau à quelque chose. T’es moins amoché. Moins ensanglanté. « Quelle idée de frapper un miroir aussi. » qu’il te dit. Tu veux répondre mais son sourire t’en dissuade. Tu ne veux pas dire de connerie. Tu serais prêt à retourner la situation. Tu pourrais arriver à l’énerver si tu réponds. Tes lèvres restent scellées. C’est mieux. Il débarrasse la table. Il se lève. Ton regard dérive sur ses hanches, sur ses fesses. Tu t’y atteles probablement un peu trop. Sans t’en rendre compte. Bon dieu, ce jogging lui va merveilleusement bien. Tu t’en mords les lèvres par réflexe, sans même chercher à le provoquer. C’est juste toi qui essaye de rester tranquillement sur ta chaise plutôt que le suivre et le plaquer contre le mur. Il revient vers toi. Il se pose à l’entrebâillement de la porte. Il te regarde droit les yeux, les lèvres pincées. « J'espèrais que tu vienne. » Quelques mots. Innocents pour certains mais pas pour toi. Il t’attendait. Il voulait que tu viennes. Il est parti tout à l’heure du bar mais il ne le voulait pas. C’est ça que tu comprends derrière sa phrase. Il a juste été raisonnable. Pour deux. Toi tu en aurais été incapable. Alors il l’a fait. Il s’est détaché de toi et il est parti. « Je suis juste venu pour que tu puisses finir ce que tu as commencé » Tu hausses les épaules. Tu le dis d’un ton nonchalant. Comme si tu le faisais pour lui et uniquement pour lui. Sauf que ce n’est pas un service que tu lui rends, Ezio. Tu en as autant envie que lui. Si t’es là, c’est pour ne pas repartir frustré cette fois. Il s’avance. Tu t’attends à ce qu’il revienne en face de toi mais il en a décidé autrement. Il contourne la chaise. Ca t’intrigue. T’es prêt à t’insurger et à râler. Tu te dis qu’encore une fois il se fout de toi. Mais ses doigts emprisonnent les premiers boutons de ta chemine. Un à un. Il les défait. Puis un souffle. Ton oreille qui se raidit. « Tu sais que j'ai pensé à toi, quand j'ai pris ma douche ? » Sa voix rauque qui te fait tressaillir. Certaines parties de ton corps qui se raidissent. Sa main qui glisse. Le long de ton torse. Il veut ta mort. « Matt… » Tu ne t’en rends pas compte. Ca t’échappe. Un gémissement. Léger. Trop sincère. Tu penches la tête en arrière. Tu lui donnes plus d’accès. Tu ne veux pas qu’il arrête. Non. Pas maintenant. Alors tu essayes de reprendre tes esprits. Retrouver des mots. Oui l’usage de la parole. Il attend une réponse. « T’aurais dû… m’attendre. Je me serais occupé de toi. » Ta voix est basse. Tu murmures. Tu veux que chaque mot lui fasse de l’effet. « J’aurai parsemé chaque partie de ton corps avec mes lèvres. J’aurai laissé ma trace. Dans ton cou. Sur ton torse. Dans ton entrejambe. » Sa main qui continue son chemin. Tu brûles. D’envie. De désir. De manque. Tu veux plus. Mais en même temps tu veux qu’il continue. Tu ne veux pas aller trop vite. « Laisse-moi te montrer. S’il te plait. » Tu le supplies presque. Tu attends juste un simple mot. Trois petites lettres.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Mer 15 Juin - 12:28
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un jeu. à celui qui craquera en premier ce soir, à celui qui engagera le premier mouvement, destructeur, intense, désiré, depuis trop longtemps. il a jamais réussi à expliquer pourquoi il était autant dépendant d'ezio, par moment. matteo il se mordille un peu la lèvre inferieure, c'est presque un tic, même s'il est rare de le voir, ezio, il est un peu privilégié dans le fond. par moment ça le fait rire matteo, parce qu'il se dit que si quelqu'un était réellement au courant de ce petit jeu entre eux, ça risquerait de créer encore plus d'histoire. puis matteo il est pas certain que ses frères et sœurs approuvent totalement la chose, surtout jago, en réalité. tant pis. c'est toujours plus excitant de garder un lien comme celui-la totalement secret. matteo il contourne la chaise sur laquelle est assit ezio pour se retrouver dans son dos, il se penche un peu pour commencer à déboutonner la chemise du plus jeune, pour laisser ses mains s'égarer sur l'épiderme sensible, il souffle quelques paroles à l'oreille du jeune et il sent son corps se tendre sous ses doigts, il sourit un peu matteo, ce soir, il veut faire craquer son amant. il effleure du bout des doigts l'encre qui recouvre le torse d'ezio à certain endroit, il dessine les tatouages qu'il connaît sans doute trop bien. « matt… » un gémissement soufflé dans l'air, un frisson qui remonte le long du dos de matteo, tout son corps électrisé par la prononciation si particulière de son prénom. ou plutôt de son surnom, c'est pareil. la tête d'ezio elle est un peu penchée en arrière, matt il vient mordiller la peau trop sensible de sa gorge, sa main continuant d'explorer le torse du jeune, griffant parfois la peau, il sourit un peu, suçote la peau du cou d'ezio, il y laisse une trace violacée, sa trace.
Spoiler:
« t’aurais dû… m’attendre. je me serais occupé de toi. j’aurai parsemé chaque partie de ton corps avec mes lèvres. j’aurai laissé ma trace. dans ton cou. sur ton torse. dans ton entrejambe. » chaque mot murmurés a son propre effet, matteo il ferme les yeux un moment, refuse de laisser un gémissement passer la barrière de ses lèvres, il les mords un peu quand même, alors qu'il termine de défaire la chemise d'ezio, lui intime d'un mouvement silencieux de la retirer, la faisant glisser sur ses épaules et dévoilant ses bras tatoués. « laisse-moi te montrer. s'il te plait.. » il supplie presque ezio, matt il tente de rester calme mais y'a ce désir qui lui brûle déjà les reins, qui menace de le faire craquer. non. il vient mordiller une des épaules dénudée du plus petit tout en laissant une main défaire la ceinture de l'autre, le libérant d'une pression certaine. « regarde-toi, presque suppliant pour poser tes lèvres sur mon corps, dirty boy ezio ... » matteo il laisse traîner son accent italien sur ses lèvres, avant de mordre la peau pâle sous ses lèvres, comme pour punir ezio d'une action jamais exécutée. sa main droite vient se poser sur le désir plus qu'évidemment d'ezio au-delà de son pantalon, emprisonnant entre ses doigts le résultat d'un jeu trop dangereux de provocations. « tu n'as pas été très sage ce soir ... » qu'il souffle à son oreille, un sourire provocateur sur les lèvres.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Mer 15 Juin - 14:59
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Spoiler:
Tout a été trop vite. Cette soirée au bar. Tu ne sais même pas le résultat du match. Tu t’en fiches. Tout ce que tu retiens c’est que tu n’étais pas sur le terrain alors au fond tu espères que l’équipe italienne a perdu. Oui ça fera du bien à ton ego de te dire que sans toi, ils n’ont pas été au mieux de leur forme. Et peut-être que ça fermera le clapet à tout ceux qui ont critiqué ton absence en France ce soir. L’alcool qui a coulé le long de ta gorge. Ta colère qui a grandi à la simple vue de tes ennemis. Les Sorabella. Les mots qui sont sortis, trop vite, trop cinglants. Les menaces et les coups. Puis sans rien y comprendre tu t’es retrouvé avec Matteo. Seuls. Dans un espace si confiné. Proches de tout le monde. Une simple porte qui vous séparait des autres. Les familles les plus puissantes de Vérone. La tienne. La sienne. Les Borgia. Il t’a suivi. Il t’a vu partir et il s’est éclipsé. Il n’a pas réussi à rester loin de toi. Tu ne pensais pas qu’il prendrait ce risque. Parce-que votre histoire elle a toujours été discrète. Secrète même. Un monde à vous. Enfermés dans une chambre. La sienne le plus souvent. Quatre murs qui vous coupent de tout. T’es un Armani. Lui un Sorabella. C’est incompatible, impossible, impensable. Pour vous, comme pour eux. Vous ne pouvez pas. Vous avez essayé. Il y a quelques années. Tu l’as séduit. Pour le plaisir. Pour la conquête. Pour la fierté. Te dire que tu as réussi à le rendre fou. Mais vous n’avez jamais vraiment su vous quitter. Tu ne peux pas. Tu n’y arrives pas. Dès que tu le vois, ça te prend aux tripes. Tes yeux ne le lâchent pas. Tu as besoin de trouver son regard, de t’assurer que lui aussi il le te voit, qu’il sent ta présence. Un besoin. Une nécessité. Comme deux aimants. Deux opposés qui ne peuvent pas se passer l’un de l’autre. Ce désir il s’intensifie à chacune de ses paroles, chacun de ses sourires, chacune de ses caresses. Tu réagis. Ton corps réagit à la seconde. Sans que tu puisses le cacher. De toute façon, il sait que tu es à lui. Complètement. Entièrement. A l’instant même où tu gémis son nom dans un souffle, il le comprend. Tu t’abandonnes doucement à lui, à son corps, à ce désir que tu ne peux pas contenir. Son surnom qui s’échappe de tes lèvres. Une délivrance, presque. C’est sincère. Un poids que tu semblais porter sans le vouloir. Tu veux qu’il sache que sa seule main sur ton torse te fait gémir. Mais il ne répond pas. Tu ne t’en rends pas compte tout de suite. Trop occupé à te mordiller la lèvre pour contenir d’autres signes de faiblesse. Sa main. Un toucher électrique. Des caresses sur tes tatouages. Ils brûlent sous le contact. Puis ses lèvres. Ton cou qui semble à sa merci. Tu le sentirais presque sourire. Fier de lui. Fier de te voir dans cet état alors que ça fait même pas dix minutes qu’il joue avec toi. Si réceptif. Ses lèvres contre ta peau. Un toucher électrique. Un frisson qui parcoure l’ensemble de ton corps. Tu fermes les yeux. D’un geste ferme, il laisse sa trace. Sur ton cou. Les suçons c’est ta faiblesse. Le petit truc qui peut te faire craquer rapidement. Trop rapidement parfois. Lui, Matteo Sorabella, a laissé une trace violacée sur ta peau. Visible. Volontaire. Tu veux lui appartenir. Ce soir, plus que tout. Tu veux rentrer chez toi en ayant des marques de lui sur ton corps. Ses lèvres. Ses mains. Tu veux que ça se voit. Tu veux pouvoir dire que c’est lui qui te les as faites. Même si tu sais que jamais ces mots ne sortiront de ta bouche. Dommage. Alors tu essayes de le faire craquer aussi. Tu veux qu’il s’imagine à ta place. Celui qui reçoit. Celui dont on s’occupe. Celui qui se sent désiré. Ta langue s’applique à le faire rêver. Tu lui donnes une image de ce qu’aurait pu être sa douche si tu avais été avec lui. Tu aurais voulu. Partager ce moment avec lui. Vous deux, nus. L’un contre l’autre. Le rendre fou avant même d’être sous les draps. Ses doigts ont défait chaque bouton de ta chemise. Il la glisse le long de tes épaules. Une épaisseur de moins. Tu te sens plus léger. Comme si finalement tu suffoquais par son simple contact. Tu le supplies. Tu ne peux pas faire autrement. C’est insupportable. Ne pas le voir. Ne pas voir comment il réagit à tes paroles, à tes bruits. Juste le sentir dans ton dos sans même le sentir. Tu ne peux pas le toucher. Il est là contre toi mais pas assez près. Il ne l’est jamais de toute façon. Puis ses lèvres retrouvent ta peau. Ton épaule. Ses dents qui te mordillent. Alors que sa main s’attarde sur ta ceinture. C’est trop. Trop d’un coup. Tu te sens submergé. Tu n’as qu’une seule envie. Te lever et l’embrasser. Violemment, passionnellement. Il te titille. Il s’amuse. Il joue avec ta patience. « Regarde-toi, presque suppliant pour poser tes lèvres sur mon corps, dirty boy Ezio ... » Sa voix. Son accent. La proximité de ses lèvres avec ton oreille. Tes sens sont démultipliés. Tout s’intensifie. Encore plus quand sa main se pose plus bas. L’emprise qu’il a sur toi. Visible pour vous deux. Ce désir naissant. Résultat de ce jeu. Tu trésailles. Tu t’empêches de bouger à ce simple contact. « Tu n'as pas été très sage ce soir ... » Un souffle. Une provocation de plus. Ton désir qui monte. Ton pantalon qui commence terriblement à te gêner. « Punis-moi. Montre-moi que ce que j’ai fait c’est mal. » Un murmure. Un souffle. Les mots qui sortent de ta bouche. Tu te mords les lèvres. Tu gémis. Timidement. Discrètement. Tu sais qu’il l’entend. Tu sais qu’il voit dans quel état il te met. « Fais quelque-chose. Je t’en supplie. Je ferai ce que tu veux. » Tu t'énerves presque. Tu t'impatientes. Tu es prêt à tout. Tout pourvu qu’il fasse quelque chose. Qu’il te touche. Qu’il t’embrasse. Que ses doigts te caressent. Tu es prêt à tout pour lui. « Je suis tout à toi. Entièrement à toi. » Une confession. Pleine de sincérité. Tu veux être à lui. Lui appartenir. Et ce que tu veux encore plus c’est le sentir à toi. Le sentir s’abandonner à toi. Se donner entièrement à toi. Ce soir, c’est lui et toi. Dans votre monde.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Mer 15 Juin - 18:42
I WANT YOU CLOSE, AND CLOSE
AIN'T CLOSE ENOUGH
Spoiler:
matteo il sait que ça rend fou ezio de ne pas pouvoir le voir, ni le toucher, d'être contraint de subir caresses et baisers, sans rien pouvoir faire en échange, ne rien faire d'autre que d'être à sa merci. oui, matt le sait, il le voit aussi, penché derrière ezio, il a tous le loisir d'observer son corps réagir à chacune de ses actions, quand il commence à déboutonner sa chemise et explorer son torse de ses mains tout en dessinant ses tatouages du bout des doigts, il effleure à peine l'épiderme sensible, dépose quelques baisers volatiles sur son cou et mordille son épaule, il laisse un suçon qui sera visible de tous le lendemain. matteo retire sa chemise à ezio, la laissant s'échouer sur le sol, au pied de la chaise sur laquelle le plus jeune est coincé, pris au piège, obligé de se soumettre à ses caresses. il s'amuse un peu aussi, laisse trainer ses mains sur la ceinture d'ezio, sur son pantalon, taquinant le désir trop grand de son amant, lui murmurant à l'oreille quelques mots, laissant traîner son accent typiquement italien sur ses lèvres, sa voix la plus basse possible. il voit le corps d'ezio se raidir, profite que le plus jeune ai la tête penchée en arrière pour mordiller la peau trop fragile de sa gorge exposée à son bon vouloir. matteo s'amuse. il s'amuse de l'effet qu'il fait à ezio, il en a un bel aperçut, penché par-dessus son épaule, un sourire carnassier sur les lèvres, il murmure toujours contre l'oreille du plus petit, il veut lui faire perdre la tête, le rendre suppliant pour être comblé, qu'il le supplie pour qu'il termine ce qu'il a commencé quelques heures plus tôt. « punis-moi. montre-moi que ce que j'ai fait c'est mal. » un gémissement s'échappe des lèvres d'ezio, à nouveau, matt se pince les lèvres, il a chaud, beaucoup trop chaud, il sait que lui-même ne tiendra pas longtemps s'ils continuent à se provoquer comme ça, avant que l'un d'eux ne cède. « fais quelque-chose. je t'en supplie. je ferai ce que tu veux. je suis tout à toi. entièrement à toi. » matteo frissonne, un léger gémissement s'échappe enfin d'entre ses lèvres closes, se rapprochement plus du ronronnement d'un chat que d'un réel gémissement d'ailleurs. il ferme les yeux un moment avant de se redresser, abandonnant le corps d'ezio, le laissant là, pantelant, en manque. il passe une main dans ses cheveux pour empêcher quelques mèches de barrer son front. « ce que je veux ? » qu'il répète, détachant chaque syllabe. « tu voulais me toucher tout à l'heure, explorer mon corps avec tes lèvres. met-toi à genoux. » qu'il siffle, contournant finalement la chaise pour glisser une main dans les cheveux d'ezio, se penchant sur lui pour lui voler un baiser, mordiller sa lèvre, sans pour autant le toucher de nouveau de manière concrète. « s'il te plait. » qu'il rajoute contre son oreille, amusé de la situation à présent.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Mer 15 Juin - 22:18
I want you close, and close ain't close enough mattezio
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Il te fait perdre tous tes moyens. Il serait capable de te faire oublier tous tes principes, tout ce qui te caractérise. Ton ego. Ta fierté. Ton impulsivité. Ton immaturité. Tout ce qui fait qu’en général les gens ne t’apprécient pas vraiment aux premiers abords. Ton nom de famille fait beaucoup, il est un obstacle. Il intimide et il est craint. Ce nom qui fait partie de toi sans que tu le veuilles vraiment. Tu n’as pas le sang Armani qui coule dans les veines. Tu es une pièce rapportée. Un garçon des rues qui est devenu petit prince grâce à un simple papier. Ton nom. L’unique raison pour laquelle c’est interdit ce que tu es en train de faire. Ces quelques lettres, qui te définissent aux yeux de la loi, t’empêchent d’être là ce soir, avec lui. Ça pourrait être tout un tas de choses. Votre différence d’âge. Vos caractères si différents. Vos passés. Mais non, c’est simplement ce conflit débile qui vous tire en arrière. C’est ridicule, futile et pourtant si contraignant. Parce-que depuis la mort de ton frère, tu t’es juré de les faire payer. Tous. Toute la fratrie Sorabella. Ça rend toute cette situation encore plus excitante à tes yeux. Tu aimes l’interdit. Tu aimes déjouer les règles. Tu es de ceux qui n’en font qu’à leurs têtes sans vraiment se soucier des conséquences. Alors tu es peut-être là juste pour ça. Désobéir. Braver l’interdit. Avec lui. Chez lui. Une fois la porte fermée, tu ne le vois plus comme le frère d’Antonia. Il est juste Matteo, ton ancien amant. Celui qui sait parfaitement comment te faire craquer, qui sait satisfaire le moindre de tes désirs. Celui qui sait te faire gémir en te murmurant quelques mots à l’oreille. Lui. Uniquement lui. Tu as perdu ta chemise. Tu te retrouves torse nu, presque vulnérable. Prêt à lui offrir tout ton être s’il le demande. Tu n’es plus le petit con qui cherche à énerver un mec qui fait trois têtes de plus que toi dans un bar. Tu es juste un gamin de vingt-quatre ans qui veut qu’on s’occupe de lui, qui veut qu’on lui donne du plaisir. Et tu sais qu’il saura le faire. Il l’a déjà fait. Ces souvenirs sont ancrés en toi et probablement aussi dans ton corps. Des images délicieuses, envoûtantes. Tu n’arrives pas à contenir ton deuxième gémissement. C’est trop. Il attise ton désir. Il te cherche. Sa façon de parler. L’utilisation des mots. Il les manie à la perfection. Chaque mot t’atteint. Délicieusement. Alors tu cèdes. Une première fois. Par la parole. Tu lui donnes raison. Tu reconnais ne pas avoir été sage. Tu lui demandes de te punir. Tu veux qu’il le fasse. Tu te soumets complètement parce-que tu veux juste qu’il continue. Ses provocations. Ses caresses. Ses mots. Tu pourrais passer la nuit à l’entendre murmurer dans ton oreille. Tu lui donnes ce qu’il veut. Tu supposes que c’est ce qu’il veut. Tu lui dis que tu es à lui, juste à lui. Parce-que tu ne veux pas que ce soit un sous-entendu. Tu veux qu’il l’entende de ta bouche. Tu veux que ces mots résonnent dans sa tête. Tu veux qu’il puisse les entendre encore demain matin au réveil. Tu sais que ça lui fait quelque chose. Parce-qu’au fond vous n’êtes peut-être que des amants, il sait qu’il a un pouvoir sur toi. Trop grand peut-être. Dangereux pour toi. T’es dépendant. Complètement. Quand il s’agit de lui, tu ne réfléchis plus. Tes pulsions prennent le dessus sur ta raison. C’est l’effet Matteo. Juste lui. Puis enfin tu l’entends. Il réagit. Enfin. A tes mots. Un ronronnement. Un sourire satisfait s’affiche sur ton visage. Il est fort. Il se contrôle. Il fait tout pour être sous contrôle depuis le début mais tu arrives à lui retirer un bruit. Significatif. Il en dit tellement à travers ça. Tu entends qu’il veut aussi. Tu entends qu’il aime savoir que tu te donnes à lui ce soir. Tu entends son désir. Son impatience aussi. Alors ça t’amuse. Tu te dis que finalement il est peut-être dans le même état que toi actuellement et que s’il est derrière toi, c’est simplement pour le cacher. Parce-qu’oui t’es peut-être un Armani, t’es peut-être un gamin mais tu lui fais de l’effet. Il ne peut pas le nier. Il ne peut pas dire le contraire. Tu le sais. Tu le sens. Mais d’un coup tu le perds. Il s’écarte de toi. Tu paniques mais tu laisses rien transparaitre. Tu ne le sens plus derrière toi. Sa peau n’est plus en contact avec la tienne. Plus rien. Sa main. Ses lèvres. Elles ont disparu. Immédiatement tu ressens un manque. Tu as presque oublié ce que c’était d’être sans lui. Tu as besoin de le sentir. « Ce que je veux ? » Il prend le temps de détacher chaque syllabe. Lentement. Délicatement. Tu trésailles. Tu frissonnes. Tu reprends tes esprits. Quelques secondes. Quelques secondes pendant lesquelles tu te demandes si tu n’as pas été trop loin. Si tu ne l’as pas effrayé. Tu ne veux pas repartir. Pas maintenant. Tu es arrivé frustré. Tu ne veux pas repartir dans le même état. Surtout que là clairement, tu es encore plus chamboulé que quand il t’a laissé seul quelques heures plus tôt. Tu te contentes d’hocher la tête. Un hochement franc. Tu es craintif. Tu le sais capable de beaucoup de choses. Et il est doué (trop à ton goût) pour te frustrer. « Tu voulais me toucher tout à l'heure, explorer mon corps avec tes lèvres. Met-toi à genoux. » Il ne compte pas te renvoyer chez toi. Ca c’est une bonne nouvelle. Il veut juste passer à la vitesse supérieure. Et clairement tu ne vas pas lui dire non. Tu es impatient. Impatient de pouvoir le déshabiller. Le sentir nu contre toi. Il arrive devant toi. Il te surplombe. Il est grand Matteo. Et il est beau. Terriblement beau. Mais il l’est encore plus nu. Son t-shirt et son jogging te gênent bizarrement. Il s’approche de toi. Sa main se glisse dans tes cheveux. Il te vole un baiser. Rapide. Il s’agit presque d’une caresse. Puis il mordille ta lèvre. Tu lèves les yeux au ciel. Ca te rend fou. Il le sait. Il en joue. Il lâche un « S'il te plait. » contre ton oreille et tu profites de sa proximité pour attraper son visage entre tes mains et l’embrasser. Adieu le doux baiser. C’est violent, impatient, désordonné. Tu ne réfléchis pas. Une pulsion. Ton doigt vient attraper le col de son t-shirt, tu profites qu’il soit baissé pour l’attirer vers le sol avec toi. Tu dégages la chaise d’un coup de pied. Tes lèvres ne lâchent pas les siennes. A aucun instant. Il se retrouve au-dessus de toi. Son corps contre le tien. Puis tu te détaches. A peine. Tu peux presque sentir ses lèvres encore contre les tiennes. Tes yeux bleus trouvent les siens. Ils pétillent. De désir. De malice. « Les règles du jeu ont changé. C’est moi qui donne les ordres maintenant. » Tu ne lui laisses pas le temps de répondre. Tu le retournes. Tu te retrouves au-dessus. Tu passes une jambe de chaque côté de ses cuisses. Tu le chevauches. Un air fier se lit sur ton visage. Ça te plait. Le voir comme ça. A ta merci. A son tour. Toi aussi tu peux jouer avec lui. Ta main vient se glisser sous son t-shirt, elle trouve sa peau nue. Son torse. Tes doigts se faufilent. Tu attends de le sentir frissonner sous ton contact. Tes lèvres s’approchent de son oreille, tu lui souffles. « Je vais bien m’occuper de toi, tu vas voir. Moi aussi je sais te rendre fou. » Tu as à peine fini ta phrase que tu lui mordilles le lobe d’oreille. Tu profites qu’il soit occupé par cette sensation pour faire glisser tes doigts vers son jogging. Tu as envie de lui enlever. Terriblement envie mais tu attends un signe de sa part. Juste ça et tu t’exécuteras dans la seconde.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Mer 15 Juin - 23:35
I WANT YOU CLOSE, AND CLOSE
AIN'T CLOSE ENOUGH
Spoiler:
c'est entêtant de sentir un corps défaillir sous son toucher, de sentir la peau frémir et les muscles se contracter quand les doigts effleurent à peine l'épiderme sensible. c'est addictif cette sensation, comme une drogue qui glisse dans les veines et s'empare du corps tout entier, c'est incontrôlable, ça le rend presque dépendant, matteo. dépendant des réaction d'ezio quand il le touche, malgré les années qui ont pu s'écouler, malgré la répétition des gestes, c'est jamais les mêmes réaction chez le gamin, matteo il adore ça, il ne se lasse pas des gémissements qui traversent les lèvres du plus jeune alors qu'il est simplement en train d'effleurer son torse, de lui murmurer quelques paroles à l'oreille, il ne se lasse pas du corps qu'il surplombe aisément, de ses réactions, matt il s'amuse des points qu'il sait sensible chez ezio. il s'amuse à laisser des suçons sur sa peau, à retracer ses tatouages du bout des doigts, il laisse ses mains s'égarer entre ses cuisses, malgré le pantalon qu'ezio porte encore, matteo il défait la ceinture du jeune sans pour autant lui retirer son pantalon, pression exercée sur ce point trop sensible du corps. c'est un jeu, c'est juste un jeu, à celui qui craquera le premier. matteo il sait contrôler l'impression qu'il donne, mais il est encore loin de pouvoir contrôler le désir qui s'empare de ses reins et qui lui brûle le ventre alors qu'il voit ezio devenir suppliant sous son toucher. il ferme un peu les yeux, il essaye de mettre de l'ordre dans son esprit, sans succès, évidemment. il taquine ezio, évènement de ce début de soirée évoquée, punition réclamée, appartenance soufflée dans quelques mots entrecoupé de gémissements. il se pourrait bien que matteo craque plus rapidement que prévus, parce qu'ezio, il sait à quel point ce genre de langage ça le chauffe à blanc matt, ça attise le désir qui rampe sous sa peau, lui-même sait comment rendre fou son amant. c'est donnant-donnant ce soir. matteo il s'éloigne d'ezio, le laisse pantelant sur la chaise sur laquelle il est encore assit, il détache les syllabes des mots qui franchissent ses lèvres, appuyant les dires du plus jeune, une idée bien précise derrière la tête. il se pince les lèvres, contourne la chaise pour se retrouver de nouveau face à ezio. ordre lâché et baiser donné, lèvres effleurée et mordiller alors qu'ezio lui rend un baiser plus sauvage, plus violent, désordonné et impatient, désireux de plus. y'a ses doigts qui agrippent le t-shirt de matteo qui n'a d'autre choix que de se retrouver au sol, au-dessus d'ezio, leurs visages presque collés l'un à l'autre. leurs regards se croisent une nouvelle fois alors que l'azur des prunelles du plus jeunes pétillent de désir et de malice. « les règles du jeu ont changé. c'est moi qui donne les ordres maintenant. » il a pas vraiment le temps de répondre ou d'assimiler totalement les paroles prononcées que son dos heurte le sol, ezio assit sur ses hanches, le chevauche, un sourire malicieux se dessine sur les lèvres de matteo alors qu'il se redresse à peine sur ses coudes, tandis que son amant glisse ses mains sous son t-shirt, contre sa peau bientôt dénudée quand le t-shirt passe par-dessus sa tête pour atterrir sur le sol. y'a ses muscles qui se contractent d'eux-mêmes à matteo et la sensation froide du sol dans son dos qui lui arrache un léger frisson, alors qu'ezio se penche sur lui pour murmurer près de son oreille. « je vais bien m'occuper de toi, tu vas voir. moi aussi je sais te rendre fou. » ezio qui mordille le lobe de son oreille, léger gémissement qui passe ses lèvres alors que les doigts fin se faufilent sur son torse et jusqu'à son pantalon, temps d'arrêt, léger flottement dans l'air, tension présent et trop accentuée entre eux. « je n'attends que ça, que tu t'occupes de moi. » qu'il souffle, un air de défis dans la voix, avant de venir prendre les lèvres d'ezio une nouvelle fois.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Jeu 16 Juin - 13:39
I want you close, and close ain't close enough mattezio
Spoiler:
Le romantisme à deux balles. Les moments gênants. Les silences pesants. Les sourires maladroits. Tu ne veux pas de tout ça. Tu n’y crois pas. A tes yeux ce ne sont que des conneries. Une lubie que les gens inventent pour avoir foi en leur prochain, pour se convaincre que les autres sont bons et prêts à les aimer quoi qu’il arrive. Sauf que non, ce n’est pas le cas. Le cœur ça se brise, ça se piétine et ça se détruit. Plus d’une fois. Se relever est difficile. Long, douloureux. L’amour c’est bon pour les films et les livres à l’eau de rose. Pas pour la réalité. Toi tu préfères le langage du corps. Tu te sens proche d’une personne uniquement quand tu la sens contre toi. Tu es un croyant pratiquant. Très pratiquant même. Dévoué complètement à la cause. C’est ta religion à toi. Tes prières tous les soirs consistent à te dire que tu ne seras pas attaché à quelqu’un pour le reste de ta vie. Que tu continueras d’être surpris continuellement. Que jamais tu ne seras ennuyé, lassé. Tu as besoin de ce frisson, de cette surprise. Tu ne veux pas que tes nuits se ressemblent, que tes ébats soient prévisibles. La passion. Juste ça. Tu veux être transporté. Oublier ton prénom, ton nom, tes obligations pendant quelques heures. Te mettre à nu physiquement et sentimentalement. Avoir une confiance infinie en ton partenaire. Ne pas réfléchir. T’exprimer sans te retenir. Tu as confiance en Matteo. Trop peut-être. A en oublier qu’il est censé être ton ennemi. Alors tu réagis sans penser. A ses caresses. Ses baisers. Ses provocations. Ses lèvres. Rien n’est contrôlé, rien n’est réfléchi. Tu fais comme ça te vient. Les gémissements. Les lèvres qui se pincent. Tes réponses. Peut-être trop directes. Elles te rendent vulnérables, soumis. Entièrement. Tu te laisses faire. Complètement. Aveuglement. Tu n’as pas peur. Mais dès que l’occasion se présente, tu retournes la situation. Tu prends le dessus. Le contrôle. Fièrement. Un baiser. Violent, passionné. Ses lèvres contre les tiennes. Tu l’attires vers le sol. Tu as ton idée en tête. Tu sais parfaitement ce que tu fais mais lui semble plus intrigué. Il te suit. Lui au dessus de toi. Son corps contre le tien. Ton désir qui réagit à la proximité. Mais tu ne cèdes pas. Tu pourrais lui dire de t’achever. Maintenant, tout de suite. De te déshabiller, de se mettre nu et de te faire rêver. Mais non. Tu veux jouer aussi. Tu l’as laissé faire. Tu as été sage. Tu t’es exécuté. Il s’est amusé avec toi. Ton corps. Tes réactions. Tu as perdu ta chemise dans la bataille. Tu as gagné une marque dans le cou. Mais c’est que le début de la soirée. Tu ne comptes pas dormir. Tu veux profiter de lui. Tant qu’il est à toi. Alors tu l’auras pour la nuit. Toute la nuit. Tu le regardes avec malice. Il sait que tu ne comptes pas céder si facilement. Il te connait, Matt et il sait que tu es têtu et joueur. Ca lui plait. Surtout quand tu es prêt à jouer à te déshabiller avec lui. Alors tu lui annonces que les règles ont changé. Que c’est toi qui décide maintenant. Tu le retournes. Tu le chevauches. Une position que ton amant affectionne particulièrement. Un souvenir dans ton esprit. Des images qui te rappellent les fois où il t’a demandé de te placer au-dessus de lui de cette façon. Tu es fier. Heureux de le surplomber. C’est rare. Rare que tu sois celui qui prend les choses en main. Il est plutôt entreprenant et toi tu lui laisses de quoi faire. Tes doigts qui se glissent sur son torse. Son t-shirt qui tombe sur le sol. Tu te mords les lèvres à la simple vue de son torse nu. Tu as envie de toucher, sucer, mordre. Toi aussi tu veux laisser ta trace. La tienne. Celle de son amant de ce soir. Tu veux être jalousé par tout ceux qui oseront poser leurs yeux sur lui. Mais tu ne te précipites pas. Tu t’approches de son oreille. Un murmure. Une promesse. Un désir à moitié avoué. Tu lui mordilles le lobe. Tu l’entends gémir. Un sourire satisfait s’affiche sur tes lèvres. Tes doigts en profitent pour se laisser glisser plus bas. Ils se faufilent. Discrètement. Alors qu’il est encore concentré sur la sensation que tu viens de lui procurer à l’oreille. Ils arrivent à l’élastique de son jogging. Une épaisseur. Un tissu qui t’empêche d’accéder à son corps nu. Une première étape à franchir. Tes yeux l’interrogent. Quelques secondes. Tu attends son accord. Quelques mots qui te feront comprendre que tu peux continuer, tu peux te risquer à le déshabiller davantage. « Je n'attends que ça, que tu t'occupes de moi. » Tu lèves les yeux au ciel. Il te donne l’impression d’être impatient. Comme s’il attendait que tu le fasses depuis que tu es arrivé. Toi tu comptais le faire, c’est lui qui a bousillé tes plans. Avec ses caresses, ses lèvres, ses mots. Il t’a complètement distrait. Tu n’attends pas plus et tu lui retires son jogging. Doucement. Tes doigts trouvent l’élastique. Ses hanches. Ses cuisses. Ses chevilles. Tu joues avec ses nerfs. Tu mets deux fois de plus de temps que nécessaire. Ton sourire en dit long. Tu comptes bien le pousser à bout. Tu attrapes le jogging du doigt et tu le lâches devant lui. Il est beau. Allongé au sol, silencieux, à t’attendre. Juste toi. En boxer. Evidemment. Il ne pouvait pas être nu sous son bas. Il fallait forcément qu’il ajoute une épaisseur supplémentaire pour te faire enrager. Ton index s’attarde sur le sous-vêtement. Tu caresses. A peine. Tu effleures. Le tissu. Son membre. Tu veux le rendre fou. Tu veux le sentir te désirer. « T’es chiant à porter un boxer. J’étais prêt à te voir nu moi. » Tu fais la moue. Tu boudes comme un gamin de cinq ans. Mais au fond tu te dis que ça te permet de le faire languir davantage. Alors tu te repositionnes. Sur lui. Tu poses doucement tes fesses au niveau de ses cuisses. Tu veux qu’il sente chaque parcelle de son corps qui touche le tien. Une à une. Tes jambes de chaque côté de lui. Tes mains qui attrapent ses poignets. Tu les amènes au-dessus de sa tête. Tu l’empêches de te toucher. Tu t’attends à ce qu’il râle. Tes lèvres qui touchent les siennes, sa mâchoire, son cou. Tu t’approches de son oreille. Un murmure. « Est-ce que tu mérites que je m’occupe de toi ? » Tu laisses la question légèrement en suspens. Quelques secondes. Le temps de laisser une marque dans son cou avec tes lèvres. Tu fais en sorte qu’elle soit visible demain. Ton souffle dans son cou. « J’ai envie de te faire du bien. Si tu savais comme j’en ai envie. » Tes derniers mots se transforment en gémissement. Comme pour appuyer tes paroles. Pour lui faire comprendre qu’il ne peut pas en douter. « Mais ma joue me fait encore mal à cause de la gifle que tu m’as mis tout à l’heure. Tu te souviens ? » T’es cruel. Lui rappeler cet instant va forcément l’agacer alors tu continues d’explorer. Comme pour accompagner tes paroles. Tes lèvres contre sa peau. Des tendres baisers. Sur son cou. Ses clavicules. Le haut de son torse. Tes mains qui agrippent les siennes au-dessus de sa tête. Tu veux qu’il te supplie. Comme toi, tu l’as fait tout à l’heure. Pour pousser le vice plus loin, tu bouges légèrement les hanches. Elles se frottent à son bas ventre. Lentement. Très lentement. Pour qu’il sente le mouvement en entier. Tes lèvres nichées sur son corps. Tu ne le vois pas. Tu peux juste l’entendre. Et tu veux désespérément l’entendre. Réagir à ton geste.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Jeu 16 Juin - 19:26
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AIN'T CLOSE ENOUGH
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la soirée n'aurait pas dû se terminer comme ça, normalement. mais peut-être qu'au fond, matteo il l'a un peu espéré,en voyant ezio au bar et non sur le terrain, ouai, sans doute, il s'attendait à ce que le gosse débarque chez lui, à un moment ou à un autre de la soirée, après le match sans doute, mais pas le visage en sang à la recherche de quelqu'un pour jouer le rôle d'infirmier. mais matteo il est sans doute trop bon cœur, alors il a soigné ezio, sans oublier de commencer doucement à le provoquer, s'amusant des réactions du plus jeune à ses propos, d'abord des paroles, puis des mains qui s'égarent sur les cuisses, sur le torse, sous le tissu recouvrant sa peau, les doigts qui s'amusent à effleurer la peau, rendre fou ezio, matt le touche à peine, savoure les réactions et le corps qui se tend contre le sien, tout s'enchaîne sans doute trop vite et trop rapidement alors que la tension monte dans la pièce, la chaleur aussi, sans doute, les baisers se font plus violent et plus affamés au fil du temps. ils se retrouvent tous les deux par terre, matteo grogne un peu quand son dos rencontre le sol alors qu'ezio s'installe sur ses cuisses, s'amusant à glisser ses mains sous son t-shirt, qui termine rapidement sa course sur le sol lui aussi. y'a les paroles du plus jeune qui sont murmurées au creux de l'oreille et le désir qui se répand dans les veines, enflamme les reins, gémissement qui passe les lèvres. mains qui s'égarent sur son torse, s'échouent sur l'élastique du jogging qui se retrouve lui aussi sur le sol, beaucoup trop lentement au goût de matt, mais il observe ezio, légèrement redresser sur ses coudes, il bouffe presque le gamin du regard, se pince les lèvres, désireux de plus, mais ezio il s'amuse, il effleure, touche à peine sa peau trop sensible, désir trop présent, léger gémissement qui s'échappe des lèvres de matt alors que sa tête se penche un peu en arrière, les yeux à peine ouverts. « t'es chiant à porter un boxer. j'étais prêt à te voir nu moi. » léger rire alors qu'il sent de nouveau le poids d'ezio sur ses cuisses, ses jambes de part d'autres des siennes et le plus petit il prend ses poignets pour les amener au-dessus de sa tête. matteo il arque un peu un sourcil, étonné des décisions d'ezio et il le laisse faire, étrangement, domination déléguée l'histoire de quelques instants. leurs lèvres se touchent, s'effleurent, avant que les lippes d'ezio s'attardent son cou. « est-ce que tu mérites que je m'occupe de toi ? j'ai envie de te faire du bien. si tu savais comme j'en ai envie. » la phrase se meurt en gémissement entre les lèvres d'ezio. il en a envie le gosse, pas de doute, il fait juste ça pour rendre matteo fou. fou de lui. il se pince les lèvres alors que plus petit laisse une trace dans son cou qui sera sans doute violacée le lendemain. « mais ma joue me fait encore mal à cause de la gifle que tu m'as mis tout à l'heure. tu te souviens ? » matteo il soupire à peine alors qu'il sent les lèvres d'ezio sur sa peau, dans son cou, sur le haut de son torse, il ferme les yeux un moment. « tu l'avais mérit... putain ezio ... » sa phrase se termine en un léger halètement alors qu'il bouge ses hanches contre les siennes. le petit con. dans cette position matteo peut simplement se laisse faire. il pourrait inverser les rôles facilement, mais ça l'intéresse de voir jusqu'où ezio est capable d'aller. il souffle légèrement pour réussir à formuler une phrase. « fait pas le gosse capricieux, t'en as autant envie que moi. » qu'il siffle presque, le souffle sans doute trop court alors qu'il ferme les yeux, laissant le toucher d'ezio l'électriser.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Ven 17 Juin - 10:16
I want you close, and close ain't close enough mattezio
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Entre l’amour et la haine. Entre l’impensable et l’envisageable. Votre relation a toujours été compliquée. Surprenante. Passionnelle. Parfois violente. Que ce soit dans les mots ou dans les gestes. Ca reste un jeu. Entre lui et toi. Les règles restent les mêmes. Toujours. Depuis cette première nuit. Celui qui arrivera à faire craquer l’autre en premier. Celui qui pourra dire fièrement que c’est l’autre qui est dépendant, qui a supplié. Chacun de tes gestes est réfléchi, volontaire. Tu sais quoi faire, quoi dire. Tu attends juste le bon moment. Tu y vas doucement. Peut-être trop. C’est long. Il lui reste son boxer et toi tu as juste perdu ta chemise. Si ça avait été un autre jour, vous seriez déjà au lit, nus, haletant, prêt à gémir le prénom de l'autre. Mais pas ce soir. Ce soir tu es joueur. Peut-être pour lui rappeler que malgré la soirée étrange que vous avez passé, vous restez les même. Dépendants, faibles, vulnérables. Tu profites de la situation. Tu pousses le vice. Tes mains agrippent les siennes au dessus de sa tête. Il ne peut pas te toucher. Tu te doutes bien qu’il en a envie. Tu veux qu’il en ait envie mais qu’il ne puisse pas le faire. Ton souffle chaud dans son cou. Tes lèvres qui se posent sur sa peau nue. Tu apprécies d’autant plus parce-qu’il te laisse faire. Tu sais très bien que s’il le veut, il suffit d’un coup de bassin pour que tu te retrouves au sol à ses côtés. Matteo, il est grand et plus musclé que toi. Il se dégage de ton emprise quand il le souhaite. Mais rien. Il te regarde avec surprise quand tu mets ses mains au dessus de sa tête. Il pince ses lèvres quand tu laisses une trace dans son cou. Mais il ne bouge pas. Il te laisse toute liberté. Alors tu cherches. Tu vas un peu plus loin. Dans les paroles. Dans les gestes. Tu lui reparles de la gifle. Celle qu’il t’a mise dans le bar. Un reproche. Discret. Tu joues avec le feu. Tu sais très bien que ce n’est pas vraiment une bonne idée de lui rappeler ce fameux moment mais tu le fais quand même. Tu ne peux pas t’empêcher. Tu t’attends à sa réaction. Tu sais qu’il va forcément dire quelque chose. Il ne laissera pas passer ça. Tu fais diversion. Tu essayes de faire glisser tes mots à son oreille plus facilement grâce à des baisers sur sa peau, dans son cou, sur le haut de son torse. « Tu l'avais mérit... Putain ezio ... » Tu lâches un petit rire. Tu as réussi à le faire taire. Un simple mouvement des hanches. Contre les siennes. Pour réveiller un peu plus son bas ventre. Tu relèves la tête de son cou et tu le regardes dans les yeux. « Un problème ? » Un sourire satisfait sur les lèvres. Tu fais l’innocent. Tes hanches se sont figées. Comme si elles avaient été prises sur le fait accompli. Tu sais qu’il pense très fort à cet instant que t’es un petit con. Mais ça t’amuse. Tu sais aussi que c’est pour ça que vous êtes là. Toi le gamin immature. Lui le trentenaire responsable. Tes conneries ça le fait pas toujours rire mais ça te rend attachant. Il ne peut pas dire le contraire. « Fait pas le gosse capricieux, t'en as autant envie que moi. » Tu te mordilles la lèvre. Oh oui, tu en as envie. Tes hormones de gamin probablement. Tu brûles. Tout ton être. Pour lui. Rien que de savoir qu’il ne reste qu’un tissu pour le voir nu. « Le gosse capricieux il va te faire jouir alors arrête de te plaindre. » Et bim. Toi et ton tact légendaire. Tu te penches de nouveau sur son corps. Tes lèvres partent du haut de son torse pour redescendre. Elles se posent, elles suçotent, elles lèchent. Elles arrivent à son nombril puis à son boxer. Elles embrassent le tissu. Délicatement. Avec provocation. Elles appuient sur son désir. Puis tes mains se détachent des siennes. « Tu as interdiction de bouger tes mains. Elles restent au dessus de ta tête. Tu touches avec les yeux. » Un ordre. Sec. Tu ne veux pas qu’il te touche. Tu veux qu’il soit désespéré. Tu sais qu’il n’y arrivera pas mais tes yeux le défient. Puis tes doigts enlèvent son boxer. Tu lâches un soupir une fois qu’il se retrouve nu devant toi. Enfin. Tes mains agrippent ses hanches. Fermement. Puis tes lèvres viennent se poser sur son membre. Une caresse. Puis une deuxième. Avant de le prendre dans ta bouche. Trop violemment. Sans qu’il ne s’y attende réellement. Tu fais en sorte de lui faire perdre la tête. Tu fais comme il aime. Tu sais parfaitement quoi faire. Il ne résistera pas.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Ven 17 Juin - 22:11
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AIN'T CLOSE ENOUGH
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le mal est sans doute déjà fait, ça coule dans les veines et ça enflamme le système nerveux, ça fait péter un plomb dans le crâne, l'esprit qui répond plus de rien et les pensées incohérente,s l'impossibilité de construire des phrases longues et censées alors que ça brûle à l'intérieur, que c'est les battements du cœur qui s'affolent et que le sang pulse dans tout le corps. mais matteo il dit rien, il dit rien et il laisse faire parce que l'attente rend sans doute l'acte en lui-même plus agréable, plus violent, passionnel, sens qui se décuplent alors que plus rien existe autour d'eux. juste leur bulle. leur univers. rien qu'à eux, celui que personne ne connaît, celui que personne n'a le droit de connaître, ce serait trop dangereux que d'avouer ce qu'il se passe dans les chambres, derrières les portes closes et les lumières éteintes. un gémissement s'échappe de sa bouge, léger, qui se rapproche plus d'un halètement, en réalité, alors que les hanches d'ezio glissent délicieusement contre les siennes, que son esprit s'affole, se laisse aller au plaisir ressentit, barrières qui se brisent, encore une fois, comme souvent, si ce n'est que toujours. c'est un jeu entre eux, à celui qui craquera le premier, qui laissera échapper un gémissement ou un grognement, mais de toute manière, ils savent très bien qu'ils céderont tous les deux, que tout ce jeu se terminera par les prénoms gémit et murmurés contre les draps. le gosse mordille ses lèvres, leurs regards se croisent alors que les mains de matt sont retenues au-dessus de sa tête, il observe paresseusement ezio, laisse ses yeux s'attarder sur ses lèvres, puis sur le haut de son torse, pour revenir sur ses lèvres qu'il aimerait embrasser. là. maintenant. « le gosse capricieux il va te faire jouir alors arrête de te plaindre. » un léger sourire sur les lèvres qu'il pince légèrement. « des paroles, mais toujours pas d'actes ... » et pourtant les lèvres d'ezio sont déjà sur son torse, à mordiller ou embrasser l'épiderme sensible, contraction involontaire des muscles, il perd pas de temps le plus petit, déjà ses lèvres se posent sur son boxer et le taquine, encore, sans doute de trop. « tu as interdiction de bouger tes mains. elles restent au-dessus de ta tête. tu touches avec les yeux. » les mains du plus petit se détachent de ses poignets, le laissant libre de ses mouvements, mais il joue le jeu matt, il a envie, ce soir, de jouer le jeu. ezio qui ne perd pas de temps, lui retire son boxer. matteo qui se retrouve nu devant ezio, situation qui s'est déjà produite auparavant, plus aucune gène présent. les lèvres mutines s'amusent, le caresse, avant qu'il ne les sentent se refermer autour de son membre, un gémissement clair et précis s'échappe de ses lèvres alors que son dos s'arque, mouvement involontaire des hanches qui forcent sans doute ezio à prendre plus. il se mord un peu les lèvres alors que l'envie de fourrager les cheveux bruns de ses mains le démange, résolution de se prêter au jeu qui s'écroule alors qu'il attrape finalement les mèches entre ses doigts, contrôle qu'il exerce plus ou moins sur ezio, soupir de plaisir qui franchit ses lèvres. minutes qui s'écoulent sans doutes trop vites ou trop lentement, mèches sur lesquelles il tire finalement pour obliger ezio à revenir vers lui, lèvres qu'il embrasse et mordille. « tu m'as rendu impatient. » qu'il souffle contre son oreille, il glisse ses mains sous le jean d'ezio pour caresser ses fesses, les pétrir de ses mains.« enlève moi ça. »
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Sam 18 Juin - 0:23
I want you close, and close ain't close enough mattezio
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Tu ne te rappelles pas. Tu n’arrives pas à savoir à quel moment ça a basculé. Dans ta tête. Cette seconde. Cet instant unique où ton regard sur le Sorabella a changé. Ton regard sur lui si dédaigneux qui est devenu intéressé. Ce jour où tu t’es rendu compte que peut-être tu serais prêt à le revoir. Te retrouver de nouveau avec lui. Seul. Le regarder. L’embrasser. Le toucher. Le sentir. Le désirer. C’était qu’une bêtise à la base. Une connerie de plus. Séduire l’ennemi. Un Sorabella. Te retrouver dans son lit. Te déshabiller pour lui. Une idée idiote que tes neurones alcoolisés t’ont probablement soufflé en pleine nuit. A la frontière du pari. Un jeu de plus. Inconscient. Dangereux. Que tu pensais insignifiant. Tu ne pensais pas te retrouver coincé. Piégé à ton propre jeu. Vouloir le revoir. Ne pas arriver à te détacher de lui. Penser à lui. Essayer d’oublier. Ses baisers. Son toucher. Ses caresses. Lui. Juste lui. Tous ces souvenirs que tu n’as pas réussi à laisser de côté. Alors tu as fini par craquer sans jamais mettre des mots sur ce que tu pouvais ressentir. Juste physique. Juste un besoin physique. Lui. Contre toi. Un manque. Un besoin. Une attraction. Simplement ça. Rien de plus. Tu es retourné vers lui. En mettant presque ta fierté de côté. Parce-que c’était dur pour toi de ramper vers un mec. Encore plus pour un Sorabella. Et tu te retrouves là. Encore. Toujours. Prêt à tout pour lui. Juste l’avoir ce soir pour toi. L’entendre gémir ton nom. Le rendre fou. Attiser son désir. Te mordiller les lèvres pour éviter de trop en montrer. Tu es lent. Tellement lent. Chaque seconde s’éternise. Tu fais tout au ralenti. Volontairement. Comme pour lui reprocher d’avoir joué avec toi quand tu étais sur cette foutue chaise qui t’empêchait de le toucher. « Des paroles, mais toujours pas d'actes ... » Tu l’entends te provoquer. Comme d’habitude. Il a beau être quasiment nu, il continue de te chercher mais tu n’en attends pas moins de lui. C’est peut-être ça qui te plait. Ses remarques. Sur ta taille. Sur ton âge. Sur ton comportement. Peu importe l’endroit. Dans les toilettes d’un bar. Dans son salon. Il reste Matteo. Le gars agacé par tes conneries et tes provocations. Celui que tu veux embrasser violemment dès que ton regard s’arrête sur lui. Celui qui provoque toutes ces sensations en toi. Ces pulsions. Violentes. Soudaines. Désespérées. Tes lèvres se glissent sur son torse. Tu descends doucement. Tu veux atteindre son boxer. Tu y arrives après avoir laissé ta trace avec tes lèvres. Puis tu ajoutes une règle. Qui va le rendre fou. Tu le sais d’avance. Tes mains se détachent des siennes. Ton regard dans le sien qui se veut ferme. Le dissuader de te désobéir. Tu n’es pas vraiment convaincu qu’il va t’écouter. Tu le connais. Il va en faire qu’à sa tête. Il se fiche pas mal de ce que tu lui demandes. Surtout vu ce que tu t’apprêtes à faire. Mais bon tu tentes quand même. Jusque-là il n’a pas trop contrecarré tes plans. Tes doigts enlèvent son boxer. Tu soupires. D’impatience. De soulagement. Tes lèvres qui se referment sur son membre. Tu ne prends pas le temps de le prévenir, de le préparer. Tu ne veux pas attendre. Le gémissement de ton amant t’encourage. Tu continues. Tes lèvres glissent. Tu sens son dos s’arquer. Tes mains s’agrippent à ses hanches pour supporter le mouvement de Matteo. Tu as l’emprise sur son corps. Tu le sens réagir à chacun de tes gestes, à chacune de tes caresses. Puis ses mains viennent se fondre dans tes cheveux. Ses doigts qui suivent tes mouvements. Tu fronces les sourcils et te détaches de lui. A peine. Juste assez pour qu’il te voit la tête redressée. Ta main vient frapper son avant-bras. « Hé dégage ta grosse main ! J’ai dit non Matt. Remets-les au dessus de ta tête, elles étaient bien là-bas. » Un sourire provocateur sur ton visage. Tu attends qu’il s’exécute avant de resserrer tes lèvres sur son membre. Tu accélères. Tu n’arrives plus à contenir ton envie. Puis finalement il te ramène à lui. Un baiser. Ses lèvres qui te mordillent. Un gémissement qui s’échappe en un souffle contre sa bouche. « Tu m'as rendu impatient. » Tu es satisfait. Tu voulais entendre ça. Puis tu sens ses mains se glisser sous ton jean. Il te touche. Enfin. Quelle idée conne de lui dire non. Tu as besoin qu’il le fasse. Tu en as envie. Ses mains sous ton jean. Sur tes fesses. Tu lèves les yeux au ciel. C’est bon. Terriblement bon. « Enlève moi ça. » Tu hoches la tête. Vite. trop rapidement. T’es impatient. Tu veux te retrouver nu. Maintenant. Tu ne veux plus attendre. Ca a été suffisamment long. « Avec plaisir monsieur. » Tu te lèves, tu t’écartes de lui. Le manque de contact te brûle déjà. Tu ne dis rien mais tu vas fouiller dans le sac que tu as ramené. Tu attrapes une boite de préservatifs. Tu la lances à Matteo. « Tiens t’auras besoin de ça. » Un clin d’oeil. Un sourire malicieux. Puis tu défais ton bouton. Ton jean qui descend le long de tes jambes. Tu te retrouves nu. Pas de boxer. Rien. « Tu vois moi j’ai rien en dessous. C’est plus rapide comme ça. Prends-en de la graine. » Tu t’approches de lui. Tu le chevauches de nouveau. Le contact de ta peau nue contre la sienne te fait gémir. Comme si tu découvrais cette sensation pour la première fois. Ton doigt trouve ses lèvres. « Lèche. » Tu le murmures. Comme si tu avais peur que quelqu’un d’autre l’entende. Pour t’assurer que ça soit entre vous. Que vous commenciez les choses sérieuses. Parce-que c’est bon tu ne veux plus attendre. C’est maintenant. Mais avant d’amener ton doigt à l’endroit de plaisir. Tu le regardes fermement. « Tu me touches pas. Tu regardes et tu ne râles pas. » Crève toujours Ezio pour qu'il t'écoute. C'est peine perdue, t'en es quasiment sûr.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Sam 18 Juin - 23:33
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c'est presque banal, comme soirée, lorsque matteo il est seul avec ezio. c'est presque normal, entre eux, de se retrouver nu, impatient, bouffer par le désir qui brûle le corps et rampe dans les veines, la chaleur étouffante de la pièce et les gémissements qui s'échappent d'entre les lèvres closes. ouai, ça finit presque toujours de cette façon là, parce qu'aucun des deux le contrôle vraiment, parce que c'est trop fort. cette attirance, ce besoin de toucher la peau, de mordre l'épiderme, de sentir le corps se tendre et d'entendre la voix monter dans des aigues inconnus. les caresses s'égarent sur la peau et les lèvres les remplacent bientôt, les mains de matteo maintenues au-dessus de sa tête, ordre donné à moitié, pas réellement respecté quand les lèvres se pose sur son corps, son torse, son ventre, son membre. gémissement qui franchit les lèvres et les doigts se glissent dans les cheveux bruns, remontrance qu'il subit, sourire amusé sur les lèvres pincées. ezio qui s'y prend bien. trop bien. sans doute, matteo le ramène contre lui, investi sa bouche avec sa langue pour glisser ses mains dans son dos et sur ses fesses, sous son pantalon, demande qui ne laisse pas le choix de la réponse alors que le plus jeune hoche frénétiquement la tête avant de se relever, de s'éloigner un peu sous le regard interrogateur de matt. « tiens t'auras besoin de ça. » il lève un peu les yeux au ciel alors qu'il rattrape la boite de préservatif. au moins son amant y a pensé, il s'occupe d'ouvrir la boite alors qu'ezio laisse son jean tomber sur le sol, matt relève les yeux, se mord la lèvre. « tu vois moi j'ai rien en dessous. c'est plus rapide comme ça. prends-en de la graine. » il revient s'asseoir sur ses hanches, soupir de plaisir entre les lèvres, matteo se redresse sur ses coudes pour souffler à l'oreille du plus jeune. « je te savais provocateur, mais au point de ne pas porter de sous-vêtements au beau milieu d'un bar bonder de monde. » rire sur les lèvres alors qu'un doigt se pose sur celles-ci, il ne faut pas longtemps à matteo pour comprendre ce que l'autre a en tête. « lèche. » regard qu'il plonge dans les prunelles céruléennes alors que sa main s'enroule autour du poignet d'ezio pour guider son doigt entre ses lèvres, il s'amuse matteo, le mordille, laisse sa langue tourner autour, l'enduisant de salive qui fera ce soir office de lubrifiant. la main d'ezio qui se défit de son emprise, bras passé dans son dos, matt qui se pince les lèvres en l'observant, sans doute une des scènes les plus érotiques qu'il ai pu voir de la soirée. si ce n'est de sa relation avec ezio. « tu me touches pas. tu regardes et tu ne râles pas. » il lève un peu les yeux au ciel, se passe la langue sur les lèvres en observant ezio, son visage, son torse, son corps dénudé sur le sien, un frisson remonte dans son dos alors qu'il effleure le torse du plus jeune du bout des doigts, les laisses s'égarer sur la peau pâle, il griffe son ventre, pour laisser ses doigts effleurer son membre quémandeur avant de finalement retirer ses mains, un sourire joueur sur les lèvres. « j'oubliais que je ne dois pas te toucher. » provocation.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Dim 19 Juin - 21:45
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Spoiler:
Tu ne pensais pas le voir ce soir. Tu ne t’attendais pas à te retrouver ici. Dans cette position. Si peu habillé. Prêt à gémir son nom. Tu n’avais pas envie d’aller à cette soirée. Assister à ce match auquel tu ne participais pas. Tu voulais juste faire acte de présence pour Greta et repartir. Remplir ce foutu contrat d’image et rentrer. Noyer ta colère dans l’alcool. Sauf que les Sorabella ont débarqué. Matteo. Lui parmi tous les autres a retenu ton attention. Comme d’habitude. Il est rentré dans ce bar. Tes yeux se sont posés sur lui. Dans la seconde. Tu sais qu’il n’aime pas le foot. Vous vous êtes trop souvent pris la tête là-dessus par le passé. Encore l’une des choses qui vous différencient. Il n’avait rien à faire là-bas. Il n’aurait pas dû y être. Tout Vérone était présent mais tu pensais échapper au regard de ton ancien amant. Tu comptais repartir seul. Pas de drague, pas de coup d’un soir. Juste toi et l’alcool. Pourtant une fois seul avec lui, la porte fermée à clé. Tu t’es dit que tu avais bien fait de ne pas mettre de sous-vêtements. Tout de suite tu voyais la suite arriver. Si rapidement. Tes jambes autour de sa taille. Tes lèvres contre les siennes. Tu le voyais déjà te plaquer contre le mur et te déshabiller. Te faire oublier ta mauvaise humeur et ta connerie. Alors ça te fait sourire quand il te dit « Je te savais provocateur, mais au point de ne pas porter de sous-vêtements au beau milieu d'un bar bonder de monde. » Il pense probablement que tu l’as fait exprès. Sauf que non. Mais au fond si tu avais su que tu le croiserais dans ce bar, tu n’aurais rien changé. Un soupir de plaisir s’échappe de tes lèvres quand ta peau nue trouve la sienne. Chaque parcelle de ton coeur qui brûle à ce contact. Tes cuisses. Tes fesses. Ton membre. Plus aucun tissu. Aucune épaisseur entre vous. Juste lui contre toi. Dans le simple appareil. Trop d’attente. Trop de jeu. Tu jubiles de le sentir enfin contre toi. Tu le voulais. Dès que tu as frappé à sa porte. C’est ça que tu attendais. Vos corps nus. L’un contre l’autre. Vos respirations qui s’accélèrent. Alors tu continues. Tu as besoin de plus. Maintenant. Ton doigt contre ses lèvres. Un mot. Un simple mot qui lui fera comprendre très vite où tu veux en venir. Il connait très bien la suite. Ton regard plongé dans le sien. Dans l’attente qu’il s’exécute. Sa main qui vient attraper ton poignet. Ton doigt qui s’humidifie. Matteo, il joue. Il en profite. Il fait beaucoup plus que nécessaire mais ça te fait. Un sourire vient se glisser au coin de tes lèvres. Un souffle que tu lâches pour lui faire comprendre que s’il continue ça ira beaucoup trop vite. Alors tu récupères ta main. Elle glisse dans ton dos. Tes yeux qui ne quittent pas les siens. Il se pince les lèvres. Tu sais que ça peut le rendre fou. Tu sais que ce que tu t’apprêtes à faire va terriblement lui plaire. Ton doigt qui trouve ton endroit de plaisir. Tu te mords les lèvres en le sentant rentrer. Tes yeux qui se ferment. Tu lâches un gémissement. Involontaire. Soudain. Tu en oublies presque que Matteo t’observe. Puis tu sens son doigt qui t’effleure. Tu reprends tes esprits. Tu rouvres les yeux. Tu bouges légèrement sur lui. Tu trouves le bon angle. Celui qui te fera gémir. Très vite. Très fort. Ses doigts qui griffent ton ventre puis ils effleurent ton membre qui ne cache rien. Tu frissonnes au contact. Tu as envie de lui demander de continuer, d’enrouler ses doigts autour de toi. Puis tu perds le contact. « J'oubliais que je ne dois pas te toucher. » Il sourit, le con. « Fais pas le con, tu veux. » Tu es submergé. Trop d’émotions. Contradictoires. Tu grognes. Parce-que tu en veux plus. Tu es impatient. Tu ne veux plus attendre. Mais tu sais que c’est trop tôt. Un deuxième doigt se glisse en toi. Ta main gauche qui agrippe le torse de Matteo. Violemment. Tu le griffes. Ta respiration qui s’accélère. Ton souffle haletant. « C’est… bon » Tu gémis le dernier mot. Tes hanches qui bougent, en cercle. Contre lui. Tu transpires. Tes doigts qui s’attachent à lui. Tu veux lui transmettre ce que tu ressens. Tout ce désir. Toute cette envie qui te brûle le dos. Puis tes doigts qui touchent ta prostate. Ca t’arrache un cri. « Matt ! » Fort. Son prénom. Ton souffle chaud dans le creux de son cou. Tes mouvements toujours plus demandeurs. Tu ne peux plus. Tu lèves la tête, tu l’embrasses. C’est désordonné. Un besoin. Un simple besoin. Avoir ses lèvres contre toi. Le sentir. « Mets cette putain de capote... Maintenant Matt… » Tu t’énerves. Ton impatience qui s’exprime. Tu l’engueules presque de ne pas l’avoir fait avant. Tu sais que c’est trop tôt. Tu n’es pas assez préparé. Tu vas douiller. Mais ton désir l’emporte sur ta raison. « Je… veux… » Tu ne finis pas ta phrase. Vous savez tous les deux ce que tu veux. Pas besoin de mot. Juste de gestes.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Lun 20 Juin - 23:30
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ezio, c'est pas un gamin comme les autres, ezio, c'est le gosse que matt aime voir nu et suppliant sous le sien, voir son corps trembler sous ses caresses. ou alors le voir joueur, comme ce soir, tension qui s'installe bien rapidement entre eux, rien de bien étonnant, dans le fond, rien de nouveau ou d'exclusif, des paroles, de quoi faire naître des frissons sur la peau, des gestes, les mains qui effleurent, touchent à peine, les doigts qui rendent fou, soupirs et gémissements de plaisir entre les lèvres closes et les yeux à demi-fermés, corps tendu qui demande tellement plus. matteo se prête au jeu mis en place par le plus jeune, il s'y prête à moitié, interdiction de toucher le corps à porter de main, il ne résiste pas, glisse ses mains dans les cheveux bruns quand des lèvres mutines se posent sur lui. son cou. le haut de son torse. son ventre. son membre. tout son corps se tend, un gémissement passe ses lèvres. le gamin sait s'y prendre, dans le fond, il est même drôlement doué. ezio qu'il attire à lui, baiser échangé, sensation presque troublante du goût des lèvres de son amant. doigts apposés contre ses lèvres qu'il pousse dans sa bouche, il s'amuse d'une situation dans laquelle il aurait pu se retrouver. soupir d'ezio qui le fait relâcher sa main, le plus jeune qui la passe dans son dos, gémissement qui s'échappe des lèvres humides de son amant, vision dont il ne perd pas une miette, images qui resteront la, dans l'esprit pendant quelques jours encore. érotisme de la position alors qu'ezio rouvre les yeux, regards qui se croise, la main de matteo qui s'égare sur son torse, griffe, effleure son membre avant de revenir sagement à sa place, moquerie et provocation dans les paroles, ordre donné et respecté. « fais pas le con, tu veux. » sourire sur les lèvres alors que la main du plus petit vient griffer son torse, que sa respiration elle s'accélère et que son souffle se perd dans un halètement incontrôlable. « c'est ... bon. » gémissement qui résonne matt qui ferme les yeux et ce mord la lèvre, envie de renverser le gamin sur le sol qui s'insinue dans l'esprit. « matt ! » le prénom crier, le gémissement qui s'échappe des lèvres alors qu'un baiser désorganisé et violent s'en suit, passionnel, presque violent. « mets cette putain de capote... maintenant matt… je… veux… » envie qui ne manque pas, gosse qu'il sait mal préparé, positions inversées d'un léger coup de bassin alors que son corps surplombe de nouveau celui du plus jeune. matteo il suçote légèrement ses doigts pour les humidifier avant de relever une des cuisses d'ezio contre son torse, regard qu'il croise alors qu'il glisse deux doigts dans le corps brûlant du plus jeune, son autre main s'enroule autour de son membre et y applique de légère caresse. préparation qu'il s'empresse de terminer, envie qui brûle les reins et rend les gestes confus et trop rapide, corps duquel il se détache à peine pour récupérer un préservatif, mouvement toujours aussi hâtifs alors qu'il attrape bientôt les hanches d'ezio pour l'empêcher de gesticuler de trop. corps chaud et brûlant qu'il pénètre lentement, grognement de plaisir alors qu'ezio risque de se retrouver avec de légèrement marque de ses ongles plantés dans l'épiderme fragile. « putain ezio ... t'es serré bordel ... ça faisait si longtemps ? » qu'il ricane presque, son regard croisant celui de son amant, quelques mèches de cheveux humides tombant sur son front. « tu peux pas te passer de moi en réalité ... » souffle saccadé, une seule envie, celle de saccager le corps sous le sien de ses coups de reins.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Mar 21 Juin - 11:06
I want you close, and close ain't close enough mattezio
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Quelle idée idiote. Stupide. Irréfléchie. Tu as encore une fois parlé avant de te rendre compte de ce que tu disais. Tu as voulu faire le malin mais maintenant tu t’en veux. Tu te retrouves pris au piège à ton propre jeu. Tu lui as dit de ne pas te toucher. Ses mains qui doivent rester en haut de sa tête. Toi qui t’amuse pendant que lui regarde avec les yeux. Tes doigts qui le caressent, tes lèvres qui l’effleurent. Mais finalement au moment où il te touche, c’est toi qui prêt à lui dire de continuer. C’est toi qui n’arrive pas à te faire à cette absence de contact. Tu es perdu, occupé par ton propre toucher. Tu gémis. De plaisir. De soulagement. Tu serais prêt à oublier la situation. Toi nu sur ton amant. Matteo qui t’observe comme s’il assistait au tournage d’un film érotique. Tu pourrais très bien t’imaginer seul chez toi à te faire du bien. Mais son toucher te ramène à la réalité. Ses doigts qui t’effleurent puis te griffent. Ton torse nu qui réagit. Tu frissonnes. Puis ton membre qui ne cesse de quémander, encore plus quand ton amant le touche. C’est à ce moment-là que tu t’en veux de lui avoir dit de ne pas te toucher. C’est à ce moment-là où tu te rends compte que c’était une idée complètement idiote. Tu ne veux que ça. Qu’il te touche. Avec ses doigts, ses lèvres, son corps tout entier. Tu ne veux pas qu’il se contente de te regarder faire. Ta main dans ton dos. Tu sais que ça lui plait. Tu sais qu’il veut jouer aussi. Mais évidemment il joue. Il détache sa main de toi, un sourire provocateur au coin des lèvres. Le con. Mais tu ne t’arrêtes pas. Tu comptes bien lui donner envie de te rejoindre. Ta main qui s’agrippe à son torse. Tu le griffes alors qu’un cri s’échappe de tes lèvres. Tu l’embrasses. Un baiser désorganisé et violent. Passionnel. Du désir à l’état pur. Sauvage. Tu réclames que les choses avancent plus vite. Tu lui fais comprendre que c’est le moment. A son tour de faire quelque chose. Cette capote ne va pas se mettre toute seule. Tu t’énerves presque. Trop impatient. Tu finis à peine ta phrase. Matteo qui te retourne. Un simple mouvement de bassin suffit. Ton dos qui trouve le sol froid. Ton amant qui se retrouve au-dessus de toi. Tes yeux qui pétillent. Tes hanches qui continuent de bouger, désireuses d’un nouveau contact. Tu vois Matteo qui amène ses doigts à ses lèvres. Ce n’est pas vraiment ce que tu veux mais tu te dis que c’est peut-être mieux comme ça. Tu n’es pas assez préparé. Il le sait alors il va s’occuper de toi. Tu te mordilles les lèvres. Il est tellement beau Matt. Encore plus quand il est nu au-dessus de toi. Encore plus quand il glisse de ses deux doigts en toi. Tu lâches un souffle pour te détendre, pour que l’accès lui soit plus facile. Tes yeux ne quittent pas les siens. A aucun moment. Puis son autre main qui s’enroule autour de ton membre. Enfin. Un gémissement. Puis un autre. Tes hanches qui bougent à son contact. Tu veux plus. Tellement plus. Tu entends le bruit d’un papier plastique. Le préservatif. Tu lèves les yeux au ciel. Tu as envie de crier un « enfin » mais tu te retiens. Sans sa préparation, tu n’aurais probablement pas réussi à te lever le lendemain. Ses mains fermes qui agrippent tes hanches. Tu t’empêches de bouger. Tu le sens te pénétrer. Lentement. Chaque parcelle de ton corps qui brûle. Ton dos qui s’arque de plaisir. Ta tête qui s’enfonce un peu plus sur le sol. Matteo grogne de plaisir, toi tu gémis de soulagement. Tu ne peux pas être plus proche de lui. Tu n’attendais que ça toute la soirée. Cette proximité. Cette chaleur. Ce désir. Juste Matteo en toi. Tes yeux qui croisent les siens. « Putain Ezio ... T'es serré bordel ... Ca faisait si longtemps ? » Il ricane, l’autre. Il s’amuse de la situation. « La ferme. Je croyais que tu aimais quand c’était… serré ? » Le dernier mot finit dans un souffle. Tu le sens complètement en toi. Tes mains cherchent désespérément un endroit auquel s’agripper. Mais le sol ça ne suffit pas. Elles trouvent la peau de Matteo. Son dos. Elles laissent des marques. « Tu peux pas te passer de moi en réalité ... » Tu lèves les yeux au ciel. Il n’y a que lui pour ramener toujours tout à sa petite personne. Mais au fond c’est vrai. Tu n’arrives pas à te passer de lui. C’est trop dur. Tu as besoin de le savoir à toi pendant quelques heures. Alors tu prends ton temps. Tu ne bouges pas. Vous restez dans la même position juste pour pousser le vice un peu plus loin. Tu sais qu’il meurt d’envie de se mouvoir, de te faire perdre la tête. Mais le petit con que tu es préfère parler. « Tu es le dernier mec avec qui j’ai couché. Je t’attendais. T’as intérêt à rattraper ces deux semaines ! » Tu parles trop. Beaucoup trop. Lui il attend qu’une chose. Et tu le fais gentiment patienter. Il donne un coup de rein alors que tu ne t’y attends pas. Tu gémis. Tes mains qui le griffent dans le dos. Ta respiration saccadée. Tu as chaud, terriblement chaud. Tu bouges légèrement afin d’être dans la bonne position. Pour le sentir au maximum. « Ok ok ! J’ai compris ! » Tu ricanes. Puis tes yeux bleus trouvent les siens. Ce n’est plus le moment de rire. L’atmosphère change. Le désir prend le dessus sur la provocation. Tes lèvres qui s’entrouvrent. Un murmure. Une demande. Une envie. « Je veux pouvoir te sentir demain au réveil. » Un aveu. Tu es à lui. Juste à lui. Il peut faire tout ce qu’il veut de toi. Tu t’abandonnes à lui. Ton corps et ton esprit.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Ven 24 Juin - 0:12
I WANT YOU CLOSE, AND CLOSE
AIN'T CLOSE ENOUGH
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soirée trop longue, journée trop épuisante, accident au bar, premier baiser échanger, promesses silencieuses faite sau plus jeune, sans doute, peut être pas, tant pis, ezio qui débarque, blesser, en sang, le nez salement amoché, décidément, soirée épuisante et inédite. puis vient l'heure des provocations, des sous-entendus laissés à qui voudra bien les entendre, les paroles murmurées sur la peau diaphane et les mains qui s'égarent lentement, le sol sera témoins ce soir de leurs ébats. tout qui va trop vite et pas assez vite à la fois, les corps nus qui se retrouvent, s'effleurent et se frôler d'abord, l'art et la manière de s'approprier le corps de l'autre, de quelques manières que ce soit. un gémissement de luxure s'échappe d'entre les lèvres closes, sensation qui monte à la tête, il a chaud matteo, trop chaud et pourtant il est nu, entièrement, ils sont tous les deux nus. avec ezio. et pourtant il fait clairement trop chaud dans cette pièce. mais il n'y peut rien, absolument rien, tout l'assaille, le gémissement d'ezio résonne dans son esprit alors que ses doigts se crispent sur les hanches du plus jeune. il soupire finalement de plaisir alors qu'ezio est serré. incroyablement serré autour de son membre. et matteo pourrait se déchaîner sur le corps du plus jeune, l'utiliser à sa guise pour chercher la libération tant attendue, celle qui brûle le bas du dos et enflamme les veines. mais quelque chose l'en empêche. il ne sait trop quoi, s'en fiche pour le moment alors que leurs regards se croisent, provocation entre les lèvres, toujours, encore, inlassablement. « la ferme. je croyais que tu aimais quand c'était… serré ? » un faible sourire sur le visage, les mains d'ezio dans son dos, qui cherchent un point d'appuis, elles s'accrochent, matteo aura sans doute des traces le lendemain. tant pis, elle ne se verront pas. et puis de toute manière, il s'en fiche bien. leurs deux corps immobiles, pour toujours pousser l'autre dans ses retranchements, jeu presque malsain qui ne cesse jamais, barrières qui ne se brisent pas, se fissurent dangereusement, mais ne cèdent pas sous le poids de la tentation. pas encore. ses lèvres se pincent quand il entend ezio dire qu'il est le dernier homme avec qui il a couché. à nouveau, ça le trouble, un peu, sans doute la chaleur qui se fait présente, son corps tendu contre celui d'ezio. dans celui d'ezio. il bouge légèrement, un léger mouvement de hanche qui tire un gémissement au plus jeune, les ongles qui s'enfoncent dans son dos. matt sourit, d'un de ses sourires arrogants au possible. « ok ok ! j'ai compris ! je veux pouvoir te sentir demain au réveil. » un aveu, une envie, une demande, des paroles que matteo espérait, autorisation silencieuse de laisser le désir prendre le dessus, l'instinct, il se penche quand même, vole un baiser du bout des lèvres avant de les mordre un peu, léger coup de reins, il se redresse pour surplomber, pour laisser ses mains se poser sur son corps, pour laisser son bassin claquer contre celui d'ezio, les barrières tombent enfin.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Ven 24 Juin - 11:55
I want you close, and close ain't close enough mattezio
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Deux semaines que tu ne t’es pas déshabillé pour un homme. Les occasions n’ont pas manqué pourtant. Tu aurais pu le faire. Tu aurais pu passer à l’acte plus d’une fois. Tu as passé pas mal de tes soirées dans les bars. Sans surprise. Boire, draguer, danser. Tu cherchais le contact, la chaleur humaine. Mais dès qu’il fallait aller plus loin tu as arrêté. Tu t’es contenté de préliminaires. Les baisers, les caresses. Mais tu n’as pas réussi à aller jusqu’au bout. Quelque chose te bloquait sans que tu saches réellement quoi. Pendant un moment tu as cru que tu devenais enfin mature. Ton paternel aurait été ravi de l’apprendre mais non, rien de tout ça. Ces hommes, non ces garçons qui t’ont touché n’étaient pas assez. Tu ne voulais pas d’eux. Tu en attendais qu’un. Un seul. Tu aurais pu avoir l’attention de tout un bar, tu ne cherchais que celle de Matteo. Mais il n’était pas là. Alors tu n’as pas été jusqu’au bout. Tu es rentré chez toi, frustré et tu as fini le travail seul. Comme un pauvre con. Puis ce soir tu as réussi à l’avoir son attention. Tu as même eu un baiser. Brusque et violent. Ses lèvres contre les tiennes. Ce que tu attendais depuis trop longtemps. Alors tu n’as pas pu t’arrêter à ça. Ce n’était pas assez, tu avais besoin de plus. Et c’est arrivé. Des caresses, des baisers, des gémissements. Vous vous retrouvez nus. Tu le sens te pénétrer lentement et tu souffles de soulagement. Enfin. Deux semaines d’attente. Tu joues encore un peu avec lui avant qu’il ne te ramène à la raison. Ses hanches qui bougent, tes ongles qui s’enfoncent dans le dos de ton amant. Ezio, c’est le moment où tu te la fermes et où tu profites. Puis dans un murmure, tu lui montres que tu es prêt. Un léger hochement de tête. Une demande. Ton dos contre le sol. Tes doigts dans son dos. Matteo se penche légèrement pour te voler un baiser puis il te mord les lèvres. Tu souris faiblement. Ses mains qui se posent sur ton corps. Puis son bassin qui claque contre le tien. Ton dos qui s’arque immédiatement. Un grognement qui s’échappe de tes lèvres. Chaque mouvement qui te rend fou. Tu t’accroches à lui. Tu sens ton désir te brûler. Lui qui le touche à chaque fois. Un gémissement puis un autre. Tu réclames plus, toujours plus. Tu n’arrives pas à te contenter de ce qu’il te donne. Tu en as besoin. Tu as besoin de lui, de son corps contre le tien. Tu ne veux aucune distance entre vous. Ca s’enchaine. Ca va vite mais chaque seconde est du pur plaisir. Tes jambes qui finissent par trembler. Tes ongles qui s’enfoncent dans son dos. Son nom qui s’échappe de tes lèvres dans un cri, tu viens avant lui. Comme d’habitude. Tu le vois sourire, fier de lui. Tu lèves les yeux au ciel. Ta respiration haletante. Puis quelques secondes plus tard, tu le vois. Sur son visage à lui, atteindre l’orgasme. Tes yeux ne le quittent pas. Tu veux garder cette image. Cette intimité. Toi qui le voit jouir en étant en toi. C’est toi, le gamin Armani qui lui fait cet effet. Fierté. Soulagement. Fatigue. Tout ça en même temps. Puis il se détache de toi. Un manque immédiat. Tu râles légèrement. Tes yeux qui se ferment, tu serais prêt à t’endormir sur le sol. Tu n’es pas en état de te lever. Encore sur ton petit nuage de plaisir, emmené violemment par Matteo. Puis un souffle. « Matt… T’es vraiment un bon coup tu le sais ça ? » Un sourire taquin au coin de tes lèvres. Tu n’as pas rouvert les yeux. Tu ne veux pas que ton amant te fasse comprendre que tu dois t’en aller. Tu ne veux pas. Pas ce soir. Tu as besoin d’être avec lui. Encore un peu. D'un coup tu sembles si fragile et si jeune allongé sur le sol. Nu, vulnérable, fatigué. Le petit con a disparu, il laisse un gamin qui a juste besoin de se sentir aimé pendant quelques minutes. Ce besoin pour toi de provoquer, d'attirer l'attention pour compenser ta peur de l'abandon. Alors tu essayes de te rattacher à ce que tu peux. Et ce soir tu veux désespérément te sentir aimé par Matteo.
Re: (hot - mattezio) I want you close, and close ain't close enough Mar 5 Juil - 23:33
I WANT YOU CLOSE, AND CLOSE
AIN'T CLOSE ENOUGH
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un accord silencieux, quelque chose dont ils ne parlent pas, de toute manière ils n'ont pas l'occasion d'en parler, jamais de contact, jamais de mots échangés en société, jamais à la vue de tous, ce serait trop dangereux, un jeu qu'ils ne maîtrisent pas totalement. alors ils se contentent de quelques baiser échangés, de griffer et marquer la peau pour quelques heures à peine, éphémère mouvements qui seront insignifiant une fois l'acte passé, une fois les masques de retour pour ce voiler la face, pour penser qu'il ne s'agit de pas grand chose. du sexe. simplement du sexe. tous serait tellement plus simple, tellement plus facile pour vivre. et pourtant, alors qu'ils font tous les deux comme s'ils ne se passaient rien - matteo du moins -, il est toujours plus compliqué d'appliquer la même règles dans d'autres circonstances. c'est toujours compliqué de se fixer une règle, une limite à ne pas dépasser. pratiquement impossible, en réalité. pas quand matt à tout le loisir d'observer ezio, nu, alanguis sous ses caresses et son toucher, il n'a qu'a effleurer le corps du plus jeune pour que celui-ci ne réagisse presque immédiatement, rien de plus, rien de moins, sentiment de contrôle envoûtant, qui s'infiltre entre les tissus fragiles de la peau, du cœur, sans que personne ne s'en rende compte, sans que l'idée d'un quelconque changement n'effleure l'esprit. parce que pour le moment il n'y a qu'ezio. son souffle anarchique, la chaleur de son corps, ses gémissements. l'envie, le désir, le besoin qui rampe sous la peau, qui consume les nerfs, intenable. c'est ezio qui vient en premier, son corps se contractant spasmodiquement alors qu'un cri à peine dissimuler passe ses lèvres, un soupire rauque, un gémissement s'échappe de sa gorge alors que matteo se perd aussi, laisse l'orgasme le submerger, enfin. il ferme les yeux, quelques mèches humides tombent sur son front, un fin sourire sur ses lèvres, il se laisse glisser sur le côté pour ne pas écraser ezio de son poids, son dos rentrant en contact avec le carrelage froid, beaucoup trop froid pour son corps beaucoup trop chaud. « matt… t'es vraiment un bon coup tu le sais ça ? » un rire presque nerveux sur les lèvres, il soupire un peu, un fin sourire sur le visage, une main passe dans ses cheveux alors que le froid s'empare de lui, soudainement, parce que la chaleur le quitte soudaine, il se relève, se souciant peu de sa nudité, il se débarrasse du préservatif et récupère un torchon qu'il humidifie avec de l'eau tiède, avant de revenir vers ezio, toujours sur le sol, un léger rire s'échappe d'entre ses lèvres alors qu'il se baisse pour passer le tissu sur le ventre d'ezio et en profite pour écarter quelques mèches de son visage. « tu décèdes presque sur le sol et après c'est moi le vieux ? » il rit doucement, se redresse à peine pour poser le torchon sale sur la table pour passer une main sous les genoux d'ezio et l'autre dans le bas de son dos pour le porter. « t'avises pas de te plaindre ou j'te fous dehors, nu ou pas. » un soupire menace de passer ses lèvres alors qu'il se dirige vers sa propre chambre sans ranger. tant pis. ce sera pour demain. il dépose ezio dans son lit avant de se glisser à son tour dans les draps, attirant inconsciemment le plus jeune dans ses bras.