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apollina x l'avenir appartient à ceux qui s'lèvent à l'heure où j'me couche
Lun 1 Aoû - 22:40


 
apollina di castelli
après avoir fait l'tour du monde, tout c'qu'on veut c'est être à la maison
 Pyper America Smith ; here without you


nom complet ; Mes prénoms, Apollina et Delia, me viennent tout deux de mes grands mères. En l'occurrence, Apollina était ma grand mère maternelle, elle est décédée peu avant ma naissance et, de ce fait, je n'l'ai jamais connu. C'est d'ailleurs pour cette raison que c'est mon premier prénom. Delia est, quant à elle, une vieille chouette aigrie que je ne supporte pas de voir. Mon nom de famille, Di Castelli, est tout ce qu'il y a de plus basique.
âge ; J'ai actuellement dix sept bougies.
date & lieu de naissance ; Je suis née à Venise, alors que mes parents étaient en voyage, le vingt-sept août mille neuf cent quatre vingt dix huit.
nationalité ; italienne pur souche.
activité professionnelle ; Il se trouve que je suis dans ma dernière année de lycée.
études ; J'suis donc dans ma dernière année de lycée, comme dit précédemment.
situation financière ; Les Di Castelli n'ont pas à se plaindre. Nous ne sommes pas riches comme crésus, mais nous vivons tranquillement.
:coeur: état civil ; Célibataire.  
:coeur: orientation sexuelle ; Un bel homme saura toujours me séduire.


Moi, j'passe ma vie à boire du thé. Depuis que j'suis petite, j'suis une adoratrice de l'Angleterre, et j'ai toujours cru qu'un jour j'y vivrai. J'aime le bruit d'la pluie  contre une fenêtre, c'qui fait sans doute de moi une personne assez nostalgique. J'pourrais passer des heures, si ce n'est des jours, assise sur le sol de ma chambre, à lire les vieux carnets de ma grand mère Apollina, qui raconte son enfance. J'aime l'histoire d'une manière qui me surprend moi-même, en fait, j'ai un besoin constant d'en savoir plus sur le monde dans lequel on vit, comment est-ce qu'on en est arrivé là. J'aime à me dire que de cette manière, je pourrais peut-être prévoir certaines choses. J'ai le rire facile, j'suis capable même de rigoler à un "c'est l'histoire d'une courgette qui court et se jette" parce que j'sais qu'ça fais plaisir d'entendre quelqu'un rire à une blague. J'ai été blessée par le passé, et maintenant, j'me protège du mieux qu'je l'peux, principalement grâce à cette carapace qui fait de moi une fille enjouée et qui paraît sûre d'elle au premier abord. Aussi clichée que cela puisse paraître, j'préfère faire semblant que tout va bien plutôt que d'afficher ma mine renfrognée habituelle. J'passe beaucoup de temps à dépenser mon énergie, principalement en courant et en faisant du tennis, c'qui me permet justement de brûler toute cette mauvaise humeur quotidienne. J'suis pourtant l'genre de fille qui a la flemme, la flemme de tout, j'préfère passer une après midi allongée sur mon lit plutôt que d'sortir avec mes amies, c'qui est un paradoxe avec tout c'que j'ai dis précédemment j'imagine. D'toute façon j'ai plus assez de personnes proche de moi pour me tirer en dehors de ma chambre, le problème est donc résolu. J'ai une fâcheuse tendance à éloigner tout ceux qui s'attachent à moi ; non pas parce que j'déteste les gens ou n'importe quel autre connerie de cet acabit, j'ai simplement trop peur de m'attacher à quelqu'un qui finirait par me laisser tomber. "Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre." Même que c'est Meredith Grey qui l'a dit. J'suis quelqu'un d'assez sensible dans l'fond, et j'ai très peu confiance en moi. Enfin, pas vraiment, parce que j'sais qu'j'suis pas moche ou quoi, mais j'me dis toujours qu'il y a mieux qu'moi et qu'du coup, un jour, les gens finiront par me laisser sur le bas côté. En plus, j'suis consciente de mes défauts, et faut dire que j'en ai un certains nombres. J'suis l'genre de meuf jalouse, possessive, l'genre qui s'inquiète pour tout et n'importe quoi et qui voit des signes quand c'est juste une coïncidence. Mais faut pas m'en vouloir pour ça, après tout j'ai juste peur d'l'abandon. Puis à côté d'ça, quand j'm'autorise à m'attacher, j'suis quelqu'un d'très loyal, pas rancunière pour un sous et qui ferait tout c'qui est en son possible pour les autres. En résumé, j'suis quelqu'un d'plutôt bizarre, mais j'ose imaginer qu'on m'apprécie comme ça. J'suis attachiante, quoi.

Love at first sight
Quand j'étais petite et que ma mère me contait l'histoire de Blanche Neige, de Cendrillon ou même de la Belle au Bois Dormant, j'me disais qu'un jour, je vivrai une histoire similaire. Qu'un garçon, quel qu'il soit, m'aimerait malgré les apparences, malgré les différences et malgré les difficultés. J'étais assez naïve, j'dois bien l'reconnaître. En grandissant, j'me suis dit que ce garçon n'était pas forcément l'homme avec qui je me marierai, ni même celui dont je serai amoureuse. Ce garçon pouvait même très bien être une femme, ça pouvait être ma mère, ça pouvait être une amie ou pourquoi pas mon frère ? Battiste, l'type avec qui j'avais grandi, de dix ans mon aîné, celui qui m'faisait sourire comme personne et qui me comprenait en un clin d'œil. J'y croyais pas réellement, mais pour moi, mon frère était mon âme sœur. Il était, de toute manière, la seule personne dont j'étais suffisamment proche et fusionnel pour mériter ce titre. Puis j'ai perdu c'goût, j'me suis rendu compte de combien c'était idiot. Après tout, pourquoi m'enverrait-on mon âme sœur, si c'était pour le reprendre aussi vite ? C'était idiot, stupide, imbécile, prétentieux et particulièrement naïf. Battiste n'était pas mon âme sœur, il ne l'avait jamais été, et ne pourrait plus jamais l'être de toute manière. La perte de mon frère suffit à m'retirer l'goût en tout, et presque même, si j'ose dire, à m'dégoûter des hommes, c'qui est très con, vous en conviendrez bien j'imagine. Désormais, j'crois plus en rien, d'toute manière j'vis plus réellement d'puis qu'Battiste est plus là, alors il serait idiot d'dire que j'cherche l'amour, ou même que j'y crois. Les hommes, comme tout le monde, finissent toujours par partir. Ils vous font croire qu'ils sont invincibles, mais ils se font abattre les premiers, alors à quoi bon ? Enfin, ça, c'est c'que j'avais l'habitude de dire, durant une bonne année. P't'être un peu moins, j'sais plus trop, ça r'monte déjà à trois ans d'toute façon. Parce que même si vous pouvez m'dire qu'c'est impossible, j'sais qu'je l'aime, j'sais qu'j'suis amoureuse de lui. D'une certaine manière, j'l'ai un peu toujours été, et j'sais qu'ça changera jamais vraiment. Il est toujours dans mes pensées, constamment, quoique j'fasse, et ce d'puis qu'il m'a sorti du fond du trou. Il est ancré dans mon âme, même si j'fais tout pour m'en débarrasser, même si j'fais tout pour récupérer ma liberté. J'vais pas vous mentir, cette situation m'fait pas mal souffrir, même s'il s'en rend pas compte. D'toute façon, il a toujours été naïf, en c'qui m'concerne. Il m'voit pas comme j'le vois, il m'voit qu'comme une p'tite fille, alors qu'ça fais longtemps que j'le suis plus. Oh, j'suis pas blonde au point d'penser qu'il est mon âme sœur, mais j'sais qu'il possède désormais la plus grande part dans mon cœur, c'qui m'fait beaucoup culpabiliser par rapport à Battiste.

Et puis un jour, tu viens au monde, tout simplement. La veille t'étais irréel, simplement caché dans le ventre de ta mère, comme un cadeau qui ne demande qu'à être déballé, et soudainement, t'es là, t'es présent, tu dors pas, tu fais tes dents, tu cries, tu pleures, tu vis. Faites des enfants, qu'ils disent. Et bah mes parents, ils les ont écoutés. D'abord, ils ont eu mon frère. Battiste Di Castelli, le premier d'la lignée. J'vais pas vous mentir, du côté d'ma mère, c'était un véritable miracle d'avoir un fils. Ça f'sait longtemps qu'une Agostino n'avait pas mit au monde un p'tit garçon, bien trop longtemps même. Autant vous dire qu'il a toujours été chouchouté, du côté maternelle de ma famille. Fin, peu importe. Ils ont eu Battiste, donc. Et ils ont mit dix ans à m'avoir. Dix ans, j'sais pas si vous vous rendez compte d'combien c'est long. J'crois qu'mon frère avait, à l'époque, accepté l'idée d'être à jamais fils unique. Puis j'sais pas, un jour ma mère est aller l'voir, et elle lui a annoncé qu'bientôt, ils s'raient quatre à la maison. Cette annonce, de manière générale, a eu plusieurs conséquences : la première, ça a été de provoqué l'amour d'mon frère pour moi. La deuxième, ça a été d'provoquer l'accident d'voiture qui causa l'décès d'ma grand mère. Trop con, à son âge, d'mourir d'un accident d'voiture. Et c'est d'là qu'est v'nu mon prénom, d'ailleurs. Apollina. L'prénom d'ma grand mère, prénom qu'j'arbore d'ailleurs avec une fierté non dissimulée. D'tout c'que j'sais sur elle, c'était quelqu'un d'bien, et j'regrette tellement d'pas l'avoir connu. Surtout quand j'vois comment Delia, ma grand mère paternel, s'comporte. Sérieux, ça m'dégoûte. J'sais qu'Apollina aurait été une véritable grand mère gâteau, et qu'elle m'aurait aimé de tout son cœur, alors autant dire que quand j'vais chez les vieux Di Castelli, j'ai envie d'pleurer. J'sais pas pourquoi, mais ils ont pas du tout été emballé par ma naissance. J'suis pas sûr qu'ils aient jamais été heureux d'savoir qu'j'allais arriver, en fait. Mais bon, c'est pas comme si on leur avait demandé l'autorisation, d'toute manière. Si bien qu'sept mois plus tard (ouais, ma mère a attendu deux mois avant d'l'annoncer à tout l'monde, j'crois qu'elle a fait pas mal de fausse couche avant moi, alors elle voulait être certaine qu'j'étais bien là) j'suis v'nue au monde. J'me suis mise à hurler à pleins poumons (enfin, il paraît, j'avais pas encore de conscience à l'époque donc j'me souviens pas) et bim, j'étais là. J'me souviens pas d'grand chose de cette époque là, si ce n'est quelques bribes d'la maison dans laquelle on a vécu jusqu'à mes cinq ans, à Venise. Ouais, alors d'ailleurs, ça, j'ai pas trop compris. Mes parents sont parti en voyage, avec mon frère, à Venise, et comme j'suis née là bas, ils ont tout plaqués pour y vivre. J'sais pas pourquoi, surtout qu'ils avaient tout à Vérone, mais bon. Toujours est-il que, d'toute manière, on y est retourné quelques années plus tard, et c'est là qu'ma vie a réellement commencé.

La première personne qu'j'ai rencontré, c'est Gaïa. Il s'trouvait qu'c'était la fille des Acciari, nos nouveaux voisins. D'un an mon aînée, on s'est tout d'suite entendu, elle et moi. Bon, en même temps, à cinq et six ans, pas trop compliqué d'se faire des amis, vous m'direz. Mais toujours est-il que, dans ma tête, Gaïa est ma première véritable amie. Au fond, elle est un peu plus comme une sœur, même. Elle m'a toujours protégée contre les gens qui m'voulaient du mal, puis l'fait qu'elle habite juste en face d'chez moi nous a permit d'passer un temps considérable ensemble. On a grandit ensemble, évolué ensemble, et on s'est jamais vraiment séparé. Oh, bien sûr, il y a eu quelques p'tites disputes. Par exemple, à son entrée au lycée. J'me suis senti délaisser. J'avais que quinze ans, et Battiste nous avait abandonné deux ans plus tôt déjà. Gaïa était donc la seule chose qui m'restait. Enfin, Gaïa et Raf, évidemment, mais bon, Raf est un sujet qu'j'aborderais plus tard. Toujours est-il que j'me suis senti lâchement abandonné par l'un d'mes derniers piliers, et j'ai manqué d'm'effondrer à de nombreuses reprises. Mais bon, en soit, c'est la seule vraie dispute que nous avons eu à vivre. Faut dire qu'c'que j'pense d'moi quand j'suis avec elle n'a rien à voir avec c'que j'pense de moi avec les autres. Elle a l'don d'me mettre en confiance, et j'sais très bien qu'elle m'laissera pas d'côté ; du moins pas consciemment. 'Fin bref, vous avez compris l'topo, non ?

À cette époque, j'restais aussi beaucoup avec mon frère. En fait, j'crois qu'c'est là qu'notre proximité a réellement commencé. J'avais perdue tous mes repères, la ville dans laquelle j'avais commencé mon existence, les quelques personnes à qui j'm'étais liée. Vous allez m'dire qu'à cinq ans, on a pas conscience de tout ça, et j'pense que dans une certaine mesure, vous avez raison. Mais j'sais pas, ça m'a marqué, moi. Et j'avais peur, j'avais peur de déménager à nouveau et d'perdre à nouveau mes repères, du coup j'me souviens m'être dit qu'j'étais mieux à simplement rester avec Battiste. Après tout, il m'suivrait partout où j'irai, lui, non ? Du coup, quand il n'était pas au collège, et qu'moi j'étais pas à l'école, j'le suivais partout. J'vous jure, un véritable petit chien. À force, il a commencé à arrêter de sortir le soir, préférant invité ses potes à la maison. Ça rassurait mes parents, et ça l'rassurait, lui. Il avait trop peur qu'j'parte à sa poursuite, même si j'devais l'avouer que quand il sortait, j'passais plutôt du temps à bouder dans ma chambre. Quoiqu'il en soit, et malgré notre différence d'âge, j'étais tout l'temps avec lui et ses amis. Bien sûr, j'comprenais pas trop leur conversation (c'était des grands, moi j'étais qu'une petite, ça m'parlait pas tout c'qu'ils disaient), mais j'étais avec eux, et ça semblait pas les gêner. C'est comme ça qu'en grandissant, j'ai petit à petit prit place dans leur bande. Bien sûr, j'étais toujours aussi p'tite, mais j'étais là, et c'était tout c'qui comptait. Ça a pas duré longtemps. Quand j'ai eu treize ans, et alors que Battiste revenait de l'université, il a eu un accident d'voiture. Trop con. Il est décédé sur le coup. J'étais encore jeune, seulement au collège, mais ça m'a donné un gain de maturité énorme. Et beaucoup d'tristesse, aussi. J'me suis éloignée d'tout l'monde. Raf, le meilleur ami d'mon frère (le fameux), essayait d'me forcer à lui parler, parce que d'toute cette bande, il était l'seul qui comprenait l'lien qui m'unissait à mon frère. Mais j'voulais pas, j'voulais plus, j'en pouvais plus, j'voulais juste partir, n'plus jamais voir personne, m'coucher dans mon lit en attendant qu'la mort me prenne moi aussi, parce que c'était injuste, invivable, insupportable. C'était trop tôt, trop dur, j'étais pas prête, j'voulais pas, j'refusais d'perdre mon frère, l'seul qui était censé n'jamais m'quitter. J'vais pas vous mentir, j'pensais vraiment à mourir. Mais c'était jamais moi qui mettait fin à ma vie. D'toute façon, et j'le savais déjà à l'époque, j'étais incapable d'me donner la mort. Non, chaque fois que j'm'imaginais mourir, ça arrivait par accident, sans que j'm'y attende, c'était la faute de quelqu'un d'autre, un conducteur bourré, un hasard qui f'sait qu'j'étais au mauvais endroit au mauvais moment. Ça a duré deux ans comme ça. Deux ans où j'attendais, simplement, qu'la mort me prenne. J'sais pas trop c'qui a provoqué l'déclic, p'tet que c'était Raf, qui passait son temps à m'dire qu'Battiste aimerait pas m'voir ainsi, p'tet que c'était mes parents qui dépérissaient d'voir leur, désormais, unique enfant mourir à p'tit feu, toujours est-il qu'un jour j'me suis bougée l'cul. J'l'ai pas fais pour moi, j'l'ai fais pour les autres, et d'toute façon, encore maintenant j'le fais pas pour moi. Parce que ouais, vous vous en doutez sans doute, mais j'suis toujours dans cet état de dépression étrange. J'souris, j'ris, mais c'est faux, c'est pas vrai, personne peut m'rendre à nouveau heureuse, du moins pas entièrement. Bien sûr, il m'arrive d'être réellement contente, mais j'le suis pas suffisamment pour sourire sincèrement. La plupart du temps, c'est Raf qui m'rend ainsi.

Raf, parlons en. Rafael, ce garçon, pardon, cet homme qui a toujours fait d'son mieux pour m'protéger. C'est quand j'suis arrivée au collège que j'me suis rendu compte d'combien il était important pour moi. Des amis d'mon frère, il était celui qu'j'appréciais l'plus, et dont j'étais l'plus proche. Avec lui, j'avais toujours eu l'impression d'être à ma place, et les années passant, cette impression n'avait fait qu'se renforcer. C'est con, mais il est l'numéro a appelé en cas d'urgence. Pas mon père, pas ma mère, mais Raf, ce garçon étrange, incroyablement flemmard, celui qui bougerait pas d'son canapé même si on annonçait la fin du monde. Il resterait là, à jouer à la console, tout en pestant contre Manchester United parce qu'il arrive jamais à les battre. Raf, c'garçon qui m'a sorti du trou suite au décès d'mon frère. Celui qui a tout fait pour m'faire sourire à nouveau. Raf, c'garçon pour qui j'suis tombée. Pardon, j'me suis salement ramassée la gueule au sol. J'devais avoir quinze ans, justement (au moment d'ma fameuse prise de conscience quant à ma vie future) quand j'me suis rendue compte qu'j'étais amoureuse de lui. J'ai mis cinq mois à m'avouer ces sentiments, et il m'a fallu un mois d'plus pour en parler à Gaïa. Suite à ça, j'ai décidé d'l'oublier. Ça a jamais fonctionné, principalement parce que j'le vois tous les jours. Pourtant, j'ai tout fait pour l'repousser. J'ai tout fait pour qu'il sorte d'ma vie. Et si c'était pas lui qui m'forçait à l'accepter, c'était moi qui r'venait vers lui. C'était l'chat et la souris, fuis-moi, je te suis. J'avais qu'lui, j'voulais qu'lui, j'veux qu'lui. Même maintenant j'serais incapable d'me passer d'lui. J'supporte pas d'le voir s'éloigner, c'qui est con, parce que même moi j'ai essayé d'le faire partir. J'l'aime, tout simplement.

Ma vie est donc principalement composée de mes parents, qui n'osent plus me regarder, parce que j'leur rappelle trop Battiste, de Gaïa, que j'aime toujours autant, et d'Raf, qui m'quitte pas d'un poil, ou que j'quitte pas d'un poil, j'sais pas trop. J'passe mon temps au lycée, et quand j'y suis pas, j'suis sois allongée sur l'sol de ma chambre, sois planquée à la bibliothèque pour en apprendre plus sur ce monde, pour en apprendre plus sur comment tout a pu évoluer pour en arrivant à c'qu'on en est actuellement. J'suis prédestinée à faire une licence d'histoire, ou p'tet même que j'ferais histoire de l'art. Disons qu'j'ai bien choisi mon cursus, puisque j'fais déjà une filière littéraire au lycée, et qu'je compte bien rester dans cette voie.


who i am wasn't good enough
Pseudo ; el chaton. âge ; bientôt dix neuf ans. pays ; France, je t'aime. fréquence de connexion/RP ; j'essaye d'être la plus active (une réponse par semaine) mais je travaille, et je suis souvent fatiguée, donc je ne peux rien promettre. bref avis sur le forum ; je le trouve très beau, que ça soit le design ou le contexte, et j'ai déjà hâte de jouer avec vous. comment l'avez-vous découvert ? sur bazzart, tout simplement. un dernier mot ; Polly va régner sur Vérone.  apollina x l'avenir appartient à ceux qui s'lèvent à l'heure où j'me couche 4046853416  

Type de personnage : totalement inventée par mes soins.
Jago Sorabella
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Re: apollina x l'avenir appartient à ceux qui s'lèvent à l'heure où j'me couche
Mar 2 Aoû - 9:11


la jolie blonde. :bril:
bienvenue. :coeur: n'hésite pas si besoin.
Anteia Aggelos
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Re: apollina x l'avenir appartient à ceux qui s'lèvent à l'heure où j'me couche
Mar 2 Aoû - 9:56


Bienvenue parmi nous :hanoui:
J'espère que tu te plairas bien ici :coeur:
Anonymous

Invité

Re: apollina x l'avenir appartient à ceux qui s'lèvent à l'heure où j'me couche
Mar 2 Aoû - 11:06


Merci beaucoup les loulous. apollina x l'avenir appartient à ceux qui s'lèvent à l'heure où j'me couche 4046853416
Anonymous

Invité

Re: apollina x l'avenir appartient à ceux qui s'lèvent à l'heure où j'me couche
Mar 2 Aoû - 11:23


la belle blonde :bril:
bienvenue officiellement ma belle :44:
Anonymous

Invité

Re: apollina x l'avenir appartient à ceux qui s'lèvent à l'heure où j'me couche
Mar 2 Aoû - 20:05


Merci ma jolie rousse. :hanoui:
Anonymous

Invité

Re: apollina x l'avenir appartient à ceux qui s'lèvent à l'heure où j'me couche
Mer 3 Aoû - 10:36


Bienvenue à Vérone

Ici Gaïa, poulette :bril: . J'aime beaucoup ta fiche et la façon dont tu écris, c'est très beau :43: . J'ai hâte de voir Popo à Vérone en tout cas :44: . Je n'ai malheureusement pas les accès pour t'ajouter ta couleur, mais ça devrait se faire sous peu ! En attendant, tu peux tout de même poster tes sujets et Rp :43:
A présent que tu es validé(e), n'oublie pas d'aller réserver ton avatar et recenser ton métier (ou tes études). Tu peux également t'inscrire au flood d'intégration afin d'apprendre à connaître les autres joueurs. Enfin, pense à faire une demande de logement afin de ne pas te retrouver à la rue ! Enfin, n'oublie pas de venir surveiller le sujet des nouveautés pour rester à la page dès qu'il y a du neuf sur le forum. Nous restons à ta disposition en cas de besoin, n'hésite pas à nous contacter. Bon jeu sur /LOVE
Anteia Aggelos
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Re: apollina x l'avenir appartient à ceux qui s'lèvent à l'heure où j'me couche
Mer 3 Aoû - 10:37


Je m'occupe de ta couleur ! :hanoui:
Anonymous

Invité

Re: apollina x l'avenir appartient à ceux qui s'lèvent à l'heure où j'me couche
Mer 3 Aoû - 11:31


Merci beaucoup les bichons. :bril:
Anonymous

Invité

Re: apollina x l'avenir appartient à ceux qui s'lèvent à l'heure où j'me couche
Ven 5 Aoû - 17:45


bienvenue parmi nous demoiselle I love you

Re: apollina x l'avenir appartient à ceux qui s'lèvent à l'heure où j'me couche



apollina x l'avenir appartient à ceux qui s'lèvent à l'heure où j'me couche
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