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Anonymous

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never let me go (camille)
Sam 18 Juin - 17:28



never let me go
camille

Camille. Tu n'avais que cette femme dans les pensées. Ses courbes, ses lèvres, ses mains, tu les voulais. Toujours, chaque fois un peu plus. Tu t'étais rendu chez elle, pour t'excuser. Oui parce qu'hier après le travail, tu t'étais embrouillé. La frustration de ne pas être satisfait, l'envie de l'avoir toujours un peu plus grandissante dans ton être. Tu ne savais plus. Perdu entre désir et sentiment. Tu prétendais au désir, la souhaitant simplement pour satisfaire un plaisir coupable mais une fois que tes lèvres goûtaient à sa peau alors tu te perdais dans une aventure aux saveurs extraordinaires. Comme en cuisine, mélange de parfum exotique, explosion des papilles gustatives. Et quand elle te quittait, tu te retrouvais soudainement seul, un vide dans ta cage thoracique, une sentiment d'abandon. La nuit tu rêvais d'elle, le jour tu la voulais. Camille, si tu savais. Des cries, des hurlements, des mots violents qui se perdent, pourtant des sentiments qui s'égarent un peu plus chaque fois entre les murs. Pour ensuite la retrouver parce que tu n'arrivais pas à te la faire sortir de la tête. Tu avais essayé la cigarette, on disait qu'on n'en devenait accro facilement. Certes, mais en rien cela t'avait permis de te l'enlever de la tête. Tu jetas le bâtonnet fumant avant d'entrer à l'intérieur de frapper à sa porte. Le coeur battant la chamade. Tu attendais. Le stresse se propageant. Et le soulagement t'envahissant lorsque la porte s'ouvrit. Sublime, magnifique, elle était belle. Comme d'habitude. Tu entres, sans sa permission. Le palpitant près à sortir de ta poitrine. La porte tout juste refermée tu la plaques contre cette dernière pour t'emparer de ses lèvres dans une valse passionnelle. Des baisers effrénés, une excitation insoupçonnée. Tu ne pouvais guère te passait d'elle. « Je suis désolée. » Des excuses que tu balances entre deux baisers, entre deux acharnements, avant de t'aventurer dans son cou. Un feu ardent brûlait en toi pourtant tu reculais maladroitement. Tes mains frottant ton visage. Tu devais sérieusement aller consulter un psy. Elle te rendait dingue. « Tu vas bien ? » Le sourire gênée. À toi seul, tu étais un paradoxe, une belle ironie. Lui tournant le dos pour résister à cette envie de la bouffer.
© ACIDBRAIN
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Re: never let me go (camille)
Sam 18 Juin - 19:28



never let me go
camille

Verre de vin rouge à la main ; en cette nuit la belle n'a qu'un seul objectif : se soûler. Vite et bien. Elle veut boire pour oublier, elle veut se perdre dans la liqueur carmine pour se soulager. Paradoxale, elle sait bien qu'elle va finir malade, tête la première dans les toilettes à vomir ses tripes. Pourtant, c'est plus fort qu'elle. 'Il' a encore fait des siennes. L'homme aux mille visages, l'imprévisible qui lui brûle le bas-ventre, et empoisonne ses lèvres. Ils se sont disputés hier. Encore. Il a crié, elle a hurlé. Il est parti, et elle s'est retenu de pleurer. Fierté mal placée, elle se montre forte, alors qu'au fond, il la touche vraiment. Il saccage tout, détruisant conviction, pulvérisant toute sérénité. Il la désire, et pourtant, il la rejette. Folie destructrice. Ce mec est instable, inconstant. INCOMPRÉHENSIBLE. Elle le sait la petite Camille comme elle sait qu'il ne changera sans doute jamais. Alors pourquoi est-elle en train d'ouvrir cette porte, sachant pertinemment qui se trouve derrière ? Elle aurait dû l'ignorer sans doute ; faire comme si de rien n'était. Seulement, le voir n'est pas qu'un soulagement. C'est un plaisir, un véritable délice pour le cœur et les sens. Et elle se perd vite, trop vite dans ce regard qui l’obsède. Elle ne sait quoi dire, ni quoi faire. Alors il entre sans rien demander. Bourrin, voilà ce qu'il est. Mais elle a l'habitude la jolie princesse, du moins avec lui. Elle ferme la porte, et là, tout s’enchaîne et se déchaîne. Encore, toujours, tout le temps ; quand Alceo est proche. Lui c'est la tempête, l'ouragan violent. Elle c'est la feuille d'automne, la petite chose légère. On se doute bien de qui gagne à chaque fois. Le 'clic' de la porte comme signal, le 'réveil' est brutal. Camille se retrouve plaqué contre la porte. Oh, elle ne se sent pas bousculée loin delà ; la jeune fille, elle se sent chavirer. Game Over, la partie n'a même pas commencé. Elle ne peut pas résister face à la passion dévorante du sieur qui fait tambouriner sa cage thoracique. Elle se plie devant l'incandescence, qu'elle récompense avec autant d'élan. Elle aime son impulsivité, elle la cajole de caresses, la séduit par des baisers. Et d'un « Moi aussi. » elle lui emprisonne ses lèvres, suivant la danse endiablée. Elle brûle la petite … Et elle est vite refroidie. Encore. La tempête se calme, disparaît. Alceo recule alors que le corps d'Ambroisie hurle. C'est lui qui la rend dingue. Camille est-ce que tu vas bien ? Évidemment que non, abruti ! Sauf qu'elle se tait. La frustration lui coupe le sifflet. Elle se recoiffe d'un geste de la main, se racle un peu la gorge, et le suit jusqu'au salon pour reprendre ce verre qu'elle aurait dû boire seule. « On ne peut mieux. » Elle se contente de ça, et elle boit cul sec. Ou pas. « Tu te fiches de moi là ? Tu me sautes dessus, et puis plus rien pour ensuite me parler du beau temps ? » C'est sans doute l'alcool, c'est à cause de cette gêne.
© ACIDBRAIN
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Re: never let me go (camille)
Dim 19 Juin - 12:18



never let me go
camille

Tu étais là, devant elle comme un pauvre garçon sans défense. Résistant à l'envie de succomber à cette décadence. Un plaisir coupable. Un désir acharné. Mais tu ne pouvais pas. Pas avec elle. Tu ne pouvais pas lui faire l'amour comme aux autres parce qu'elle était différente. Tu ne pouvais pas lui briser le coeur. Pas à elle. Aux autres oui, mais pas à celle qui berce tes pensées, ton esprit à chaque fois. Tu ne t'en remettrais jamais. Égoïsme indomptable. Tu te grattes l'arrière de la nuque. T'étais vilain et mesquin. Et t'arrivait à tout faire rater, à tout déclencher pour que ça hurle. T'étais qu'un simple idiot, qui ne savait pas comment s'y prendre, comment apprivoisé cette belle qui ne faisait que rendre irrégulière la mesure de ton palpitant. Ces sensations qui t’électrisaient lorsque tu la touches, ces fourmillements qui t’engourdissait les mains, le corps tout entier, quand tu n'es plus assez proche d'elle. Et la tempête se déchaîne. Son verre de vin disparu, elle s'animait, la voix forte, elle se plaignait de toi et ton fichu comportement, incompréhensible. Alors, tu t'approches, encore une fois. Subtilement, tu te glisses tout près d'elle, ton visage s'insère au creux de son cou. « C'est parce que je ne peux pas me le permettre... » lâches-tu. Comme dans cette tragédie de Shakespeare, tu ne pouvais pas te permettre d'éprouver ne serait-ce qu'un sentiment à son égard. Ni même d'avoir envie d'elle. Parce que tu étais le diable, celui qui brise, celui qui frappe et qui blesse. Elle était un ange. Ta malédiction. « Pourtant, si tu savais ce que j'ai envie de te faire. » Ce que tu rêves de lui faire. L'amener dans les méandres des abîmes d'un plaisir infini. Tu chuchotes à son oreille, ces mots qui frissonnent, qui donnent froid alors que tu te retiens de bouffer son cou. De faire de sa clavicule, ta calice. Une symphonie que vous répétiez à chaque fois. Une frustration qui disparaissait pas. Mais un jour, Alceo, tu perdras et tu succomberas. Camille, belle Camille, si tu savais. Tu enivres tes narines de son odorat particulier. Le seul qui t'aimante, le seul que tu considères comme une drogue. Puis tu recules. Plongeant tes yeux dans ses iris. Si tu savais comment je suis fou de toi. Tu la regardes, tu la contemples, tu l'admires dans ce silence pesant. Ta crâne hurle la mort pour que tu cesses de lutter. Tes mains s'aventurent sur ses bras, son cou, ses joues, sa nuque, son corps, de caresses suaves et délicates. « Pourquoi diable es-tu rentré dans ma vie. » demandes-tu dans un soupire presque inaudible. La vie était plus simple sans toi, tu n'avais pas son visage plaquait dans ton esprit, ni ces anomalies dans ta cage thoracique. Tu vivrais simplement comme un homme libre, parcourant les ruelles de Véronne, sans constamment avoir besoin de sa drogue. De toi, Camille.
© ACIDBRAIN
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Re: never let me go (camille)
Lun 20 Juin - 14:47



never let me go
camille

Douce Camille au cœur sensible. Forte et fragile ; entichée et énervée. La contradiction est pesante pour ses épaules si petites. Euphémisme de cette nuit, Alceo n'est pas facile ; la bête ne se laisse pas apprivoiser comme elle l'aurait désiré. Dommage. La déception se lit facilement sur son visage, se traduit aisément dans sa voix. « Mais je veux savoir, c'est bien ça le problème ... » Oui, elle veut savoir. La connaissance est curieuse, avide. Panaché de la jeune fille, elle en est affamée. Elle aimerait connaître cette sensation d'avoir un corps, 'son' corps, contre le sien. Elle aimerait qu'il se fonde en elle, à l'intérieur, au plus profond d'elle-même. Elle connaît pourtant cette sensation, mais elle veut la redécouvrir avec lui. Elle sait la douce princesse, elle sait que ce sera différent avec lui. Elle le sent dans son bas-ventre, le ressent dans sa poitrine. Son cœur dicte, sa tête traduit. C'est lui et personne d'autre. Obsession qu'elle avait cru passagère, elle se rend compte au jour le jour qu'il n'en est rien. C'est ça l'amour ? Jolie Camille, elle ne comprend rien, n'arrive pas à suivre. Les tourments de cette passion dévorante s’abattent, et Alceo ne lui laisse aucun répit. S'il est parti, c'est pour mieux revenir. L'animal se glisse derrière elle après qu'elle pose son verre. La proximité ne suffit pas, le besoin de toucher est toujours là. Il brûle, il est douloureux. Or, l'Italien est sadique. Son souffle caresse sa peau légèrement halée, et elle ne peut que frissonner. Le désir devient une véritable torture, la frustration, sa punition. Vite, vite. Dévore ma peau. Mais il n'en fait rien, il s'en va de nouveau. Pourquoi, pourquoi la tourmente-t-il à ce point ? La bête n'est pas qu'un animal sauvage, c'est un démon avec qui la belle a pactisé sans le vouloir. Elle se retourne alors, son regard cherchant naturellement le sien. Et elle le trouve comme à chaque fois. Elle est prête à crier de colère, de spoliation. Toutefois, elle ne dit rien. Ses lèvres restent closes, mais sa poitrine hurle lorsque ces mains se posent sur elle. Soulagement ou nouvelle douleur, d'Ambroise ne sait plus où se positionner. D'ailleurs, elle n'a plus de certitude depuis qu'elle le connaît. En revanche, elle sait que ce toucher est le meilleur. Il l'a fait vibrer, la transcende. « Je te retourne la question ... » Les imprévus comme lui, elle n'aime pas ça Camille. Sa vie était réglée comme du papier à musique, et lui, il s'est ramené en faisant tout valser. Elle est contrariée. Elle trouve ça injuste que ce soit toujours elle la malmenée. Alors pendant qu'il se perd dans son regard et qu'il la caresse, elle en profite la vilaine fille. Ce n'est pas ses mains qui vont punir, mais ses doigts ; ses deux index qu'elle glisse à la commissure de son pantalon. Ils s'aventurent dans des contrées encore jamais explorées pour terminer leur voyage au niveau de ce bouton, porte fermée dont on lui refuse sans cesse l'accès. « Égoïste, à t'entendre il n'y a que toi qui aies des envies … Ma 'faim' est peut-être plus grande que la tienne. Tu y as pensé ? » Ça sonne plus comme une provocation qu'un reproche. Ça sonne comme une invitation.
© ACIDBRAIN

Re: never let me go (camille)



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