bagarreur, il est trop impulsif et fonce dans le tas sans prendre le temps de réfléchir. Ça le fout parfois dans des situations très cocasses. Il considère que les poings sont plus puissants que n'importe quels mots. immature, il a le syndrome de Peter Pan, incapable de grandir, il se comporte le plus souvent comme un gosse. Ça agace, ça gêne mais il s'en fout. passionné, parce qu'il vit les choses à fond, sa vie il plonge dedans, quitte à y perdre des plumes. De façon trop excessive mais il a trop peur de ne plus se sentir vivant. casse cou, il a fait plus de séjours à l'hôpital que n'importe quel habitant de Véronne -aucune statistique établie à ce jour ceci dit-. Il songe à prendre sa carte d'abonnement là bas. Il passe son temps à faire n'importe quoi. Tel un enfant il n'a pas vraiment de notion de danger et il adore ce sentiment de peur qui l'envahi quand il dépasse les bornes. Puis il se croit tout permis et invincible. borné, il est tellement obstiné qu'il peut être de mauvaise foi. Quand il a une idée en tête, bon courage pour le faire changer d'avis. malpoli, on peut même dire vulgaire, il dit les choses comme elles viennent, sans tourner sa langue sept fois dans sa bouche. Ce qui a le don d'agacer ces parents. Tant mieux, raison de plus pour continuer. indécis, infidèle et totalement inconstant dans ses propres choix, dans ses propres sentiments. il se lasse très vite.  jaloux,  peu de personnes peuvent se vanter d'être entrer dans sa bulle, le truc, c'est qu'une fois qu'on y est, c'est à vie et il se trouve être un brin possessif quand il s'agit des gens qu'il aime. Il aime pas vraiment partager. provocateur, c'est un chieur, un fouteur de merde. Il n'a d'ailleurs aucune limite et est capable d'aller très loin dans ses propos pour déstabiliser son interlocuteur.  franc, il ne ment pas. Il ne sait pas le faire de toutes façons. Si il a du mal à parler de ses propres émotions, ce n'est pas le cas en ce qui concerne son avis. Il respecte d'ailleurs pas grand chose, à commencer par les femmes dont il se sert sans trop d'état d'âme. attachant, ceux qui le connaissent savent qu'il est quelqu'un de bien, c'est juste un gamin qui a manqué de repères. Finalement, tous ces petits défauts le rendent attendrissant. On l'aime ou on le déteste.

Un diner mondain, de ceux où il doit se mettre sur son 31. De ceux qu'il rejette. Sourires hypocrites. Propos contrôlés, comme s'il n'avait pas le droit d'être lui même. Cela pourrait nuire à l'image familiale. L'insistance de son père avait eu raison de lui. Du chantage, moyen le plus sur d'arriver à ses fins. L'ambiance est étouffante. Il sort. Personne ne remarquera qu'il n'est pas là de toutes façons. Cette envie de disparaitre qui le prend, de s'évanouir dans la nature. Une main qui agrippe la sienne, mettant fin à ce sentiment de solitude qu'il abhorre. Ses yeux bleus s'accrochent aux siens tandis qu'il s’accommode d'un sourire feint. Elle est fatigué aujourd'hui. Son rire ne s'accorde pas avec le sien. Cette imperfectible douleur qu'il perçoit dans ce regard limpide. Il a peur Angelo. Il panique totalement à l'idée de perdre sa meilleure amie. Gabriella a prit trop d'importance dans son existence. Sa main se serre un peu plus fort contre celle de sa cousine, si bien qu'elle pourrait craquer. Il peut rien faire. Il est juste là, à la regarder, espérant qu'elle survivra à une journée de plus. Une année de plus. Il s'inquiète. Tout le temps, c'est pas par vague, c'est constant, il a parfois l'impression que chaque minute de sa vie n'est réglé que par ce détail hurlant : la sentence tombera un jour et lui par la même occasion. Parce qu'elle lui promet qu'elle va bien, qu'elle est préparer depuis qu'elle est née à l'éventualité de partir mais lui ne l'est pas du tout bordel. Dans cette putain d'histoire, il est celui qui reste, celui qui devra s'accommoder de ce compagnon imprécis, de ce deuil merdique. Il n'en parle pas. Il ferme sa gueule à ce sujet et agit comme si la maladie n'était pas là. Il lui sourit, presque provocateur pour ne pas que la mort croit qu'elle a gagné. A la manière dont un enfant le ferait, si il ne le dit pas à haute et intelligible voix, il a l'impression que ça n'existe pas. C'est juste un mauvais rêve. Sara n'est pas loin, Sara n'est jamais loin. « Bon vous foutez quoi, je vous cherche partout depuis une demi heure. » Il allume une cigarette qui finira entre les lèvres d'une de ses cousines. Ils partagent trop, tout en réalité. A part Ada peut être, son jardin secret. Son polichinelle dans le tiroir, celui dont il ne parle pas avec ces cousines, sans doutes parce que ça deviendrait trop réel.

Sa silhouette démoniaque joue avec la lumière tamisée de la pièce, sa robe moulante ne le laisse pas indifférent. Il se sentirait presque défaillir devant le charme incontestable de celle qu'il a choisit pour proie ce soir. Sa chevelure épouse harmonieusement ses épaules. Le spectacle est délectable jusqu'à ce qu'elle le regarde. Pas que son visage soit vilain, au contraire, il complète parfaitement son corps de rêve et c'est justement là le problème. Une Sorabella. Il ronchonne, détourne son regard insistant. Il implore son cœur d'arrêter de battre à une telle vitesse mais rien n'y fait, il n'y arrive pas. Alors il fonce, il réfléchit pas. L'issue de cette rencontre est pourtant l'évidence même et ce qu'il craignait et désirait à la fois arrive pour la première fois ce soir là, l'union de deux corps indécis, de deux âmes bafoués. L'alcool aidant. Les prémices d'un amour. Le début d'une histoire. Oh bordel, le lendemain matin, il se serait presque foutu une claque tellement s'était prévisible. Elle est parfaite mais elle est pas faite pour toi. se répète t-il depuis ce jour, ritournelle affreuse aux conséquences désastreuses. Parce qu'il est comme ça Angelo, il se fait mal à chaque fois. Pourtant, il finit toujours par y retourner, le plus souvent avec le sourire. Par jeu. Même si ce n'est plus la seule raison depuis des mois. Une petite voix lui hurle de l'aimer, elle, parce qu'elle est bien la seule qui pourrait lui faire enfin aimer la vie. Une autre lui promet un avenir de souffrance à ses côtés. Il sait pas, il sait plus. Il a personne à qui en parler. Il garde ça pour lui. La peur au ventre. Parce que révéler ce presque adultère, ce serait risquer de la perdre à jamais. Et puis les épanchements de son organe vital n’intéresseraient personnes, surtout s'ils concernent une fille qu'il devrait haïr. Il la revoie, le temps d'une heure, le temps d'une nuit, des promesses non tenues, des paroles sans queue ni tête avant de retrouver chacun son train-train quotidien comme si rien ne s’était passé. Ça paraît être l’une des choses les plus absurdes de la vie. Elle jure le détester. Elle jure ne jamais vouloir le revoir. Et finalement, elle retombe toujours dans les filets fragiles qu'il pose. Il veut la contrôler et elle adore ça même si elle fait tout pour échapper à son bourreau. Huit mois. Huit mois de souvenirs totalement désordonnés, des cris, des rires, des larmes, des corps à corps, ce putain de sentiment de se sentir vivant à ses côtés. Angelo aime. C'est beaucoup mais il n'a jamais été capable de lui avouer à elle, il ne se l'est même pas encore avoué à lui même. Toxique.

Type de personnage : pré-lien de Désidéria (famille Borgia, dernier fils de Fulvo.)

A présent que tu es validé, n'oublie pas d'aller réserver ton avatar et recenser ton métier (ou tes études). Tu peux également t'inscrire au flood d'intégration afin d'apprendre à connaître les autres joueurs. Enfin, pense à faire une demande de logement afin de ne pas te retrouver à la rue ! Nous restons à ta disposition en cas de besoin, n'hésite pas à nous contacter. Bon jeu sur /LOVE