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Anonymous

Invité

perfect toy (olivia)
Mer 8 Juin - 22:11


 
olivia valentin
jus because i'm telling you the story , doesn't mean i'm alive at the end of it
 Blake Lively ; gotta be somebody


nom complet ; Olivia Valentin
âge ; 27 ans
date & lieu de naissance ; 2 décembre 1988
nationalité ; Italienne et française
activité professionnelle ; dirigeante de son entreprise : production de vins de haut de gamme Valentin
études ; management et économie à Milan
situation financière ; très aisée
:coeur: état civil ; célibataire
:coeur: orientation sexuelle ; hétéro

Ce qui la caractérise le plus, c'est ce conflit qui a toujours existé en elle entre les plaisirs et la raison. Elle n'a jamais réellement su faire de ses émotions et se débat continuellement avec eux. Cependant, c'est une femme persévérante et ambitieuse qui a toujours entrepris les choses dans le but de prouver qui elle était et qu'elle avait sa place au sein de la haute société qu'elle côtoyait. Si elle avait osé n'être qu'elle-même, elle se serait laissé guider par sa passion pour la peinture et aurait passé ses journées à dévorer des livres. Malheureusement, Olivia est aussi une femme très fragile qui sombre facilement. Elle ne sait pas se voiler la face ou encore tenir le masque, si quelque chose la touche, ça la touche, et si cette chose est assez importante, elle peut même la détruire de l'intérieur, littéralement. Par ailleurs, Liv est une personne étonnante et souriante quand tout va bien pour elle, elle est d'un naturel à vous faire craquer en un instant. Une chose est sure, c'est qu'elle aime profiter des plaisirs de la vie. D'autre part, en affaires, c'est une femme redoutable qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Elle dirige son entreprise comme il se doit et décroche encore de beaux contrats.

Love at first sight
Un seul et unique bashert en ce monde ? Olivia a énormément de mal à y croire. Premièrement parce qu’elle ne veut pas que son destin soit scellé, et ensuite parce que ça lui paraît impossible. Elle s’est elle-même éprise d’amour et de passion pour deux hommes totalement uniques et différents l’un de l’autre. Elle les aimait tout autant, sans faire de différences, à s’en déchirer le cœur. C’est la passion qui la guide et cette passion ne pouvait exister sans la présence de ces deux hommes dans sa vie. Est-ce que la réunion de ces deux êtres formerait son bashert, son être parfait et unique rien qu’à elle ? Ou se trouve-t-il ailleurs ? Non, elle est persuadée que si la légende existe, le pouvoir s’est dissipé entre ces deux hommes et il n’existe que lorsqu’ils sont réunis. Et on fait quoi si cette personne se trouve à l’autre bout de la terre et que ces deux êtres ne se rencontrent jamais ? Et quid d’un possible bashert qui naitrait quelques années plus tard ou qui serait venu au monde quelques années plus tôt ? Non, elle refuse d’y croire. L'amour, ça vous prend les tripes, vous déchire le coeur et ne vous laisse jamais intactes, mais c'est ça qui est beau, et c'est ça qui donne envie de s'y jeter à corps et âme perdue. C'est cette passion, ce feu ardent qui donne envie de se lancer, d'y goûter, de se laisser prendre et de tomber sans penser aux conséquences. Des passions et des amours, il en existe des milliers de forme différentes, tout comme les êtres peuplant cette planète. Pourquoi ne serions-nous destinés qu'à l'un d'entre eux ?


who i am wasn't good enough
Pseudo ; / Aude âge ; 22 ans. pays ; Belgique. fréquence de connexion/RP ; 4j/7. bref avis sur le forum ; l'est magnifique ! comment l'avez-vous découvert ? sur Bazzart un dernier mot ; ça va roxer avec toutes les histoires que j'ai déjà entendues !

Type de personnage : inventé
Anonymous

Invité

Re: perfect toy (olivia)
Mer 8 Juin - 22:12


❝ I  saw the end of the world. ❞


Vous connaissez ce moment ? Cet instant où tout, absolument tout ce que vous avez vécu et tout ce que vous connaissez vous revient en pleine figure ? Ces quelques secondes de souvenirs auxquels vous êtes obligé de faire face ? Cette partie de vous que vous aviez refoulée au plus profond, cette partie que même vous aviez oubliée, ces petites particules que vous n’auriez jamais désiré voir ressortir, pas même une par une, aussi minuscules soient-elles, ces souvenirs qui n’étaient plus et qui soudain, refont partie de vous comme si jamais ils ne vous avaient quittés. « Vos parents ont eu un grave accident de voiture, ils nous ont malheureusement quittés. » Les mots restaient en suspend dans son esprit tandis que toute son enfance venait lui frapper le visage telle une gifle violente, tous ces souvenirs d’enfance qui ne lui convenaient pas, et puis ce qu’elle était devenue, cette image dans le miroir qui lui faisait face, ces yeux rouge de colère et de haine qui la dévisageaient, cette femme qu’elle n’avait pas désiré devenir. La blondinette se contint, refoula ses envies d’envoyer tout valser autour d'elle et de planter son poing dans le mur ou même dans la face de ce médecin, médecin qui était venu lui annoncer la nouvelle comme si de rien n’était, comme si c’était normal. Olivia n’avait jamais aimé les hôpitaux, elle les avait toujours trouvé froids, sans vie et déprimant, alors ça n’allait pas être la petite voix chaleureuse et compatissante d’un interne qui allait la réconforter ou encore l’aider à mieux prendre la nouvelle. Le jeune homme qui se tenait face à lui savait pertinemment bien à qui il s’adressait, une Valentin, héritière du nom et désormais de la célèbre entreprise du même nom. Il devait s’imaginer que cette gosse de riche était née le cul dans le beurre et une cuillère en argent dans la bouche, ce qui n’est pas faux, mais ce ne sont pas ces souvenirs-là qui assènent l’esprit d'Olivia.

La première gifle qu’elle se prit fut celle de la première fois où elle appela sa mère « Maman » sauf que … ce n’était pas sa mère, c’était sa nourrice. Trop souvent en déplacements ou encore trop occupés à s’affairer pour l’entreprise, Tony et Marie n’étaient que très peu présents pour leur enfant, un peu comme s'ils ne l’avaient fait que pour assurer la relève et la continuité du nom Valentin à travers les générations futures. D’ailleurs, la petite fille grandit seule et n’eut jamais de petit frère ou de petite sœur, tout simplement parce que ses parents n’en avaient pas éprouvé le désir et que leur enfant ne leur avait jamais supplié pour avoir un compagnon de jeu. C’est donc sa nourrice qui l’éleva durant toute son enfance, et son premier « Papa » n’apparut que lors de sa troisième année, alors qu’elle parlait déjà, un peu comme si ce mot n’avait jamais fait partie de son vocabulaire et qu’on ne l’avait jamais poussée à le prononcer.

La deuxième fut celle due au fait que malgré tout cela, elle s’était attachée à ses parents et que tout en grandissant de son côté, elle avait essayé d’attirer leur attention, par quelque moyen que ce soit. Au début, c’était avec des résultats scolaires, ensuite ce fut par des coups de fils le la police à sa résidence signalant qu’une caution pour leur fille devait être payée afin qu’il recouvre la liberté, sauf qu’aucun d’eux ne vint jamais en personne pour la sortir de là. Ensuite, elle décida tout de même de se lancer dans des études de management et gestion d’entreprises, sans même que son père n’ait à le lui demander ou à l’inscrire à sa place. Elle réussit même avec brio et fut dans les premiers de sa promo à être proclamés. A ce moment-là seulement, Tony Valentin se souvint qu’il avait une fille et que celle-ci avait réussi, et que malgré qu’il veuille garder lui-même la main mise sur son entreprise, il était temps d’y faire entrer sa fille. Une fille qui ne se révéla pas être des plus mauvaises et qui faisait même avancer l’entreprise dans son temps, de quoi leur permettre de rester dans le coup et de toujours garder la tête haute face aux autres entreprises mondiales. Il n’en aurait pas fallu plus pour que Olivia ait enfin sa place dans la famille, famille que jusqu’ici elle avait un peu vu comme une secte dans laquelle elle ne parviendrait jamais à entrer. Il avait fallu qu’elle devienne adulte, et même plus pour que ses propres parents daignent lui porter de l’intérêt et la reconnaître à sa juste valeur.

La troisième et dernière gifle n’était autre que celle-ci : en dépit de toutes ces années gaspillées et de ces efforts fournis, utiles ou non, désastreux ou non, dangereux ou non, Olivia n’était pas devenu elle-même, mais quelqu’un qui serait à l’image de ses parents, quelqu’un de digne de porter le nom des Valentin. Elle avait fini par envoyer ces vingt-trois années aux oubliettes, et s’était contentée de ce qu’elle avait au moment-même. Un peu comme si sa vie de famille n’avait commencée qu’à ses vingt-trois ans et qu’elle devrait se contenter de tous les moments qui lui seraient offerts à partir de ce moment précis.

La jeune femme mit un certain temps avant de revenir à la réalité, laissant ses pensées derrière elle. La suite se passa très vite, elle avançait tel un automate, récupérant les quelques effets personnels de ses parents, remplissant et signant une flopée de papiers plus insignifiants et futiles pour elle des uns que les autres. Elle finit par rentrer chez elle en taxi, après avoir fait un détour par le nord de la ville, où elle se procura de quoi oublier tout cela pour un bon bout de temps.  

❝ Hell is only the first door. ❞


« Sortez » grogna-t-elle à l'encontre de ses domestiques, parmi eux il y avait Lux et Léo, les employés les plus fidèles de la famille. Aux dires et au ton qu’elle avait employé, ils restèrent tous de marbre, pétrifiés, incapables de faire un pas ou encore de bouger un bras. Valentin décida alors de changer de tactique. Elle se retourna dans son fauteuil d’une personne et les regarda droit dans les yeux, tout en arborant une voix plus calme et posée, elle répéta ses mots « Je vous ai demandé de sortir. » tout en y allant crescendo et en assistant bien sur le ton sec de la fin. Ce n’est qu’alors que les personnes présentes se remirent en mouvement. Lux voulut ouvrir la bouche pour dire quelque chose, mais Léo l’en empêcha en l’attirant avec lui vers la sortie. Il avait bien fait.

Une fois seule, la belle blonde se traina difficilement jusqu’à son bar, c’est transpirant et suffoquant tel un asthmatique qu’elle peina à se servir un verre. Bien que son esprit lui assenait de se servir un verre de whisky, elle se fit violence et refoula son envie au plus profond d'elle. Ces bouteilles avaient été mises sous clé et pourtant, il y a quelques semaines, elle n’avait pas tenu et il avait cassé la vitrine à poing nu, ce qui lui avait valu des points de suture tout aussi douloureux que l’impact et le contact avec sa chair et les morceaux de verre. Elle fit la moue et se servit un verre d’eau, se dirigeant ensuite vers les portes coulissantes de sa chambre avant de s’affaler sur les draps de soie qui recouvraient son lit de plus de deux mètres sur deux. Au milieu de ces draps coûtant des milliers d'euros, elle ne manqua pas de renverser le contenu de son verre avant de boire ce qu’il en restait. Tout en fixant son plafond, elle tenta de se contenir, peinant à ne pas se concentrer sur la douleur. Une douleur qui l’arrachait de l’intérieur, une douleur qui lui brûlait les tripes et lui donnait la nausée à longueur de journée. Olivia déboutonna les premiers boutons de sa chemise, un peu comme si ce geste la délivrerait d’un certain mal, mais plus les minutes passaient et plus il était présent. Moins elle essayait d’y penser et plus le mal se faisait ressentir, plus elle essayait de ne pas craquer et plus l’envie était pesante. Sa gorge était à la fois sèche et pâteuse, le sang qui coulant dans ses veines était bien trop liquide et circulait à une vitesse hallucinante, de quoi lui donner le tournis. Son cœur pompait et pompait encore, sans jamais s’arrêter, au fur et à mesure de ses passages, il se purifiait, mais chacun d’eux la rendaient folle et l’envie de mettre fin à ses jours la prenait de plus en plus. Ce combat fut celui d’un sevrage intense et d’une lutte acharnée contre la vie. Sans rien demander à ceux qui l’entouraient, elle se lança dans cette aventure à cœur et âme perdus. Malgré sa volonté de le cacher, au sein de la propriété, tout le monde savait ce qu’il s’y passait, et une sorte d’aide en chaine s’était installée, cela avait commencé par Lux, et s’était étendu à toute la maison. Cela enrageait encore plus la blondinette, mais ils ne lui laissèrent en quelques sortes pas de choix, sauf quand cette dernière se mettait parfois en rogne et les excluait de sa bulle, de son univers.

Lentement mais surement, ce que la dernière des Valentin désirait le plus était de remonter la pente. Tout le monde savait cependant qu’elle n’y arriverait pas seule et après deux années complètes à sombrer complètement, recluse dans l’ancienne propriété de ses parents, dans cette villa immense au sein de laquelle elle avait grandit, elle se décida finalement à recommencer à sortir. De simples sorties au marché, à quelques fêtes organisées l’été par la ville, à écumer les petites boutiques dans les ruelles parfois désertes et peu à peu, elle retrouvait un rythme de vie pour ainsi dire normal. Elle ne se sentait cependant toujours pas d’attaque pour renouer des relations avec les personnes autour d’elle, encore moins pour recoller les morceaux avec ces amitiés précieuses qu’elle avait détruites. C’était comme si son être tout entier fermait la porte à tout ce qui lui était extérieur, inconnu, étranger, risqué. Elle se protégeait encore pour ne pas sombrer à nouveau, bien trop fragile et faillible encore.

❝ Two souls, one heart. ❞


Elle a rencontré Ezequiel quelques minutes après avoir poussé la porte d’une librairie à l’ambiance calme et cosy. Elle s’était hissée sur la pointe des pieds pour attraper un livre en hauteur. À proximité, il s’est tourné vers elle pour lui prêter main forte, il devait bien faire une tête de plus qu’elle. Les doigts de la jeune femme frôlèrent la paume de celle du jeune homme et c’est un réel électrochoc qui la parcourut. Un regard, un simple regard, tendre, posé, sombre mais à la fois si clair, transporté, accroché. C’est à ce moment-là qu’elle comprit que ce jeune homme serait sa lumière, sa légèreté, son havre de paix, son évasion. Il serait celui qui lui apporterait un point d’encrage tout en la faisant rêver d’autres horizons, il la porterait tout en gardant un œil sur elle, lui apprendrait les choses qu’elle ne sait pas encore, ouvrirait son regard sur le monde qui l’entoure et lui apporterait cette légèreté de l’être qui avance sans trop se soucier des embûches qui se jetteront sur son chemin.

Le même jour, en début de soirée, elle croisa la route de Achille, ce photographe qui avait capturé son visage depuis l’autre bout de la rue tout en pensant filer incognito. Intriguée et aussitôt curieuse de voir à quoi ressemblait le produit final de son travail, elle courut en sa direction, le rattrapant en manquant, avec sa maladresse, de faire tomber son appareil photo. Là encore, le contact avec l’avant bras de ce jeune-homme fut électrique et transportant. Le regard qu’il planta dans le sien était beaucoup plus vif, animé, presque même dérangeant, si bien qu’elle détourna le sien pour ne pas sombrer telle une fleur qui fane. Elle comprit là aussi que Achille allait bouleverser sa vie en la transcendant. Plus ténébreux qu’Ezequiel, il lui apporterait le feu de la passion, l’impulsivité et le lourd poids du monde sur ses épaules, il ne verrait qu’elle, vivrait à travers elle, elle serait sa muse et lui appartiendrait toute entière. Il était plus tourmenté, moins en paix avec lui-même et avait ce besoin constant de se dépenser pour aller mieux. Il serait l’impulsif, le sanguin, celui qui la pousserait à aller au bout des choses, à être ambitieuse et à la défendre coûte que coûte, porté par son tempérament de feu.

Deux jours plus tard, elle les convia tous les deux chez elle, le même jour, à la même heure. Elle joua franc jeu et mit les cartes sur table. Chacun d’eux lui plaisait, chacun à sa manière, chacun pour des raisons différentes, mais elle se sentait incapable de choisir avec lequel des deux elle voulait sortir, et elle ne voulait pas non-plus qu’ils décident pour elle. Il ne fut question d’une longue discussion à ce sujet car en réalité, il suffit d’un regard triangulaire entre ces trois personnes pour qu’elles comprennent dans quoi elles voulaient s’embarquer. Ils n’eurent pas besoin d’y mettre les mots, ni même de poser les règles. Cette soirée-là fut leur première à trois, et certainement pas la dernière. Olivia était un électron libre voguant entre ces deux âmes, une fois attiré vers l’un, une fois vers l’autre, parfois attirant les deux en même temps. Les jeunes hommes s’en accommodaient très bien et se la partageaient sans éprouver de jalousie. Elle était à eux, et rien qu’à eux deux, et ça leur suffisait. C’est une réelle passion qui les unissait. Petit à petit, ils apprirent à vivre ensemble, à cohabiter, à respecter les habitudes de l’un et de l’autre. Sa sortie de l’enfer, c’est réellement à ces deux hommes que Liv la doit. Ils lui ont apporté l’équilibre dont elle avait besoin et ils étaient toujours là pour la retenir et prendre soin d’elle si elle venait à flancher. Leur manière de vivre n’était pas des plus saines et pourtant, le tout s’organisait selon un respect et un amour incommensurable. Lequel aimait-elle le plus ? Elle ne saurait le dire. Elle les aimait tous les deux et le leur disait, en conflit constant avec ses sentiments. Chacun d’eux l’attirait pour une raison différente et dont elle ignorait l’origine. Si ces deux hommes n’en formaient qu’un, ce serait celui-là qu’elle choisirait.

Mais les choses ne pouvaient continuer à durer comme elles s’étaient installées. S’ils vivaient tous les trois en harmonie et en paix avec eux-mêmes, il n’empêche que leur mode de vie était malsain, et Olivia n’allait pas tarder à s’en rendre compte. Si bien qu’après des mois à se torturer l’esprit, elle les convia à un beau repas, profitant d’eux deux en même temps certainement pour la dernière fois, et venant donc finalement par leur dire « Je ne peux pas… Je ne peux plus. Je vous aime tellement que ça me déchire le cœur. ». Et elle ne mâchait pas ses mots. Son être tout entier se déchirait à l’idée de se séparer d’eux, mais ce serait encore pire si elle devait n’en choisir qu’un seul. Elle ne pouvait tout simplement en aimer un sans l’autre, ils formaient un tout qu’elle chérissait depuis deux ans maintenant. « Ça doit s’arrêter là, ou je finirai par en crever. » avait-elle poursuivi, les laissant la gueule ouverte, de marbre. Tout comme leur histoire avait commencée, elle se terminait sur une discussion qui n’avait pas besoin d’être longue. Les choses étaient tellement évidentes. Bien sûr qu’il leur était impossible de continuer à vivre comme ça, mais étaient-ils pour autant prêts à vivre séparés les uns des autres ? Ils sont sa faiblesse et elle est la leur.

Anteia Aggelos
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Re: perfect toy (olivia)
Mer 8 Juin - 22:13


La magnifique Blake. :62:
Bienvenue parmis nous ma jolie, bon courage pour ta fiche :coeur:
Jago Sorabella
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Re: perfect toy (olivia)
Jeu 9 Juin - 1:17


:muarf: :muarf: :muarf: :muarf:
bienvenue. :coeur:
Anonymous

Invité

Re: perfect toy (olivia)
Jeu 9 Juin - 10:29


j'aime beaucoup ton idée de personnage et blake est magnifique. :hanoui:
(par contre tu restes loin de jago, merci. :42: )
bienvenue. :37:
Anonymous

Invité

Re: perfect toy (olivia)
Jeu 9 Juin - 10:37


Merci beaucoup les amours :50: :54: j'espère ne pas vous décevoir !

Persé, ça risque d'être difficile de ne pas tourner autour d'un si bel homme :67: mais ne t'en fais pas, je ne fais que l'emprunter :60:
Anonymous

Invité

Re: perfect toy (olivia)
Jeu 9 Juin - 18:30


Bienvenue à Vérone

Un beau roman.
La fiche est extrêmement bien écrite, une écriture fluide et agréable. Puis, on bascule de l'autre-côté, on découvre un personnage ficelé à la perfection. J'ai vraiment hâte de découvrir l'évolution d'Olivia au court de ses rps, et puis, on en parle de cette histoire de trio ? :muarf: :hanoui: Bref, c'est parfait.
A présent que tu es validé(e), n'oublie pas d'aller réserver ton avatar et recenser ton métier (ou tes études). Tu peux également t'inscrire au flood d'intégration afin d'apprendre à connaître les autres joueurs. Enfin, pense à faire une demande de logement afin de ne pas te retrouver à la rue ! Nous restons à ta disposition en cas de besoin, n'hésite pas à nous contacter. Bon jeu sur /LOVE
Anonymous

Invité

Re: perfect toy (olivia)
Jeu 9 Juin - 18:40


:bril: :bril: :bril: merci pour ces compliments du tonnerre de Dieu !
En espérant répondre à vos attentes inrp :50: :55:

On peut en parler de ce trio, si tu veux :67: :siffle:

Merci pour tout ! :62: :72:
Anonymous

Invité

Re: perfect toy (olivia)
Mar 14 Juin - 8:24


blake, j'y résiste jamais tomate :37:

Re: perfect toy (olivia)



perfect toy (olivia)
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