marcio armani
i never hit so hard in love
Robbie Wadge ; hey, soul sister.nom complet ; armani, marcio antonio.
âge ; vingt-deux ans.
date & lieu de naissance ; treize octobre 1993, dans une clinique privée véronaise.
nationalité ; italien et fier de l'être.
activité professionnelle ; aucune, il est beaucoup trop riche pour travailler.
études ; il pose encore ses fesses sur les bancs de l'université. étudiant en droit et économie, se battant tous les jours de sa vie pour se montrer digne de reprendre l'affaire familiale.
situation financière ;
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état civil ; éternel célibataire, il ne croit pas en la passion des sentiments, car il ne l'a jamais ressenti pour quelqu'un. il n'a connu que des amours fraternels et fusionnels.
orientation sexuelle ; il se pense cent pour cent asexuel, même si certains trouveraient à y redire.
Marcio, c'est un agité. Il n'a jamais vraiment su s'intégrer à sa grande famille, de part son grand frère dans un premier temps (le petit génie), puis de part son frère adoptif, Ezio. Il n'y a que son frère jumeau qui lui est resté fidèle même s'ils ont eu des hauts et des bas. A son adolescence, Marcio commence à comprendre tout ce qu'il peut faire avec l'argent de papa et tout ce qu'il peut avoir, rien que pour lui. Il ne faut pas se mettre le doigt dans l'oeil : Marcio est et sera un enfant pourri-gâté avec une grande sensibilité par rapport aux réactions des personnes à son égard. Il veut également oublier qu'il ne sera jamais l'enfant prodige et en même temps il veut se faire entendre. Il plonge alors petit à petit dans l'alcool, les soirées huppées et la drogue. Il est assez auto-destructeur Marcio et s'y jeter à bras ouverts était tellement plus facile que faire face à la réalité des choses. Son frère jumeau, Marco, n'est pas aveugle et c'est lui qui le tire de tout cela. Marcio le détestera pour ce qu'il lui a enlevé, mais après sa désintoxication et ses visites chez le psychologues, Marcio comprendra que Marco est le seul sur qui il puisse compter. Leur lien fusionnel ressort encore plus fort de cette épreuve. Les années passent et Marcio, bien qu'il soit encore plus impulsif, commence ses études de droit et d'économie. Il y a trouvé une certaine fierté et espère d'ailleurs plus tard travailler avec son grand frère. Seulement, ce dernier meurt. Le fils prodigue laisse derrière lui l'héritage des Armani. Marcio pense qu'il est à même de reprendre les rennes, vu son parcours, etc. C'est cependant à Ezio, le frère adoptif, que le père Armani remet l'entreprise familiale. Marcio est plus haineux que jamais d'entendre qu'un étranger de la maison ait droit à son héritage. Après tous ses efforts, le patriarche n'a pas oublié ses antécédents et sa fragilité d'esprit. Il ne voit pas en lui un leader, mais un faible, et le lui a clairement fait comprendre. Marcio serait à deux doigts de retomber dans les méandres de l'oubli et la drogue si ce n'est pour Marco... ou bien d'aller rendre visite aux ennemis jurés de sa famille: les Sorabella. Traitre, il ne l'est point. Marcio est fidèle à sa famille et un tel acte dans une tentative désespérée l'accablerait de honte.
Love at first sight
La passion, le sexe, Marcio n'y croit pas. Et pourtant, il s'agit d'une composante de l'amour vrai entre deux personnes. Marcio, c'est un romantique, c'est un perfectionniste, c'est un asexuel. Enfin, il pense qu'il l'est, car il est toujours vierge après tant d'années ce qui est le résultat d'une peur insurmontable d'être si intime avec quelqu'un. Il a vécu des attirances, des illusions cassées, des simples crush et une aventure amoureuse de six mois avec sa meilleure amie, et pourtant il n'a jamais ressenti de besoin, ni de désir qui donne des papillons au creux du ventre. Au fil des années, il n'y a que des amours fraternels et amicaux, des amours purs, qui surplombent ses sentiments. Marcio partage entre autre un lien fusionnel avec son frère jumeau, Marco. Avant son retour à une vie plus raisonnable, Marcio et Marco étaient toujours fourrés ensemble. Des rumeurs circulaient même à leur sujet au lycée, mais n'étaient aucunement fondées. En réalité, leur relation était tâchée de hauts et de bas. De part leurs caractères opposés, ils étaient capable de s'engueuler violemment sur des choses complètement obsolètes pour ensuite les oublier. Leurs disputes ne duraient pas plus d'une journée, incapables de rester éloigner l'un de l'autre. Après avoir mis sous clés Marcio en maison de désintoxication, les choses n'allaient pas mieux entre les deux frères. Ce n'est qu'en sortant que leur lien se fit encore plus fort qu'avant. Marcio a maintenant une confiance aveugle pour son frère jumeau, son sauveur, mais également son bashert. Marcio y croit dur comme fer, surtout maintenant que ça le concerne, lui et Marco. Il a toujours senti que quelque chose d'autre les liait. Marco est sa perle rare, son frère de sang. Il ressent pour lui des sentiments inexplicables, qui pourraient en dégoûter plus d'un. Marcio et son impulsivité n'en ont guère cure, mais ce n'est pas le cas de Marco.
Nous marchions au même pas. Droite, gauche, droite, gauche. Nos pieds étaient parfaitement coordonnés. Bras dessous, bras dessus, collés l'un contre les autres, nous nous promenions dans la cour de récréation du lycée. On savait que certains regards se posaient sur nous, discrètement, et que des mots se chuchotaient dans des oreilles intriguées. Et lorsque nous prenions un étudiant sur le fait, un sourire mystérieux et pédant se dessinait sur nos lèvres. Cousins, mais rois et reine dans l'âme, nous n'avions peur de rien et nous nous croyions invincible, tant qu'on restait soudé. Les Armani représentaient dans ce lycée pour gosses de riche, le haut de gamme, la mode, le luxe et une richesse indéniable. Parfois, nous n'hésitions pas à nous mêlé aux Borgia, surtout
Sara que je connais depuis les bacs à sable. C'est ma meilleure amie, la meilleure des meilleures. Elle est parfaite et je me rappelle encore nos promesses de mariage lorsque nous étions petits. Ensuite, il y avait les Sorabella.
Lucia,
Marco et moi ne pouvions pas les sacquer et les sentiments étaient réciproques, ce qui ajoutait beaucoup plus de fun à nos engueulades. Une fois, j'en serais venu aux mains si mon frère jumeau et ma cousine ne m'avaient pas retenu. Mais pourquoi une telle haine envers la famille la plus débile mais certainement une des plus redoutables de Vérone? Au début, nous ne savions pas les détails qui menaient tous les Armani et les Sorabella à s'étriper. Il y avait eu juste vent d'une histoire d'amour entre les deux patriarches des familles et une femme à la beauté parfaite et sauvage. Il parait que c'était ma grand-mère et que depuis ce temps où elle a choisi mon grand-père, les Sorabella ont déclaré la guerre à notre clan. Tout ce dont je pensais, c'est que nous avions gagné la mise et je ne manquais pas de le leur faire rappeler - ce qui me valait pas mal d'insultes qui faisaient bouillonner mon sang froid.
Mais retournons à nos moutons, car Lucia venait tout juste de se détacher de mon bras. L'équilibre était rompu et je me sentais tout bizarre du côté droit, comme si un vide m'attirait. Je fronçais les sourcils et la regarde partir de l'autre côté de notre trio, vers Marco. Toujours aussi curieux, je suivais du regard chacun de leur mouvement. Je n'aimais pas quand ils faisaient ça et c'était quelque chose qui arrivait plus que souvent. Lucia et Marco étaient assez proches l'un de l'autre. Ils avaient le même tempérament alors je suppose qu'ils se supportent mieux. Seulement, parfois, même s'ils ne le voient pas, le fait qu'ils me laissent à l'écart me vexe beaucoup. Et là, par exemple, voir Lucia s'accrocher au bras de mon frère et lui chuchoter quelque chose dans l'oreille pour ensuite rigoler avec lui me faisait un peu mal au coeur. Qu'ont-ils à se dire que je ne puisse l'entendre? On formait les trois mousquetaires. A la vie, à la mort. Un pour tous, tous pour un. A cet instant, je remettais en cause tout ce qu'on s'était promis et dit les uns sur les autres. J'en oubliais la famille et ce lien inexplicable qui nous liait. Il y avait trois étapes dans ces cas-là. La première est que je détournais la tête avec une moue à la bouche, essayant de leur faire croire que rien de tout cela ne dérangeait. Seulement, ce sentiment d'indifférence n'était qu'illusion et la deuxième étape consistait à bouder. Oui, je leur faisais la gueule jusqu'à ce qu'il le remarque. Déjà, je fronçais les sourcils, puis je me détachais de mon frère en général. Et lorsqu'ils m'adressaient la parole, je ne répondais que par des mots évasifs dans un ton sec. Enfin, la troisième étape est alternative. Cela dépend à quel point je me sens exclue de leur conversation et à quel point je suis énervé. Mais cela peut donner un:
ça va, je vous dérange pas trop? Mais, en général, ça ne dure pas plus de quinze minutes.
(...)
Le coup était parti et les mains de mon agresseur entrèrent en collision avec le cartilage de mon nez. Je sentis ce dernier se déformer sous la pression emmagasiner pour finalement se casser dans un petit craquement que moi seul perçu. Je ne pus que fermer les yeux et pousser un un gémissement intérieur lorsque le coup arriva à toute vitesse. Je n'eus pas le temps de réfléchir à la connerie que j'avais faite. Tout alla si vite et je perdis l'équille et me rétama de tout le long sur la chaussée. Il faisait froid dehors, l'air se blanchissait devant les bouches des quelques spectateurs. Pourtant, je brûlais - mon nez encore plus que le reste de mon corps. La colère et l'ivresse était partie pendant une fraction de moment et tous mes sens et ma raison se réveillèrent alors que j'étais à terre. Je tournais la tête, essayant de me situer, d'arrêter les malaises sûrement dus à la poudre blanche que j'avais sniffer plus tôt dans les toilettes de luxe du club.
Olivia? Ce fut le seul nom qui ma passa par la tête. La seule personne qui pourrait être à mes côtés ce soir, dans mon état d'euphorie et d'oubli. Seulement, le peu que mes yeux puissent voir, la blonde n'était pas là. J'étais seul. J'étais venu seul, je m'étais explosé le cerveau seul et j'avais insulté ce mec seul. La douleur s'éleva encore plus alors que mes sens reprenaient de leur intensité. Elle devint presque insoutenable. Je touchais mon nez et un liquide rouge - presque noir - glissa sur le bout de mes doigts et coula en dessinant des veines inquiétantes. Je marmonnais des insultes contre moi-même et essayais tant bien de me relever. La rue était assez étroite mais la lumière de l'avenue au bout me donna un petit repère. Je traînais ma main au mur pour ne pas tomber et réfléchissais intensément où aller.
J'veux rentrer. J'dois rentrer. Ces quelques mots me donnaient la motivation pour marcher correctement et me réfugier là où je serais le plus en sécurité. Chez
Marco.
Il était là. Il était toujours là pour moi. Il me regardait, les yeux écarquillés, la bouche légèrement ouverte. La vue de mon visage ne lui plu guère.
Marcio? Qu'est-ce qu'il s'est passé? Ses bras se tendirent vers moi comme s'il craignait que je flanche. Il me porta jusqu'à son canapé et amena la boîte de premier secoure. J'avais l'impression que le temps s'échappait. Tout passait tellement vite. Ma tête tournait de plus en plus et mes iris étaient toujours dilatées, choses que mon jumeau ne tarda pas à découvrir.
Putain, t'es défoncé. Encore. Qu'est-ce que t'as pris cette fois hein? Je le regardais d'un oeil hagard et ne sachant quoi répondre, je lâchais un petit rire jaune. Tu verrais ta tête Marco. T'es trop fun. J'essayais de me relever pour lui montrer que tout allait bien, que j'étais responsable et capable de me débrouiller tout seul. Je ne voulais surtout pas qu'il m'engueule. Mais ma tentative s'avéra vaine et je ris de plus belle.
Je sais pas ce qui est passé par la tête de ce mec, vraiment Marco. J'avais arrêté tout sourire et plongeais mon regard dans le sien, comme si j'essayais de le convaincre.
Il m'a frappé sans aucune raison, je le jure. Qu'il me soigne et qu'en on finisse. Tout ceci sera oublier le lendemain matin. Seulement, Marco avait l'air vachement énervé contre moi et ne voulait pas en démordre.
C'est ça et moi, j'suis le fils caché de Francisco Borgia. Il leva les yeux au ciel et soupira, mais n'en voulut pas plus de moi. Ainsi, il n'allait pas en faire tout un plat. Demain est un autre jour.
FAUX. Demain ne fut pas un autre jour mais la continuité de la veille au matin. C'est ce jour-là que Marco m'a demandé d'aller en centre de désintoxication, qu'une engueulade s'en est ensuivi et que je me suis livré au centre, abattu.
JE LE DÉTESTE. Je pose mon poing sur la table. La colère est telle que je n'arrive pas à la virer de mon système. D'habitude, je n'ai qu'à aller courir pendant trente minutes ou bien asséner
Marco ou
Sara d'exclamations en tout genre. Impossible d'y remédier aujourd'hui. La nouvelle est trop tranchante, presque mortelle. J'ai l'impression que rien ne pourra réparer l'humiliation que j'ai vécu. A peine sorti du deuil, notre père nomme son successeur. Le pire étant qu'il choisisse cet Ezio, notre grand frère adoptif,pour le succéder.
Cet étranger. Ce mec n'avait rien, la famille lui a tout donné et il prend ma place de successeur? Je me pointe moi-même du doigt, n'ayant aucune conscience de ce je fais ou dit. C'est la colère et la haine qui parle. Je regarde et interroge Marco des yeux. Il ne sait pas quoi dire ou mâche ses mots avant de les sortir, contrairement à moi. La situation n'a pas l'air de l'inquiéter. Je ne comprends pas. Il est tout aussi victime que moi, à la différence que Marco n'a jamais voulu être à la tête de l'empire familial.
Toi, t'as l'air de t'en foutre complètement. Je dis ça sur un ton provocateur. Marco pourrait au moins me soutenir. C'est ce que font des âmes-sœur non?
Bien sûr que non, ne dis pas de bêtises, répondit-il sèchement, comme si je venais de l'insulter.
C'est juste que je ne vois pas à quoi ça sert de te mettre dans tous ces états. Ce qui est fait, est fait. Tu sais que tu ne pourras pas changer papa d'avis. Il a du voir du dégoût sur mon visage, car il enchaîne:
Mais ce n'est pas pour ça que tu ne pourras pas travailler dans l'entreprise. Tu pourrais même être le bras droit d'Ezio. Il ne faut pas que tu perdes ça de vue, et surtout promet-moi de ne pas faire de bêtises et d'aller jusqu'au bout de ton diplôme. Il se tourne vers ma meilleure amie, lui demandant de l'aide.
Tu n'es pas d'accord Sara? La brune fait la moue et acquiesce de la tête, ne sachant pas trop si elle avait le choix ou non. Elle se retrouvait une fois de plus en face d'un dilemme Armanien.
Ah tu vois, Sara est d'accord avec moi. Je lance un regard las à ma meilleure amie et soupire longuement.
Jamais. Au grand jamais, je ne travaillerai avec un débile comme Ezio. Tout ce qu'il peut faire, c'est suivre un ballon et tapé dedans. J'entrevois alors Marco nier avec la tête.
Oui, bon. Je lève les yeux au ciel et me gratte le bras. Ça me pique, de plus en plus. C'est alors que je sens une main m'attraper le bras. Marco s'est rapproché de moi dans un instant éclair et il est en train de me donner la chair de poule.
Me dis pas que tu en as repris Marcio. Je ne comprends plus rien.
Quoi? De quoi tu parles? J'ai peur là, car il me regarde d'un air grave, presque apeuré. Sara aussi est sur le qui-vive.
Marcio, tu te grattais de la même façon quand tu... hm, avais pris quelque chose. C'était donc ça. Encore. Je laisse mes bras retomber.
C'est fini tout ça, je vous l'ai dis. J'essaye de rassurer Marco qui n'a pas l'air dans son assiette. Quand je vois que mes paroles n'ont aucun effet, je n'hésite pas à lui caresser la joue de mon pouce. Il reprend soudainement des couleurs et je lui souris du coin des lèvres. Il aime quand je lui fais ça, je le sais, je le sens. Cependant, il se recule, laissant ma main flotter dans la vide. Je le vois ensuite jeter un coup d'oeil inquiet vers Sara, comme s'il avait peur de sa réaction.
Ok, je te crois. A tout à l'heure. Puis, il fait comme si rien n'était et s'en va.
who i am wasn't good enough
Pseudo ; spf, jbé
âge ; 22 ans.
pays ; france.
fréquence de connexion/RP ; quatre jours sur sept.
bref avis sur le forum ; l'est craaaazyyyy.
comment l'avez-vous découvert ? bazz'.
un dernier mot ; tu veux un lien avec marcio, mp-moi direct (et vice-versa)
Type de personnage : inventé/pré-lien (de Ezio Armani)