aloys delaunay
si vic pacem para bellum
adrien brody ; here without you
nom complet ; aloys delaunay. Typiquement français et fier de l'être, il affiche son patronyme comme un trophée et laisse échapper son prénom avec un regard méprisant de petit bourgeois qui a quitté sa cité à grand regret. Il n'a jamais fait l'effort se de fondre un minimum dans le décor, aloys on le voit arriver comme la tour eiffel, delaunay c'est comme une religion chez lui ça se porte comme un blason et il est fier d'afficher ses couleurs, un bleu blanc rouge d'égocentrisme.
âge ; il évite de penser à sa quarantaine qui vient juste d'arriver, un cap passé d'un grincement de dent qu'il a clairement senti passer comme la première gifle ou le premier baiser. Dans le siècle actuel on est déjà vieux à quarante-ans mais ça ne l'empêche pas d'être en forme et de donner encore quelques droites comme si il en avait tout juste la moitié, jeune et con dans sa tête mais définitivement usé et le visage marqué par des années qui n'ont pas eu la délicatesse de l'épargner, il a le regard mauvais placardé sur la face.
date & lieu de naissance ; il n'est pas de vérone mais un vrai parisien puisqu'il y est né, paris une ville lumière pour un gamin des ombres qui a vu le jour un premier novembre, jour des morts et des larmes, il y pleuvait comme souvent sur la capitale une bruine de pluie et de pollution et le curieux mélange a suffit à lui donner un coeur de pierre dans un corps d’athlète.
nationalité ; français, mais sans doute à l'origine d'un beau mélange culturel ce qui ne l'empêche pas de vanter les mérites de son sang, n'ayant que sa mère comme modèle il se contente simplement d'afficher le tatouage tricolore sur ses papiers et n'a d'yeux que pour son patrimoine, la france est sa sainte patrie, il donnerait cher pour y retourner mais les choses ne dépendent pas que de lui, il est coincé à vérone.
activité professionnelle ; policier, flic, bref, tous les termes sont bon et l'image du méchant garçon lui va plutôt bien, comme si le costume était fait pour lui et qu'il était né pour se promener en uniforme comme-ci c'était la chose la plus naturelle au monde. Ça l'amuse et fait passer le temps, s'il y a bien une chose dans laquelle il a su s'épanouir c'est son job, disponible à toute heure il prend le travail avec plaisir, utiliser la force et se servir de ses avantages il ne s'en gêne pas, il profite tant qu'il le peut encore parce qu'il sait qu'il joue avec le temps.
études ; le parcours banal d'un gamin qu'on a balancé vite fait bien fait dans les hautes sphères des grandes études jusqu'à ce qu'il décide de changer la donne, comprenne qu'il n'en avait rien à faire, il a empoché son bac avant de se carapater, il aurait pu faire commissaire s'il avait eu de l'ambition mais il s'est contenté d'être commandé parce que mine de rien, ça faisait déjà pas mal de responsabilité.
situation financière ; dans la moyenne, ni pauvre, ni riche, la balance penche vers la pauvreté en fin de mois quand il doit choisir entre sortir et manger mais la question est vite réglée puisqu'il profite de l'hospitalité des autres contre l'échange de diverses services, l'argent est le cadet de ses soucis et il n'apporte aucune importance à ce critère tant qu'il ne risque pas d'être expulsé de chez lui. Ce qui finira bien par arriver s'il continue de s'occuper de ses comptes une fois tous les six mois.
état civil ; éternel célibataire, parce que c'est un fonceur et un coureur de jupon sans doute et qu'il ne sait parler à personne. Et pourtant. Il a le chic d'être mignon les premiers jours avant que sa fierté ne vienne tout gâcher, il a juste tellement peur de se faire lâcher qu'il en devient insupportable et déclenche l'effet inverse, c'est dur à imaginer mais c'est un type aimant et aimant à problèmes. L'amour c'est pas son truc.
orientation sexuelle ; Pansexuel même s'il ne s'assume pas, plus mourir d'ailleurs que l'assumer il préfère son honneur au bonheur. Sa vision du couple date encore de l'âge de pierre et même s'il voit bien qu'il ne s'en sort pas avec les nanas au vu de ses nombreux échecs, il continue de draguer comme on va au supermarché faire ses courses et enchaîne des conquêtes sans arriver à se positionner, toujours maladroit et incapable d'être sincère, tout simplement incapable d'avouer qu'il est paumé et plus attiré par l'autre bord qu'il ne veut l'accepter.
Aloys est le genre de personne qui peut se poser devant un miroir et énumérer sans problème une liste de mot pour se définir, en positif comme en négatif, mécaniquement, parce qu'on lui a appris à faire, c'est face à une véritable personne que les choses se corsent, car il y a une grand différence entre un mur et un être vivant. Timide, sans doute, il préfère réservé, c'est par peur de décevoir qu'il se tait et qu'il ne préfère pas se prononcer. Ne pas en faire trop, ne pas en faire assez, deux concepts qui le hantent depuis sa tendre enfance où chacun de ses pas devait être réglé au millimètre près. Aloys est une personne qui ,même s'il n'a pas l'esprit le plus ouvert, peut faire preuve d'énormément de compassion, de part son caractère explosif mais paisible d'apparence. Faire un pas en arrière, attendre, comprendre les réactions en face, une gymnastique habituelle. De nature amicale, une fois toutes ses barrières retirées il est facile de se lier à cet ours au grand coeur et même si ses colères sont connues pour être de véritables fureurs, il sait contenir la rage qui coule dans ses veines et se soumet rarement à ses impulsions. Tout dans le crâne, comme on lui disait gamin. Même s'il a aujourd'hui autant de force dans les muscles. C'est un homme calme que peu de choses peuvent déstabiliser, il a gagné sa patience à forcer d'exercer son métier mais a toujours eu du recul sur les événements, il ne faut pas se fier à son visage qui peut paraître inexpressif, car derrière ce silence se cache une terrible tempête, bien qu'il préfère le dialogue à la bataille et la paix à la guerre même quand porter une arme reste un de ses rêves de gosses. Il est quelque part effrayé par une trop grande violence et par tout ce qui est grand, immense comme le ciel, indétrônable comme un empereur, c'est un pacifiste qui a cependant du mal à se proclamer comme tel. Pour les autres, c'est un homme banal, ronchon. Dans sa tête c'est un enfer, Aloys est tourmenté, loin d'être hypersensible il est très susceptible et se raccroche à ses seuls acquis pour se protéger du monde, d'où une fierté et un égocentrisme qui prennent une place considérable et masquent toute la beauté que peut avoir son âme, à qui a eu la chance de la connaître à travers ses crises et se burn-out. Aloys est insupportable, Aloys doute, le cache derrière des remarques acerbes, il est cynique et méprisant, se cache derrière de belles paroles et n'admet pas ses erreurs. Il suit le vent de ses pensées et n'écoute que sa conscience quand il n'a pas peur de faire confiance en son instinct. Instable, indécis surtout, incapable de choisir un oui ou un non. Aloys se pose énormément de questions, mais jamais ne va au bout des choses et fuit avant l'affrontement. Ce n'est qu'une fois le nez dans la merde qu'il peut agir. Et ce à la guerre comme à l'amour. Peut-être un peu lâche c'est quelqu'un qui se plaint de son quotidien mais qui est bien heureux de rentrer chez lui le soir et se foutre devant sa télé pour endormir ses trois neurones encore allumées. Quelqu'un qui pense bien mais qui ne pense pas assez fort et pourtant grande gueule, grossier, il ne se gêne pas, quitte à en faire trop. Il impose son autorité à travers le personnage d'un flic bourrin et casse-burne alors qu'il est persuasif et ce sans haussement de ton. Aloys manipule, mais pas pour son propre intérêt sauf cas de crise. Triste d'ailleurs, qu'il puisse convaincre les autres de choses qu'il n'arrive pas à accepter lui même. Mais c'est loin d'être hypocrite, Aloys est sincère et tant pis s'il est trop, Aloys est entier et terriblement amoureux de son existence, bien qu'il méprise Vérone de le fait de devoir quitter sa terre natale. En proie aux regrets, il pardonne, vite, la rancune ne l'habite jamais longtemps, comme l'amour qui va et vient, parce qu'il ne sait pas si prendre. Il a beau être curieux, il a beau être un véritable gosse une fois lâché dans la nature ou dans une galerie d'art, les relations humaines ne sont pas ses amies. On peut dire qu'il est coincé sans exagérer. Excessif, il peine à être naturel avec les autres, le seul endroit où il est bien lui même, c'est quand il est chez lui. Là où personne ne va.
Love at first sight
Si l'amour est une belle droite tracée avec l'encre des rêves, Aloys doit être sa parallèle, celle d'un gamin qui n'a pas encore su trouver l'utilité d'une règle, cabossée et incertaine, au bon feutre noir que la pluie fait baver mais que rien ne peut effacer. Car personne n'enlèvera l'amour du coeur d'Aloys quand bien même c'est un sentiment qui se fait rare comme du diamant. Aloys aime avec un grand A, avec tout ce que cela implique et met un point d'honneur sur la fidélité qui est sacro-sainte dans son univers monochrome. Parfois il croise ces personnes avec qui il pourrait faire sa vie mais ça ne reste que des visages aperçus à travers les barreaux d'une prison qu'il s'est lui même construit sur les bases d'échecs de gamin, des erreurs il en a admise mais celles de jeunesses collent comme des tatouages et sont devenues trop compliquée à effacer, trop douloureuse à retirer. L'amour il le croise mais jamais il n'a su l'accrocher, comme une étoile filante, un vœu comme un autre qui n'est qu'un bout de cailloux qui tombe dans l'infini. Et à force de tomber il s'est contenté d'avancer à terre, quitte à ramper, mais jamais il n'avouera devant personne qu'il a simplement abandonné, ou plutôt mis en pause ses songes. Il a toujours cru en l'amour, de manière plus au moins assidue, grand romantique dans sa jeunesse, c'est sans doute à cause de ça qu'il a fini par devenir aussi venimeux qu'un serpent, il voulait être aimé, il voulait plus que tout au monde trouver un reflet dans le miroir mais son idéal était de ceux qui n'arrivent que quand on arrête de les attendre et l'impatient qu'il était avait autre chose à faire que de laisser le temps filer, sûr qu'il n'avait que quelques années à profiter. Il est encore persuadé qu'une âme soeur existe, mais si elle est quelque part il est en revanche certain qu'il ne risque pas de la croiser ou alors il pourrait très bien l'envoyer chier comme tout le monde, il s'est conformé à l'idée de rester naturel, un naturel qu'il n'affiche pas forcément tous les jours, un naturel devenu faux à force de vouloir masquer ses faiblesses et à vouloir être parfait et droit il est devenu sa propre caricature. Un étranger. Il a beau entendre, se convaincre des choses, se répéter un milliard de fois qu'il peu changer, qu'il a le droit de respirer, il est incapable d'apprendre de ses erreurs et même avec toutes les cartes en main il continue de jouer le même jeu. Et il perd toujours à la fin. Toutes les bonnes résolutions sont aussi vaines qu'un grain de sable sur une plage. Si l'amour existe il se contente du charnel et attend quelque part qu'une princesse ou un prince veuille bien supporter sa personne, se fiant seulement à son esprit contradictoire qui est simplement à une période charnière de sa vie.
C'est ici que vous pourrez rédiger l'histoire de votre personnage ou nous la présenter sous la forme d'anecdotes. C'est vous qui choisissez ! Sachez toutefois que nous attendons un minimum de 20 anecdotes rédigées un minimum si vous optez pour cette voie. Quant à l'histoire, un minimum de 15 lignes est attendu. Si votre personnage n'est pas italien, pensez aussi à nous dire pourquoi il est à Vérone !
who i am wasn't good enough
Pseudo ; moonstruck.
âge ; trop jeune.
pays ; france.
fréquence de connexion/RP ; 5/7.
bref avis sur le forum ; c'est beau, c'est frais et vous êtes un peu fous, c'est bien.
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comment l'avez-vous découvert ? matteo m'en a parlé. Et le mal était fait.
un dernier mot ; saucisse.
Type de personnage : inventé
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bienvenuuuue.