Anonymous

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Pointing nasty fingers and making fun | Boo & Andrea
Dim 19 Juin - 19:53


'Cause we were good kids
Boo & Andrea
18h30 un samedi après-midi, que peut bien faire un Sorabella ? Flâner en terrasse avec ses lunettes de soleil sur le nez, devant un  café à six euros ? Travailler la comptabilité et le marketing de la boite familiale ? Boire un thé en réunion de famille ? Se documenter sur la généalogie de sa famille si prestigieuse ? Quel ramassis de conneries ! J'aurais peut-être du vous préciser avant toute chose que je ne parle pas de n'importe quel Sorabella mais bel et bien de moi, Andrea. Le plus jeune. Le dernier de la génération. Le rebelle, le têtu, le tatoué, le beau gosse qui n'en fait qu'à sa tête et qui préfère boire, fumer et coucher plutôt qu'étudier et rendre fier son padre. Et du coup, en se plaçant dans un contexte plus correct, la réponse à ma petite question devient tout autre... En effet, le Sorabella que je suis traine dans un sexshop à 18h30 un samedi. Pour regarder, pour admirer, pour chercher un divertissement pour cette soirée, un peu de piment pour les prochaines, ou une belle rencontre pour la nuit suivante. Bref, rien qui rendrait bien heureux Papa Sorabella. Après tout, ça ne serait pas la première fois que je le déçois celui-là. Pauvre M'sieur. Mais rassurez-vous, contrairement à lui, je ne suis pas du tout à plaindre ! Cela fait peut-être dix petites minutes que je tourne dans la boutique, après avoir échanger quelques mots amicaux avec le patron et la vendeuse que je commence à bien connaître. Et oui, je ne sais pas si je peux m'en vanter mais je connais plutôt bien cet endroit.

Sauf qu'au bout de ces fameuses dix petites minutes, c'est un tout autre divertissement qui attire mon attention. Un divertissement avec des courbes attractives, avec un charisme indéniable, des tatouages à faire fantasmer un eunuque et une passion apparente pour les soirées mouvementées. Je l'observe quelques instants, faisant mine de rechercher mon bonheur entre les menottes à fourrures, déguisements d'infirmière et autres accessoires. Elle ne semble pas m'avoir remarquer, je ne semble pas avoir attirer mon regard, pourtant Dieu sait qu'elle a captivé le mien. Elle et ses cheveux courts, elle et son look différent, elle et tout ce qu'elle représente dans mon petit esprit rêveur de garçon à la recherche de sensation. Elle plairait pas à mes parents celle-là. Comme d'hab. N'allez surtout pas croire que je prévois déjà de la présenter à qui que ce soit, loin de là, mais je dois bien avouer que la simple idée qu'une fille ne convienne pas à mes parents la rend encore plus attirante. Bel esprit de contradiction Andy, bravo !

Et c'est donc après quelques instants d'observation active que je m'approche d'elle et viens à sa rencontre avec une technique d'approche dont j'ai le secret : " Dis donc, t'as un décolleté vachement sexy pour un mec... T'as d'autres atouts cachés ? " Un mec, réflexion conne qu'elle a du entendre des millions de fois en référence à ses cheveux courts et ses tatouages de bonhommes. Sauf que ma réflexion sonne différemment. Elle doit sonner différemment. Je veux qu'elle sonne différemment, avec humour, avec ironie, avec taquinerie. Je ne suis pas un idiot qui la catégorise et la fout dans une case. J'suis juste un mec qui tente de l'aborder à ma façon. Soit elle me comprend et les prochaines minutes promettent d'être intéressantes, soit une claque me revient dans la gueule dans les prochaine secondes et je n'aurais perdu qu'une soirée avec une rebelle en manque d'humour. T'as les cartes entre les mains ma jolie, à toi de jouer. Mais en attendant que tu étales ton jeu, je plonge mes yeux dans les tiens - que je n'imaginais d'ailleurs pas si clairs et si perçants -, à la quête ultime de ta personnalité, de tes envies, de tes attentes, espérant au plus haut point ne pas m'être trompé sur la première impression que j'ai eu en laissant mon imagination se perdre sur tes courbes ...
electric bird.

Anonymous

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Re: Pointing nasty fingers and making fun | Boo & Andrea
Dim 19 Juin - 22:50



nasty fingers, making fun

Comment elle a atterri là, c'est une histoire qu'il ne vaut probablement mieux pas rigoler. Ou si ? Elle sourit en poussant la porte de la boutique, pas choquée une seconde de la marchandise. Il n'y a rien de honteux là-dedans. Un commerce comme un autre, qui marche probablement mieux que toutes les boutiques bien comme il faut qui satisfont les vieilles mamies prudes et coincées. Le sexe, ça fait vendre. C'est universel, normal, habituel. Ceux qui disent le contraire mentent. Ceux qui disent que se branler ou regarder du porno, c'est mal, sont des menteurs encore plus gros. Un bonjour de la main droite fait toujours du bien, tout le monde sait ça. Elle sourit en coin, se plongeant dans les rayons avec un signe de le main à la vendeuse. C'est celle qui essaie toujours de tout lui vendre le monde entier, avec des yeux de biche et un cul de Miss Monde. Boo sourit, pour elle, pour sa bonne humeur, mais ne s'arrête pas pour faire la conversation. Elle sait où ça va les mener, et même si son compte en banque se porte à merveille, elle n'a pas besoin d'une collection complète de dildo dinosaures dans toutes les teintes, de violet à émeraude. Elle continue son chemin, traîne près des costumes, sans même savoir ce qu'elle cherche vraiment. C'est plus pour passer le temps. Pour faire une blague à la voisine. Ce serait drôle d'offrir un gode à son chien et de le laisser rentrer à la maison, peut-être le déposer dans le lit de ses maîtres. Les disputes qui filtreraient à travers les murs seraient passionnantes à écouter.

Elle se retient de rire en l'imaginant et se passe la main dans les cheveux, s'accroupissant pour regarder les articles en bas, très sérieuse dans sa recherche. Alors que, dans le fond, elle n'a besoin de rien. Et hors de question d'en acheter pour Emma. Savoir qu'elle l'utiliserait avec son propre frère la rendrait malade. Elle secoue la tête pour chasser les images et se relève. Elle avance un peu, s'arrête et prend une boîte, intriguée, lisant l'arrière avec un sourire vaguement amusé devant la forme plus qu'insolite de l'objet. C'est sensé passer par où ça ? Une voix la libère de son imagination débordante. Une voix rauque, chaude. Une voix de l'Italie, comme elle les aime. Le commentaire la fait sourire, malgré elle. Elle tourne le regard vers le propriétaire de la voix, les yeux taquins, le sourire malicieux. « Je te parlerais bien des vingt cinq centimètres dans mon pantalon, malheureusement, je dois encore passer en caisse. » Elle fait une petite danse des sourcils, digne d'un pervers de renom, avant de rigoler, reposant la boîte à sa place, entre deux de ses cousines éloignées. Elle se tourne vers le brun, amusée, s'approchant et se penche vers lui, chuchotant. « A moins que tu me prêtes le tien ? » Elle rit encore et s'éloigne, marchant à reculons dans le rayon, joueuse. Et plus amusée qu'autre chose. Appréciant son entrée en matière. Prendre son androgynie, beaucoup d'hommes l'avaient fait. Mais jamais de la bonne façon, sur le bon ton, au bon moment. Mais il l'avait fait rire, c'était déjà ça.

Elle hausse les épaules et se tourne vers le rayon. Un peu plus amusant, beaucoup plus fantaisistes, les thèmes s'enchaînent et elle sourit, gardant le coin de l'oeil sur le tatoué qui erre pas loin, intrigué. Attiré, un peu. Il a l'air bien plus intéressant que les jouets qui s'alignent sur les étagères et c'est tout à son honneur. Reste à voir si il veut juste jouer où si il veut se brûler un petit peu. Non pas qu'elle aie pour plan de jouer à Icare se cramera-t-il la mèche aujourd'hui, mais elle sait que des mots servent parfois à planter un drapeau sur une terre qui ne sera au final jamais conquise et qui finira frustrée et en colère. Et elle déteste jouer le rôle de la planète abandonnée dans ce genre de situation. Alors, autant s'éloigner tout de suite. Ou se coller d'autant plus, si la danse à l'horizontal est au programme pour le jeune homme aux yeux de feu. Elle, elle sait qu'elle attend la bonne musique.
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Re: Pointing nasty fingers and making fun | Boo & Andrea
Lun 20 Juin - 9:03


'Cause we were good kids
Boo & Andrea
Bingo, en plein dans l'mil Sorabella. T'as bien cernée ta proie, t'as bien senti ce petit bout de femme au charisme digne des plus grandes. Elle me regarde, de haut en bas, avec une malice apparente sur son visage faussement angélique. Elle sourit également, un sourire qui semble en dire long sur ses intentions, sur ses envies. Quelles envies ? Celles de jouer, de profiter, de découvrir, évidemment. L'envie de s'approcher du feu jusqu'à s'en brûler mais en être ravie. Ravie parce qu'elle se sera sentie vivante, tout simplement. Comment et pourquoi est-ce que j'interprète tout ça de cette façon ? Parce que c'est exactement ce qui me traverse l'esprit quand je la vois. J'ai cette fameuse envie. Cette fameuse curiosité. Elle m'intrigue au moins autant qu'elle m'attire. Peut-être même plus. Elle n'est ni une jolie rousse aux courbes fines, ni une latine au déhanché de feu, et encore moins une blonde aux allures de princesse et pourtant, elle m'attire. Elle sort de mes clichés, de mes proies, de mes conquêtes. Elle sort de tout ce qui me plait généralement et c'est justement pour ça qu'elle en devient intéressante. Elle est différente.

Et je découvre donc à l'instant même qu'elle a aussi de l'humour. Les vingt cinq centimètres dans son pantalon ? Les miens ? Elle n'a pas froid aux yeux visiblement et je dois bien avouer que ça n'est pas pour me déplaire. La malice apparaît alors dans mes yeux, yeux qui ne décrochent pas un seul instant de son regard. Et puis elle s'éloigne, emportant avec elle son rire aussi féminin que ce que son look est androgyne. Le paradoxe, l'intrigue, le mystère. Si elle croit que je vais la laisser s'enfuir entre deux rayons de jeux pour adulte, elle se plante largement. Après tout, avec une telle réponse de sa part, a-t-elle vraiment envie que je m'en aille ou espère-t-elle mon retour ? Je n'ai aucune certitude mais je prévois fortement la seconde possibilité. Je ne tarde donc pas à suivre ses traces, doucement, sans hâte, sans précipitation, me baladant également dans les rayons, perdant mes yeux à droite à gauche, attendant de trouver la perle rare qui saura attirer mon attention. Et encore une fois, cette attention est retenue par un phénomène d'un bon mètre soixante-dix. Non, je vous rassure, je ne parle pas d'un de nos amis les sextoy... Heureusement pour moi. Je m'approche d'elle à nouveau en arrivant par l'arrière et viens lui glisser à l'oreille : " Avec ce qui se trouve dans le mien, je pense qu'il serait dommage de dépenser un centime pour un de ces jouets. " Provocation, audace, culot. Parce que je ne recule devant rien. Parce qu'elle semble avoir envie de jouer. Parce que si elle ne rentre pas dans le jeu, je saurais que je n'ai rien perdu de ma soirée. " A moins bien sur que la... " Quelques secondes d'hésitation, de silence, le temps pour moi de lire l'intitulé du spécimen plastique devant elle. " Girafe enchantée te fasse plus rêver que le corps d'un homme. " Girafe enchantée... Sérieusement ? Mais comment arrivent-ils à des idées de ce genre les braves inventeurs de jouets ? Soit ils s'ennuyaient vraiment les samedis soirs, soit il faut être particulièrement tordu pour avoir l'envie de sentir gigoter une tête de girafe dans son puit d'amour. Enfin bon... Espérons juste qu'elle ne soit pas une de celles qui préfèrent les petites bêtes. Je reste proche d'elle, dans son dos, n'essayant pas cette fois de capter son regard mais plutôt de capter son attention, ses sensations, de faire ressortir des frissons de je ne sais où avec ma présence au plus près d'elle. Alors, la tatouée, qu'est-ce qu'on en dit ?
electric bird.

Anonymous

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Re: Pointing nasty fingers and making fun | Boo & Andrea
Mer 22 Juin - 11:52



nasty fingers, making fun

Elle s'enfuit, sur un sourire, sur ses baskets blanches, sur ce genre de phrases qui sert à attirer plus qu'à repousser. Elle joue, parce que le jeu est la partie la plus amusante. Quand ils s'évaluent, quand ils se testent, quand ils cherchent à savoir si il y a de l'espoir, si ils sont compatibles, si ils vont se tourner autour, si ils vont le faire subtilement ou s'arracher leurs vêtements dans l'arrière-boutique. Quelque part, c'est le bon magasin pour ça. Le seul où personne ne les arrêterait, probablement. Elle sourit en regardant les jouets, lisant vaguement les noms plus farfelus les uns que les autres, attendant. Elle compte dans sa tête. Un, deux, trois, quatre. Elle attend. Pas longtemps. La voix, à nouveau, plus proche, un peu plus basse, encore plus sensuel. Elle sourit du bout des lèvres, le laissant s'approcher sans se sentir gênée, sans avoir l'impression que son espace vital est envahi. Sans se sentir mal. C'est pas désagréable, ça arrive pas si souvent. C'est quelqu'un de tactile, Boo, mais avec toute l'histoire d'Emma, c'est plus compliqué d'accepter les gens dans sa zone de confort. Et rarement sans un verre ou deux pour atteindre cet état d'euphorie où tout va toujours bien.

Il se vante du contenu de son pantalon et ça la fait sourire d'autant plus. Il n'est pas arrogant, plutôt sûr de lui, ce qui lui plait un peu trop. Il ne cherche pas à l'impressionner, il la drague avec des arguments convaincants. Elle ne va pas se plaindre d'une attention pareille. Il fait un commentaire sur le jouet devant eux et elle rigole franchement cette fois. Girafe enchantée, pitié. Quelle fille normalement constituée pourrait vouloir de ça ? « C'est pas bien de se moquer. Je suis sûre que ça a du demander de longues heures de travail pour arriver à un résultat pareil. » Elle tourne légèrement la tête, le regardant du coin de l’œil avec un sourire taquin. Ce genre de choses insensées dans la vie. Elle ne comprendra définitivement jamais le genre humain - trop de mystères. « Mais pour répondre à ta question silencieuse ... » Elle recule un peu, jusqu'à sentir sa chaleur contre son dos, son torse contre elle, si proche qu'elle sent son souffle contre sa joue, sa nuque. Elle frissonne avant de comprendre et sourit encore, parce que c'est agréable. Ça fait du bien. C'est simple, animal, instinctif. Pas besoin de se poser des questions dans ce genre de moments. « Je préfère l'homme à la girafe. » Sa main passe dans son dos, accroche la ceinture et l'attire plus proche dans son dos, appréciant le contact autant que la bosse contre ses fesses. Elle tourne de nouveau la tête vers lui, par dessus son épaule, devant lever un peu les yeux pour croiser son regard. Ne le regrettant pas une fois plongée dans les promesses, la luxure, la chaleur pure qui irradie quand ils se croisent, se jaugent, s'évaluent. Quand ils dansent déjà au travers d'un jeu facile, un jeu qu'ils connaissent tout les deux. Ils sortent leurs cartes et savent déjà comment tout ça va se terminer. Ils savent quoi faire pour finir l'un contre l'autre, noués l'un autour de l'autre. Deux inconnus, l'attraction. Une histoire jouée depuis la nuit des temps, renouvelée un peu plus chaque jour à travers le monde. A Vérone aujourd'hui, dans la chaleur d'un magasin atypique, l'atmosphère étouffante et le décor digne d'un film porno. Pourtant. Elle le défie du regard, le tient contre elle et attend de voir si il va vouloir relancer la partie ou prendre 200 dollars en passant par la case départ. Il n'a pas l'air d'avoir froid aux yeux, au moins autant qu'elle. Adversaire à sa taille, petit brun qui la dépasse d'une tête et sourit comme un ange déchu. Être de promesses inavouées. Un peu un appel au viol, ce gamin.
Anonymous

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Re: Pointing nasty fingers and making fun | Boo & Andrea
Sam 25 Juin - 23:03


'Cause we were good kids
Boo & Andrea
Elle cherche. Clairement. Elle me cherche. Et j’adore ça. J’adore tellement ça qu’elle risque fortement de me trouver plus tôt que prévu. En même temps, à quoi cela peut bien servir de prévoir ? Définitivement pas à grand-chose dans ce genre de situation. Comment prévoir que j’allais tomber sur un spécimen comme elle dans ce sex shop ? Comment prévoir qu’une créature pareille allait éveiller mes sens à ce point là ? Elle n’est pas comme tout le monde, la tatouée. Je ne pourrais pas dire si c’est mieux ou moins bien, c’est juste différent. Elle a ce charisme qui fait chavirer, cette confiance en elle, cette prestance qui force l’attirance, l’attraction. La latine qui se trémousse contre nous en boite de nuit avec son tee shirt trois fois trop court et ses talons trois fois trop haut, on n’a aucun scrupule à l’envoyer voir ailleurs. On en trouve une à chaque coin de rue de ces filles là, pas vrai ? Mais une fille comme la tatouée… Je ne pense pas en recroiser un d’aussitôt. Donc si vous avez bien suivi mon résonnement, je ne compte pas la laisser  filer. D’autant plus que c’est à ce moment là qu’elle prend l’initiative de passer la vitesse supérieure. Après mon petit rapprochement avec mon allusion à la girafe soit disant magique, elle vient coller son corps frêle à moi, m’agrippant par la ceinture, réduisant à néant la distance qui nous séparait. Et elle murmure. Et elle me regarde. Et elle plonge entièrement avec moi dans cette petite bulle que l’on s’est créé dans l’endroit le moins romantique du monde. Le moins romantique et pourtant, il semble nous convenir à la perfection, cet endroit. Mon corps entre en éveil au contact du sien, guidé par mon imagination débordante. Mes envies, mes pulsions… Je ne vais pas la laisser repartir d’ici cette brune. Pas sans savoir si nous sommes compatibles, s’il y a quelque chose à faire. Pas sans avoir pu creuser  plus loin, pas sans avoir pu la découvrir. Je n’ai ni son prénom, ni son âge, ni ce qu’elle fait dans la vie ou même ce qu’elle fait ici mais en y réfléchissant bien, je m’en contrefous. Clairement et simplement. C’est bien le dernier de mes soucis.
Je laisse alors glisser mon bras sur sa taille, ma main sur sa taille, sous ce maigre tissu qui sert à couvrir ce corps que j’ai de plus en plus envie de découvrir sous ses moindres détails. Ses moindres courbes, ses moindres imperfections. Tracer de mes doigts les reliefs de sa petite personne. « Alors je pense bien pouvoir faire quelque chose pour toi… » Murmurais-je à son oreille en gardant son corps tout contre moi, son corps qui doit sentir le mien entrer en éveil. Curieux va. C’est à ce moment là que je décide de poser mes lèvres dans son cou, de l’effleurer, d’y faire parcourir mon souffle chaud. Enfin… Ce sont mes lèvres qui commencent leur petite danse mais très vite, mes dents viennent prendre le relais sur ce terrain de jeu d’adultes. Mais ce petit jeu qui avait clairement pour but de la faire sortir des rangs a l’effet inverse et c’est moi qui ne maitrise plus convenablement mes envies… Sa peau, sa douceur, ses frissons, cela me rend fou. La petite danse sensuelle dans le creux de son cou se prolonge, fait durer le plaisir. Fait durer le désir et l’envie surtout… Dans un élan d’impulsivité, je la retourne, de manière à me retrouver de nouveau face à elle, mon regard dans le sien, son corps face au mien, mes mains toujours sur elle. Mon regard prédateur, mon souffle présent, je rajoute quelques mots : «  Tu penses pas qu’il y a encore plein de détails à découvrir dans l’arrière boutique ? »  Quelques mots, une question, une simple question qui n’attend pas de réponse. J’attends seulement qu’elle me suive. Ou qu’elle me saute dessus. Qu’elle réagisse. Je ne veux pas m’arrêter là, je ne vais pas m’arrêter là.
 
electric bird.


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