Gretta Casabelle
i've got thin skin and a elastic heart
bridget satterlee ; hey soul sisternom complet ;
Greta. Le prénom doux entre les lèvres. La parfaite qui crèvent doucement les écrans. La famille pauvre, la famille dont elle tente de se défaire, mais qu'elle aide en secret.
Casabelle. Famille modeste, famille commune, famille qui ne se défait pas des autres, rien de plus que la normalité, tout de moins, mais l'amour qu'elle leur porte. Elle les aide en silence pour ne pas nuire à la réputation, à l'avenir qu'elle tente de se forger.
âge ;
Vingt-quatre battements de coeur fragile, vingt-quatre sourires forcés pour cacher la vérité, vingt-quatre masques posés sur le visage et les rôles encaissés. Vingt-quatre battements de palpitants déviant, de coeur fragile pour
lui.
date & lieu de naissance ;
Cagliari un trois mars. La ville derrière, la ville qu'elle laisse en plan pour la carrière. La nouvelle ville pour la nouvelle vie. Perle fragile dans ce monde amer, dans cette famille fragile, dans ce monde qui n'est pas sien.
nationalité ;
italienne de ce qu'elle sache, elle ne sait pas ce qui peut se cacher d'autres derrière la génétique.
activité professionnelle ; Le visage qui passe aux écrans, les films amateurs dans lesquels elle joue pour le moment, mais la ambitions qu'elle ne lâche pas, son talent qui comment à se faire connaître.
actrice. Les rôles, les semblants pour s'imprimer au faciès, les sentiments dont elle sait jouer, qu'elle sait déjouer.
études ;
des études en art dramatique, le temps passé pour la passion dont elle ne sait se détacher, les talents accumulés. elle a terminé il y a peut ses études et un nom qu'elle tente de se forger.
situation financière ; Les billets dont elle manque, l'appartement miteux qui ne convient pas et les talents dévoiler pour tenter de se sortir du monde duquel elle veut se détacher. du mon de son passé.
état civil ;
célibataire, mais le coeur épris d'un qui la rejette, d'un qui la change doucement. Celui qu'elle ne sait défaire de ses pensées et elle se refuse à croire qu'elle n'est rien à ses yeux. Le petit coeur fragile pour l'homme à aimer.
orientation sexuelle ; les hommes qu'elle aime. les homme qui lui plaise, mais surtout un en particulier. Lui. Solal.
douce la douceur pour primer dans le corps fragile, les rôles qu'elle sait jouer, les masques qu'elle sait poser au visage pour les films, mais la femme fatale qu'elle n'est pas. Le sourire sur les jumelles, le regard trop tendre, peut-être un peu trop naïve par moment, elle risque de se heurter à la cruauté de ce monde, à la crasse qui se cache derrière les visages, les âmes immondes. elle se complaît dans la douceur, pas comme les autres. le bien qu'elle aime donner. le baume sur les coeurs qu'elle aime poser.
têtue elle ne lâche pas le morceau, l'âme d'une guerrière derrière les traits trop parfaits, le corps trop gracile. elle ne lâche pas le morceau quand une idée lui germe au fond du crâne, quand quelque chose lui tient à coeur,
quand quelqu'un lui tient à coeur.
fragile la douceur qui le rend facile à atteindre, les émotions qui montent rapidement au bord des lèvres mais qu'elle tente de refouler, de ne pas assumer. ce côté d'elle qu'elle tente d'effacer, parce qu'elle n'aime pas être fragile, facile a faire pleurer, mais empathique pour les autres.
secrète la vie d'avant dont elle ne parle pas réellement, le patronyme dont elle a eu du mal à se défaire par le passé, mais qu'elle ne laisse pas en plan. les billets verts qu'elle envoie de temps en temps, parce qu'elle sait que la famille ne survie pas. elle. elle qui s'enfonce pour les aider. elle qui se donne pour les sauver.
naive encore, parce qu'elle croit a des choses qui devrait la briser, parce qu'elle veut croire qu'il y a du bien en chaque personne. ce n'est pas le cas, ce n'est pas toujours la réalité et elle finira surement par s'y confronter, par se faire crever le coeur qui est déjà trop fragile, déviant de la norme. naïve parce qu'elle le veut, parce qu'elle sait la misère, mais le positif pour l'emporter, le sourire qu'elle sait garder.
rêveuse de grandeur qu'elle rêve, d'une vie de famille qu'elle espère avoir. les rêves qu'elle tente de rendre réalité, les envies dont elle ne peut se détacher.
001 la musique qu'elle sait manier, les cordes de la contre-basse qu'elle sait faire vibrer entre les phalanges. les talents multiples qu'elle possède et dans des cafés qu'elle joue parfois pour gagner un peu plus d'argent, pour se sortir de la misère, de cet appartement miteux qui ne lui convient pas, mais les sourires qu'elle sait encore accrocher au visage. parce que c'est elle. douceur incarnée.
002 la poupée parfaite qui sait jouer, qui sait manier les émotions, elle pourrait se jouer des autres, les berner de mensonge, mais ce n'est pas ce qu'elle est. elle supporte mal les mots infondés, impensés. elle supporte mal les mensonges et le tromperies, trop de crasse qu'elle a vu dans la famille, l'enfance loin d'être parfaite. elle s'en défait. s'en éloigne.
003 cinéphile, elle aime trop le cinéma et crève de sortir des petits films qu'elle fait pour percer le grand écran, pour se faire reconnaître. elle sait que ça viendra doucement.
004 hypertrophie du cœur. elle n'en parle pas. c'est un poids qu'elle traîne et cette maladie vient du paternel. la haine qu'elle garde pour lui, de lui donner ce maux qui la ronge depuis toujours. un médecin pour la suivre, mais les symptômes qui se font sentir parfois. étourdissement, douleur à la poitrine, palpitation du coeur, étourdissement et perte de connaissance. elle ne risque rien, pour le moment. pas de complication qui se font sentir.
005 le coeur déviant qui n'a jamais réellement connu l'amour, la moitié jamais rencontré. le coeur qui n'a jamais pu battre complètement, le coeur fragile de toute façon.
Solal. Solal qui hante les parcelles du crâne. Lui dont elle ne sait rien et tout en même temps. Elle s'accroche. Son coeur fragile qui aime trop, qui risque de se faire malmener un peu plus.
006 ce rôle de gentille qui lui convient, celle qui veut voir le meilleur des autres, le meilleur des choses. la douceur. la tendresse. les caresses. les souffles, mais des parties d'elle écorchées, des parties d'elle qu'elle ne partage pas. elle aime ce qu'elle est. elle n'a pas envie d'être celle pour pleurer, pour se laisser happer par le mauvais de la vie. ce n'est pas elle.
007 les causes bénévoles dans lesquelles elle traîne, pour les enfants, pour aider les âmes en peine, pour aider eux qui ont besoin plus qu'elle. c'est plus fort qu'elle. les causes humanitaires qui tiennent à coeur.
008 la famille disloquée. la famille brisée par la pauvreté. la peine qu'elle connait bien. la souffrance qu'elle connait un peu trop. le manque et les derniers recours pour survivre. elle les aime. elle les déteste. elle ne sait pas. elle ne peut pas les abandonner comme ça.
009 le temps qu'elle aime perdre à contempler l'art. c'est passionnant. ca fait vibrer son corps en entier. les galeries d'art. les films. les oeuvres qu'elle aime admirer.
010 un chat en guise de compagnon. un qu'elle aime trop. un fidèle. simba. comme le roi lion. oui.
Love at first sight
Elle y croit. Elle a envie d’y croire. Cette personne pour compléter l’âme, pour faire vibrer son cœur à outrance et se laisser happer par les sentiments dévastateurs. Cette lame à double tranchant qui peut briser en quelques secondes, parce que les sensations sont trop fortes, trop prenantes. Elle sait le jouer, elle sait faire semblant d’être cette femme amoureuse pour l’écran, mais son cœur qui n’a jamais aimé réellement, pas de cette façon. Il bat un peu trop pour un. Pour lui. Il s’emporte un peu trop quand elle se retrouve près de lui, quand les iris se croisent, quand elle détaille les lèvres tentantes. Elle voudrait y croire, mais il se fait distant, il se détache doucement. Elle s’accroche. Elle ne lâche pas. Cette vie future dont elle rêve depuis gamine, pour ne pas faire comme sa famille, pour ne pas leur ressembler. Elle veut de cette vie parfaite de conte de fées, mais ce n’est pas aussi facile qu’elle aurait pu le croire, les douleurs peuvent s’y mêler et la détruire doucement. Greta, elle crève de ce rêve qu’elle laisse miroiter en fond de la caboche.
Son corps entier demande d’être aimé.
Lui. Lui prouver qu’elle est à la hauteur des attentes, lui prouver qu’elle peut le rendre heureux, calmer les maux de sa douceur, de la tendresse qu’elle sait donner. Lui. Lui qui hante les pensées, lui dont elle semble s’enticher, mais l’amour qu’elle ne connait qu’au cinéma, l’amour qu’elle a toujours ressenti faussement lorsqu’elle devait le jouer. Avec lui, c’est différent. Elle ne sait pas. Elle ne contrôle pas, mais elle sait que quelque chose se produit dans son petit cœur fragile, dans son corps en entier lorsqu’elle se trouve dans le sillage.
Le souffle qui se perd dans l’air, le vent pour filer contre la peau opaline alors qu’elle attend. Les pensées dans fond du crâne, elles se percutent, elles se mélangent. Sourire passager sur les lèvres. Les souvenirs de la première rencontre, des regards pour se croiser alors qu’elle envoyait valser sa vie pour la carrière tant espérée. Lui. Lui qu’elle a croisé, le hasard pour mettre Solal sur le chemin, pour faire vaciller le cœur incertain, de cœur déviant de cette anormalité dont elle n’ose parler. Le secret qu’elle garde pour elle. Elle préfère être la douce, la parfaite, elle pour panser les mots, pour aider les autres. Ce rôle qui lui plait. Ce rôle qui n’en est pas vraiment un. Cette partie d’elle qu’elle tente de garder, de ne pas abîmer malgré les difficultés, malgré que la vie n’est pas celle tant espérée.
Le souvenir de lui, les mots échangés, la voix pour rassurer, les heures perdues à lui parler, écouter, laisser le son de sa voix faire passer les frissons sur la peau qui ne demande qu’à être touché par les mains tant désirées. Le nom qu’elle ne sait pas. Que deux inconnus pour se retrouver. Que lui pour hanter la moindre parcelle de la caboche, de l’esprit. Les sentiments qu’elle a mainte fois joués, mais qu’elle a du mal à assimiler. La vie auprès de lui qu’elle a trop imaginée.
Elle n’entend pas les bruits de pas, que les pensées, que les questions pour la tourmenter et les phalanges qui se perdent dans la chevelure, les billes pâles pour observer les vagues venir se percuter, venir laisser entendre le son pour la calmer. La vie pas aussi parfaite qu’elle ne le voudrait, mais l’espoir qu’elle ne perd pas. Greta, elle a abandonné la famille, la ville, la vie pour être apte à faire la sienne, monter les échelons, vivre de sa passion. La famille qui manque malgré les déviances, malgré la difficulté et les remords qui viennent trop souvent la ronger de les avoir laissées en arrière.
Les muscles qui se tendent lorsqu’elle sent les mains sur les hanches, lorsqu’elle sent la pression contre l’épiderme. Elle se détourne. Elle se tourne. La pulpe des doigts qui vient effleurer les lèvres pendant un moment. Ce sentiment qu’il ne fait que la tenir éloignée de lui alors qu’elle crève de s’en approcher, de s’en rapprocher. « Tu ne m’as même pas dit ton nom.» Souffle chaud qui se percutent contre les jumelles tentantes, celle qu’elle crève de goûter, d’embrasser. Que le silence en guise de réponse, que la pulpe des doigts qui dessine lentement l’inférieur, les lignes de la bouche et file contre la mâchoire. Elle veut plus, mais il ne donne pas assez, il ne donne que le silence pour lui trouer le ventre, pour lui couper le souffle.
Les pas qui se calquent dans les siens, le corps qui retrouve le froid de l’eau, les frissons pour passer contre la peau. Les paumes au visage de l’homme qui sait faire battre le cœur fragile, lui qui pourrait céder à force de trop s’emporter. L’homme dont elle ne sait plus se passer. L’homme qu’elle veut charmer. Qu’elle veut posséder. Qu’elle veut aimer.
who i am wasn't good enough
Pseudo ; spf.
âge ; 26 ans.
pays ; la lune.
fréquence de connexion/RP ; assez régulière.
bref avis sur le forum ; j'adore le design et le codage.
comment l'avez-vous découvert ? bazzart.
un dernier mot ;
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Type de personnage : scénario (solal)