hazel fitzgerlad
sometimes loves is not enough
lily collins ; gotta be somebodynom complet ; hazel eleanor fitzgerald
âge ; vingt-quatre ans
date & lieu de naissance ; 15 février 1992, italie
nationalité ; italienne, mais avec des origines irlandaises
activité professionnelle ; styliste
études ; sort tout juste de ses études de stylisme
situation financière ; vit pas dans un château, mais se débrouille pas mal
état civil ; célibataire amoureuse
orientation sexuelle ; hétérosexuelle
Déjà petite, Hazel avait un fort caractère. C'était le genre de petite fille dictatrice qui voulait que tout soit fait comme elle le désirait, et qui utilisait son fameux regard noir qui glace le sang quand quelqu'un refusait de se soumettre à ses désirs. En grandissant, elle ne s'est pas assagie, au contraire. Elle a toujours voulu tout contrôler, faire en sorte que rien ne lui échappe. Elle aime pouvoir prévoir ce qu'il va se passer par la suite, ne pas se laisser surprendre par quelque chose qui pourrait la déstabiliser, lui faire perdre ses moyens. Parce que l'inconnu, ça lui a toujours foutu les jetons. Les sentiments, par exemple. Tomber amoureuse n'a jamais été dans ses plans. Et pourtant, au fond, Hazel est loin d'être quelqu'un de mauvais. Elle est même totalement différente de cette image qu'elle s'efforce de montrer. Bien qu'à première vue, elle donne l'impression d'être quelqu'un d'autoritaire et de trop sûre d'elle, c'est une personne remplie de craquelures. Elle a des faiblesses qu'elle tente de recouvrir, des plaies qui ne se ferment pas mais qu'elle soigne elle-même. Derrière cette carapace, elle est si différente, la jeune Hazel. Elle a cette douceur, cette bonté, et tout cet amour qui emplit son petit cœur et qui la mettraient tellement en valeur si elle s'ouvrait un peu plus aux autres. Son problème ? La peur. La peur d'être blessée, la peur d'être celle à qui on brise le cœur, celle qu'on casse en morceaux et qu'on force à se reconstruire toute seule. Elle refuse de laisser quelqu'un la détruire.
Love at first sight
Même si elle a toujours été fascinée par cet amour qui unit ses deux parents depuis bientôt trente ans, Hazel a toujours cru que, trouver son âme-soeur, c'est quelque chose qui ne risque pas de lui arriver. Elle n'a jamais été dans ce trip du grand amour, et s'est toujours contentée de simples histoires qu'elle termine parce qu'elle n'a pas le temps pour accorder trop d'attention à quelqu'un, ou simplement parce qu'elle n'est pas amoureuse. Elle s'est toujours préférée seule, indépendante, sans quelqu'un pour influencer le moindre de ses gestes, ou chacune de ses paroles. Et sérieusement, à quoi ça sert un bashert ? Quand tu es capable de donner ton corps et ton âme pour une personne, tu te condamnes à vivre de malheurs et de souffrances. T'es drogué à cette personne, totalement dépendant, tu ne peux pas vivre sans savoir où elle est ni ce qu'elle fait. Hazel a toujours préféré s'intéresser à elle avant tout, à son propre bonheur avant de se démener pour celui de quelqu'un. Sauf que tout ça, elle le pensait avant de tomber sur lui. Ce gars, cet abruti qui chamboule ses pensées, ses valeurs, qui lui laisse penser qu'elle n'a peut-être pas tant le contrôle de ses émotions qu'elle le pensait. Bien qu'elle se refuse de l'admettre, il l'a changée. Il a transpercé son petit cœur de glace et y a fait naître un feu qui lui brûle les doigts, dont elle n'a pas le contrôle. Pour généraliser, Hazel n'aime pas l'amour et ne se conçoit pas comme appartenant à quelqu'un, mais il y a quand même ce garçon pour lequel elle refuse de tomber amoureuse. Le problème, c'est qu'elle ne peut pas s'empêcher de penser à lui, ou de rire à ses bêtises, de sourire devant ses sourires. Elle se sent si petite devant lui, elle ne réfléchit pas avant de parler, et se comporte comme une enfant. Sauf qu'elle refuse, elle ne veut pas de ça, elle ne veut pas qu'il la manipule comme un vulgaire pantin. Et pourtant, malgré toutes cette fois où elle a essayé d'être distante et froide avec lui, il n'a jamais cessé de revenir avec une stupide excuse. Hazel sent qu'elle s'attache, et c'est un sentiment nouveau qui ne lui plait pas.
This is a story of boy meets girl, but you should know upfront, this is not a love story.
-T'es au courant qu'on est à un mariage et pas à un enterrement ? Voilà la première phrase que m'a adressée Isaiah. J'étais bien là à ma table, seule, avec pour seule compagnie une bouteille de vin que je ne payais même pas. Et il s'est ramené sans gêne, sans prendre la peine de savoir si sa présence me dérangerait. Il a toujours fait comme ça, quand j'y repense. Le premier jour où nous nous sommes rencontrés était un jour d'été. Il faisait chaud, très chaud, et ma meilleure amie venait à peine de jurer fidélité à son meilleur ami. Tous les deux étions dans la même situation : deux témoins seuls qui n'avaient pas envie de se ridiculiser sur la piste de danse. - C'est comme ça que t'abordes les inconnues ? La vache, tu dois avoir du succès auprès des filles. Ma réflexion l'a fait rire. C'était la première fois que je le voyais rire et, à l'époque, ça ne me faisait absolument rien. Je savais que nous ne reverrons certainement jamais, alors je me fichais de le faire rire ou pleurer. Je me fichais de son prénom, de sa couleur préférée, même de qui savoir qui il était au final. Sauf que nos meilleurs amis ont eu un enfant, et que je me suis retrouvée à être marraine, et lui parrain. Au final, il était presque improbable qu'on ne se croise plus jamais. - Et toi Hazel, tu crois qu'un jour t'arriveras à trouver un homme qui supportera ton sale caractère ? On était adossés l'un en face de l'autre, sirotant un verre de vin dans la maison de nos amis. Je ne savais rien d'Isaiah, tout comme lui ne connaissait rien de ma vie. Sauf qu'on était seuls et, comme à chaque fois que cela arrivait, il fallait qu'il se mêle de ma vie privée. - Parce que tu crois que ce sera plus facile de trouver une fille qui supporte ton humour pourri et tes... fossettes ridicules ? Mon manque de répartie le faisait toujours rire. Un an après le mariage, on en était toujours à se chercher, sans arrêt. Ce n'est pas qu'on ne se supportait pas, mais c'était plus facile pour nous de faire comme si on ne s'aimait pas que de se sourire bêtement quand on se voyait. Il n'y avait pas encore de problème tant qu'on ne se croisait qu'une ou deux fois par mois, soit pour nos amis, soit pour la petite. Et il n'a suffit que d'une nuit pour que tout ce petit jeu parte en vrille.
Les occasions n'arrêtaient pas de nous réunir, à croire que Lize et Peter le faisaient exprès. D'abord leur mariage, puis les dîners, les fêtes d'anniversaire de ma nièce, et enfin mon foutu anniversaire. Lize avait tout organisé elle-même et, bien sûr, il avait fallu qu'elle invite ce crétin à ma soirée. La fête battait son plein dans ma maison, et j'avais bien trop bu. De ma chambre, je pouvais entendre le bruit de la musique qui ne devait sûrement pas déranger mes voisins, vu que Lize les avait probablement invités eux aussi, comme plus de la moitié de la ville. Elle a toujours été très fêtarde, bien plus que moi. Je prenais l'air sur le balcon de ma chambre quand Isaiah a débarqué. - Qu'est-ce que tu fiches dans ma chambre ? Il a poussé un soupir face à mon regard de braise. - On m'a envoyé voir comment allait la malade. J'étais prête à lui répliquer que je n'étais pas malade et qu'au contraire, j'allais très bien, mais l'envie de vomir avait repris le dessus. Il s'est assis sur mon lit, et j'étais toujours dehors, frissonnant. - T'as vraiment que ça à faire, me surveiller ? Il y a pleins de filles en bas, pleins de proies facile. Il a froncé les sourcils. - Tu me prends pour quoi, un phallus avec des jambes ? Ce devait être à cause de l'alcool, mais sa réponse m'a faite exploser de rire. Je suis allée m'asseoir sur le lit à coté de lui et j'ai poussé un soupir. - C'est peut-être ce que je suis, au final. - Mais non Haz', c'est juste que t'es effrayée. Je l'ai regardé sans comprendre. Il avait bu lui aussi, ses joues étaient rouges et ses yeux pétillaient. - Je ne vois pas de quoi tu parles. À force, Isaiah avait fini par me connaître. Il savait que je sortais avec des garçons qui ne m'intéressaient pas, et que les larguais quand ça devenait trop sérieux. Sauf que jamais il n'a fait de réflexion là-dessus. - T'as peur de tomber amoureuse, ça se comprend. Plutôt que de continuer sur ce sujet qui me mettait bien trop mal à l'aise, j'ai embrayé sur lui. - Et toi ? Ça ne te fait pas peur peut-être ? Il a d'abord haussé les épaules, puis s'est laissé tomber sur mon matelas. - Il n'y a qu'une chose qui me fait vraiment peur, et ce n'est pas le fait de tomber amoureux. - C'est quoi ? - Toi. Isaiah a tourné la tête et a planté son regard dans le mien. Je suis restée bouche-bée, comme paralysée. J'ai essayé de respirer, mais mes poumons refusaient de fonctionner. Puis il a ri. -Regarde-toi, t'es flippante, t'as toujours envie d'avoir raison. Je ne savais pas si il essayait de me cacher quelque chose qu'il venait d'à moitié m'avouer, ou si Isaiah était vraiment sérieux. Alors j'ai vomi sur le sol.
Cette soirée nous a en quelques sortes rapprochés. On était à présent capables de rire ensemble, de boire ensemble, et il m'arrivait même de sourire à ses blagues stupides sur le sexe. Sans que je ne comprenne comment cela pouvait être possible, le voir suffisait à me mettre de bonne humeur, et l'embêter m'amusait encore plus qu'avant. Il était là, et je n'en ai pas profité, parce que je ne réalisais pas ce qu'il m'arrivait. Un jour, sans prévenir, il est parti. Il ne venait plus aux dîners, ni aux fêtes d'anniversaire. Je ne l'ai croisé qu'une seule fois en plusieurs mois, dans une boîte de nuit, occupé à fourrer sa langue dans la bouche d'une inconnue.Je ne me suis rendue compte que cet abruti me plaisait seulement ce soir-là. J'avais beau lui avoir fait comprendre plusieurs fois que jamais il ne m'intéresserait, le voir s'amuser avec une autre m'a retourné le cœur. J'avais beau essayer de me convaincre que cela ne me faisait absolument rien, cela ne m'a pas empêcher de l'appeler, un soir où j'étais seule. Mes doigts ont composés son numéros sans que je ne me rende compte, probablement une crise de somnambulisme éveillé. - Hey, ça va ? - Oh ça va, mais j'ai un peu froid. -Pourquoi ? Je m'apprêtais à sortir, enfilant ma veste avec le téléphone coincé entre mon épaule et mon oreille. J'ai ouvert la porte. - Parce qu'on est en hiver, et que je suis dehors devant chez toi. Le voir m'a fait immédiatement sourire. On a raccroché en même temps et je l'ai laissé rentrer chez moi. Pour la première fois en trois ans, il m'a parlé de lui. Il m'a raconté sa vie, a mentionné la perte de sa mère, et je lui offert un verre de vin comme si cela allait soigner sa peine. On s'est assis sur le canapé, en tailleur l'un en face de l'autre. Ce soir-là, on a jamais autant ri tous les deux. Mes histoires d'amour d'un mois l'amusaient, et moi je me moquais de ses aventures d'une nuit. Sans s'en rendre compte, on a vidé une bouteille à nous deux. - Je devrais peut-être rentrer. -Tu ne veux pas .. rester ? Et il est resté. On a fini par s'endormir tous les deux dans mon canapé, devant Titanic. Quand je me suis réveillée, Isaiah m'entouraient de ses bras. Je n'ai jamais oublié la chaleur de son corps, ni même l'odeur de son parfum.
who i am wasn't good enough
Pseudo ; little bug/sophie
âge ; dix-huit ans
pays ; belgique
fréquence de connexion/RP ; un peu tous les jours
bref avis sur le forum ; seulement bref ? je vais essayer. j'ai du mal avec les nouveaux forums, mais celui-là m'a carrément tapé dans l'oeil ! j'espère que j'arriverai à faire partie de l'aventure et que vous allez aimer hazel
comment l'avez-vous découvert ? bazzart
un dernier mot ; je suis la reine des dramas
Type de personnage : inventé