Antonio Pedrotti
almenco noi ci amiamo
Aaron Tveit ; Gotta Be Somebodynom complet ; antonio, ezio pedrotti, un patronyme comme un autre qui représente ni plus, ni moins son identité civile.
âge ; il est âgé de trente-deux ans, un âge qu'il a inconsciemment du mal à supporter tant il sent sa jeunesse s'échapper sous ses yeux.
date & lieu de naissance ; il est né le huit octobre 1983, dans la ville de Pescara, dans la région des Abruzzes.
nationalité ; il est italien, nationalité accordée à la naissance.
activité professionnelle ; il est conseiller principal d'éducation, transféré au lycée de la ville de Vérone en septembre prochain. Cependant, il songe à se reconvertir, tout en restant dans le domaine de l'éducation.
études ; il est titulaire d'une maitrise à l'Université de Naples, dans l'enseignement et l'éducation.
situation financière ; il vient d'un milieu aisé et tend à rester dans ce milieu.
état civil ; célibataire depuis maintenant un an, il était fiancé à un homme mais tous deux se sont rendus compte qu'ils n'étaient pas prêt à se marier. il profite ainsi de son célibat.
orientation sexuelle ; depuis son adolescence où il s'est rendu compte de qui il était, antonio est attiré par les hommes, fortement, bien qu'il n'exclut pas la possibilité de finir ses jours avec une femme.
Antonio fait du sport quasiment tous les jours, parfois, le matin après le réveil, parfois en soirée, après sa journée de travail. Il pratique souvent la natation ou encore le jogging. ▹ Depuis des années, il s'était conditionné à l'idée d'être sérieux, de se poser, d'être adulte et d'être comme tout le monde, vivre la finalité de sa vie comme avoir une maison, être marié et avoir des enfants mais depuis la séparation avec son dernier petit-ami en date, on l'a convaincu de complètement lâcher prise et de vivre à fond sa vie. ▹ Bien qu'il se considère presque comme fils unique, il n'oublie pas avoir une sœur âgée de dix-neuf ans mais la différence d'âge a entrainé une rupture dès le début. ▹ Son rêve d'enfant était de devenir policier mais après le lycée, il ne se sentait pas capable de faire les formations pour y arriver alors il s'est réfugié dans l'enseignement. Il n'abandonne pas l'idée d'être un jour ce dont il rêve. ▹ Il adore les sorties culturelles, notamment les lieux historiques, les patrimoines ou encore les musées. A chaque fois qu'il part à l'étranger dans une ville, il ne peut s'empêcher de devenir le parfait touriste.
Love at first sight
L’existence d'un bashert est un problème, un débat depuis la nuit des temps, quelque chose que ne croit pas Antonio. L'âme-soeur, le seul vrai amour ou les autres dérivés employés ne sont que de purs fantasmes à ses yeux, une utopie impossible, une idée qui n'est là que pour faire espérer aux jeunes enfants, et particulièrement aux jeunes filles, qu'un jour, elle rencontrera leur prince charmant. Antonio, il croit à l'amour, à celui où on peut tomber amoureux plusieurs fois, dépendant de la personne, du partenaire, de la ration qu'ils construisent à deux, des aventures, des liens et anecdotes. Il croit à tout ce schéma là, car n ne peut considérer que cette personne est celle de votre vie qu'à la fin. S'il existerait un tel bashert, on ne le saurait qu'à la fin de sa vie, telle est l'opinion d'Antonio. Pourtant fut un temps, il eut un doute, lorsqu'il s'était mis en couple avec Ugo, et toutes ses années passées à ses côtés, il doutait de ce bashert mais leur rupture lui a confirmé ses doutes ; il n'y croit pas, c'est trop utopique et idéaliste à ses yeux. Ou peut-être est-ce la déprime qui parle à sa place, le fait qu'il nie ce principe, qu'il nie cette existence, ce lien. Il n'a jamais ressenti de sentiments forts depuis, hormis ce soir-là, après la discothèque, où il fut au lit avec un jeune homme, ce fut la dernière fois qu'il ressentit quelque chose d'étrange, de grisant et de fort.
Il en boit un, puis deux, puis trois, puis quatre. Un verre, un shot. De toutes formes, de tout contenu. Et puis, il y a ce grand sourire fixe au visage, avec ses yeux embués, scintillants même. Attablé avec quelques amis, c'était la sortie du vendredi soir, après les cours et l'école. Le début du week-end, le seul soir où tu te laissais aller, à rire, à bavarder toute la soirée. Il consulte aussi son téléphone par moment, l'hésitation se fait ressentir, devrait-il céder ou non ? Juste un appel, juste entendre sa voix à nouveau. Car il lui manque le bougre, ou c'est l'ivresse qui parle. Ugo. Il se stupéfait à contempler sa fiche de contact sur son téléphone, à hésiter d'appuyer sur le petit icône indiquant 'Appeler'. Mais il est en peine, il a vraiment envie, et il lui manque, il en a besoin, juste de le voir, juste pour ce soir. Alors qu'il s’apprête à appuyer sur l’icône, une main lui arrache son portable. 'Laisse le, mec. Tu devrais déjà avoir supprimé son numéro depuis le temps.' Un ami lui parle, et il a du chagrin, il est en colère. Il se sent seul, il se donne pas du temps pour lui. Avant même qu'il n'ait eu le temps de dire son propre mot, son ami renchérit de nouveau 'Tu devrais lâcher prise, tu as trente-ans, t'es loin d'être un vieux, t'as encore du charme, tu peux facilement faire des rencontres.' Il eut un petit rire sceptique, signe qu'il n'était pas désespéré pour s'inscrire sur des applications de rencontre à la Tinder ou Grindr,, de la compagnie, c'est ce qui lui manquait. Il va boire son dernier verre, puis il ira en discothèque, il dansera, se déchainera au rythme de la musique, dansera aux côtés d'autres hommes et peut-être qu'il trouvera quelqu'un, une compagnie pour la soirée, ou pour la vie mais il trouvera quelqu'un car c'était le seul moyen de tuer sa solitude.
who i am wasn't good enough
Pseudo ; scamanders.
âge ; vingt-et-un.
pays ; france.
fréquence de connexion/RP ; régulière.
bref avis sur le forum ; il est trop beau, je le scrute depuis un petit moment.
comment l'avez-vous découvert ? bazzart, la base.
un dernier mot ; trop hâte.
Type de personnage : inventé