lorenzoamaglia
kid in love
shawn mendes ; hey soul sister !nom complet ; lorenzo amaglia, dans la famille, on ne fait ni dans les fioritures ni dans les seconds prénoms jugés complètement inutiles.
âge ; âgé de dix-sept ans, il peut parfois être un gamin tout comme faire preuve d'une grande maturité.
date & lieu de naissance ; il est né en juillet, à bordeaux (france) alors que ses parents étaient en vacances là-bas dans des vignobles.
nationalité ; lorenzo est italien. ses parents, grands-parents et arrières, l'étaient aussi.
activité professionnelle ; il est tout simplement lycéen et n'a donc aucune activité professionnelle.
études ; lycéen en dernière année, il s'apprête à passer son diplôme final (ou plutôt, à échouer).
situation financière ; cela se résume à 20 euros d'argent de poche par semaines.
état civil ; célibataire, il a eu une petite aventure avec un garçon du lycée, son premier amour mais cela n'a pas duré : Lorenzo a préféré le quitter pour profiter de son jeune âge car l'autre adolescent voulait déjà du sérieux. Du sérieux, qu'est-ce donc ?
orientation sexuelle ; Lorenzo se sait homosexuel et s'assume, une sexualité qui n'est pas appréciée par sa mère qui est convaincue qu'il s'agit d'une passade.
Lorenzo est diabétique. Un comble lorsque l'on sait qu'il est accro au sucre et est incapable de résister au chocolat, son pêché mignon absolu. ▹ Sa petite-soeur de sept ans, Belinda, est autiste. Une des raisons pour lesquelles Lorenzo est un véritable clown : parce que la vie lui a appris qu'elle était bien trop courte pour faire la tête et pour alléger le quotidien pénible de sa soeur. ▹ Ses parents ont divorcés, à une époque, lorsque l'autisme de Belinda a été découvert mais se sont remariés, il y a deux ans. ▹ C'est un garçon très nature et naturel. D'une spontanéité dingue, il dit tout ce qu'il pense, sans filtre. Cela lui apporte bien souvent des soucis et des conflits, surtout à l'âge ingrat de l'adolescence. Ou bien de nombreuses heures de colle auprès des professeurs de son lycée. ▹ Depuis sept mois, soit son coming-out, Lorenzo a de très mauvaises relations avec sa mère qui n'accepte pas son homosexualité. Elle considère que c'est une passade pour choquer, pour ne pas faire comme les autres et pour l'énerver, elle. Pourtant, Lorenzo est sûr de lui. ▹ Il a eu une relation de quatre mois avec Idel, un jeune homme de son lycéen. Avec lui, il a perdu sa virginité masculine. ▹ Il refuse catégoriquement de lire Romeo & Juliette car il estime que c'est affreusement cliché d'étudier cette oeuvre parce que cela se passe dans sa ville.
Love at first sight
Comment Lorenzo pourrait-il évoquer l'amour et le bashert du haut de ses dix-sept ans ? Lorenzo n'est qu'un enfant, somme toute. Pourtant, il a déjà une idée bien définie sur l'amour. Pour lui, l'amour n'a ni âge ni sexe et c'est d'ailleurs pourquoi il ne comprend pas le refus de sa mère à accepter sa déviance, son homosexualité. Malgré le divorce de ses parents à un âge où il était capable de comprendre tout cela, il n'est pas traumatisé par l'amour. Lorenzo pense sincèrement qu'on a tous quelqu'un qui nous est destiné. Il pense au concept d'âme-soeur et est même fleur bleu pour un adolescent de son âge, diront certains. C'est dans cette idée là et en voyant qu'Idel, son premier petit copain, l'appelait son Bashert qu'il a décidé de le quitter parce qu'il n'éprouvait pas cela. Son coeur ne battait pas à tout rompre en le voyant, il était juste ... content. Lui, il rêve des papillons dans le ventre, de boîtes de chocolat - même s'il est diabétique, ça s'appelle l'amour du risque, ça -, de fleurs - parce que les garçons aiment les fleurs, oui -. Lorenzo voit les choses en grand. Il rêve aussi d'un mariage, en costume blanc et ne comprend pas tout ses débats d'actualités sur le mariage homosexuel. On se marie entre êtres humains, pas avec un animal. L'important est, selon lui, de s'aimer. Toutefois, Lorenzo a récemment eu un coup de coeur pour un homme rencontré en boîte de nuit où il avait réussi à berner le videur pour rentrer - malin, l'enfant - et avec qui il a terminé la nuit. Cependant, il a oublié de mentionner qu'il avait dix-sept ans, se vieillissant de trois ans - voir plus, il ne s'en souvient que vaguement -. Il a ressenti énormément de choses avec cet homme, y compris son premier orgasme.
Lorenzo balança son sac à dos dans l'entrée. Ses baskets toutes neuves volèrent peu de temps après alors que sa mère faisait son apparition dans la pièce, accompagnée de Belinda, barbouillée de chocolat. Oscultant totalement la présence de sa mère, le jeune homme s'accroupit pour prendre sa sœur de sept ans dans ses bras et essuya sa bouche, délicatement. « Comment tu vas, princesse ? », demanda-t-il, tout sourire. La maladie de sa sœur était la principale raison de son sourire constant : il voulait alléger son quotidien. Ce n'est pas juste qu'un être aussi innocent vive ainsi. Il détestait la façon dont la société traitait les personnes atteintes d'autisme ou tout autre handicap. Rien n'était adapté pour eux et c'était pourquoi il avait décidé, dans un futur proche, d'orienter sa carrière vers l'amélioration des infrastructures pour les personnes en situation d'handicap physique ou mental. Mais pour cela, fallait-il déjà qu'il décroche son diplôme et ce n'était pas garanti compte tenu de certains de ses résultats scolaires, assez médiocres. Il se pencha pour reposer Belinda au sol et en se relevant, il croisa le regard de sa mère, sourcils froncés. « Lorenzo, tu n'as pas quelque chose à nous dire, à ton père et moi ? ». Lorenzo leva les yeux au ciel. « Mais comment tu sais que j'ai eu six en maths ?! », s'exclama-t-il, dépité. Sa mère savait toujours tout avant, cela le dépitait toujours. « Je suis ravie de l'apprendre. Je parlais plutôt de la trace dans ton cou, Lorenzo ». Le jeune homme se retourna précipitamment vers le miroir, découvrant un énorme suçon sur sa peau. Il jura, insultant intérieurement Idel. « Papa, Maman, je dois vous dire un truc ». Il réunit ses parents au salon. Lorenzo n'était pas plus angoissé que cela. Il ne voyait pas de raison de s'inquiéter. C'était juste de l'amour, qu'importe avec qui. « Je suis homosexuel », lâcha-t-il finalement, pour ne pas faire durer davantage le suspens.
C'était la première fois qu'il utilisait sa fausse carte d'identité, qu'il avait tant eu de difficultés à obtenir. Au moment où il la présenta au videur, Lorenzo sentit son cœur se serrer d'angoisse dans sa poitrine mais ressentit un immense soulagement accompagné de joie lorsqu'il le laissa entrer dans l'un des clubs selects de Vérone. La musique qui filtrait par les baffes emplit aussitôt son environnement et il se laissa porter par le rythme au milieu de corps en sueur d'hommes et de femmes. Il sentit des mains l'effleurer, le toucher plus ou moins nettement. Puis, il vit cet homme, au milieu de la piste, qui leva son verre dans sa direction, ce même homme qu'il vit à son réveil, dans un grand appartement, au milieu de draps défaits recueillant la sueur d'un ébat charnel. Cet homme qui lui avait demandé son âge, à qui il avait répondu : « Vingt et un an », cruel mensonge.
who i am wasn't good enough
Pseudo ; falafel.
âge ; 22 ans mais encore toutes mes dents
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pays ; france.
fréquence de connexion/RP ; quotidienne.
bref avis sur le forum ;un très beau code
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comment l'avez-vous découvert ? par scamanders, qui jouera antonio.
un dernier mot ; écrire ici.
Type de personnage : inventé