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Anonymous

Invité

(love on the brain)
Ven 10 Juin - 19:19


 
Giovanni Barattola
papertown need paperboy.
 Francisco Lachowski ; gotta be somebody


nom complet ; Barattola, les lettres pétillantes qui claquent sur les langues indiscrètes, les rires gras des soirées mondaines qui retentissent entre deux toasts, sourires hypocrites lancés à la volée, les scandales enfouis sous terre, étouffés par des liasses de billets déchirés. Déchirés comme toi, Giovanni le dernier, l’gamin qu’on supporte avant de lui foutre un coup de pied au cul, le hurlement strident, les verres qui se brisent contre des murs effrités.
âge ; Vingt-deux ans qui te collent à la peau, des années abîmées et jetées en l’air, des avions de papier qui flirtent avec le crash imminent.
date & lieu de naissance ; Né à Vérone, mort à Vérone, ton destin tracé à l’encre de chine, l’ineffaçable, l’autoroute interminable face au vent sans possibilités de demi-tour. Mais tu l'aimes Vérone, elle siège dans ton coeur, ton amante maudite. Tu es né le premier mai, juste le premier, et quelques fleurs de cerisiers.
nationalité ; Italien ascendant démago dans la trachée, tu es quasiment sûr que les gènes paternels finiront par te consumer malgré toi.
activité professionnelle ; Stagiaire dans diverses groupes, voguer de droite à gauche sous la tutelle de ton patriarche.
études ; Tu aurais voulu être derrière la caméra, le clap entre les mains, ta chaise de réalisateur cassée. Tu aurais voulu faire du cinéma ton monde, ta bulle que personne n'éclate du bout de l'ongle. Et puis ton père est arrivé en te tendant le flambeau familial, t'obligeant un suivre un cursus en communication.  
situation financière ; Riche à t'en damner, la haute société comme pseudo-famille adoptive. Aussi factice que Hollywood, une fois que tu souffles sur le tas de paillettes il ne reste que les meubles abimés et crasseux.
:coeur: état civil ; célibataire depuis la nuit des temps, et même la nuit des temps est mieux accompagnée que toi.
:coeur: orientation sexuelle ; hétérosexuelle, les femmes qui trônent dans ton coeur depuis toujours.

Antithèse à toi tout seul, sublime irrationalité de la nature humaine. Mélange sucré de teintes colorées, des goûts amers de ta personnalité qui se frottent à des saveurs délicieuses. Du noir charbonneux, poussiéreux, un feu brûlant qui laisse s’envoler des cendres piquantes. Giovanni, lion en cage. Cage dorée. Le luxe affriolant, gras, bourru. Luxe déchu, périmé, pourri. Jusqu’à la moelle. Tu ne peux t’en défaire, ton étiquette qui te démange la peau, des irritations rougeâtres, des plaques sur ton cou, le fils Baratolla qu’ils disent, le seul et l’unique. L’image dont tu ne peux te défaire, même si tu cries ton hymne à la liberté, même si tu laisses hurler ton indépendance. Hurler dans le vide, personne n’écoute, station radio laissée en suspens, charlie-delta, personne ne t’entend. Personne n’essaie, le monde te laisse sur répondeur. Tu détestes le noir, couleur de tes costumes trop bien taillés pour ta silhouette, couleur des robes qui épousent les formes célestes des poupées de chiffon des galas qui se plaisent à se revendiquer « charitable ». Noir, couleur de ta colère noire, colérique ponctuel, à temps partiel, sang d’italien, sang chaud. Brûlant, à s’en évaporer. Dégradé de teintes hideuses, ta possessivité accrue, ta rancune infaillible, ton franc-parler qui écorche les visages indignés. Des mots comme des balles, répartie implacable, celle qui trouent les peaux tendues par des sourires qui sonnent creux. Perfectionniste abstrait, la perfection dans l’art, mais l’art ne ressemble à rien, l’art c’est subjectif, l’art c’est pour les cons qu’il dit ton père. T’en crois pas un mot, t’es un artiste moderne, le pinceau fixé à tes mains, la caméra comme deuxième mère. Tu n’es pas qu’un amas de défauts, tu relèves le niveau, personnalité bipolaire que tu cultives. Tu es plutôt du côté des illuminés, ceux qui refont le monde entier tous les soirs en regardant la Grande-Ours, qui courent la nuit après leurs rêves, les déconnectés de la réalité en recherche de leurs constellations stables. Tu pourrais tout plaquer du jour au lendemain, ton impulsivité comme maîtresse de tes actes, tu pourrais tout quitter pour ne jamais revenir,  mais tu vis trop dans le passé pour t’empêcher de te retourner, t'as la nostalgie comme maladie. T’as toujours un tas de théories débiles sur la vie à sortir, questions frôlant la folie, l’aliénation, scientifique du dimanche. On dit que tu es captivant, tu n’as jamais vraiment compris pourquoi, sûrement parce que les gens ne se lassent pas de t’écouter parler pendant des heures, tu as l’éloquence aisée, l’humour dans ton ADN. Tu te sens comme un nomade des sentiments, jamais rien à la même place, au même endroit, sentiments en permanente évolution, l’oiseau sauvage, volage, qui ne peut rester dans son nid, sa zone de confort. Et puis, tu n’oublies jamais que l’amour c’est pas pour toi, tu joues toujours les mauvais chevaux pour terminer hors de la piste, t’as jamais le tiercé gagnant. Tu te cabosses, tu t’ouvres les genoux, t’accumules les ecchymoses, tu répares ton cœur avec du ruban adhésif. Mais t’en as marre d’avoir mal, t’en as marre de t’effriter pour du vent. Au rendez-vous de l’amour, t’es toujours en retard, t’aimerais bien trouver la notice, mais t’as beau remettre tes pendules à l’heure, tu finis toujours par arriver après la fête.

Love at first sight
Tu ne sais pas, t’en sais rien, un mot perdu dans le dictionnaire dont tu n’as toujours pas cerné la définition. Tu ne sais pas si ça existe, encore moins si t’y crois. T’as peur d’y croire, t’as peur qu’on te fasse croire que tu peux le toucher du bout des doigts, penser pouvoir l’attraper pour qu’au final il t’échappe dans une fumée blafarde. T’as peur qu’on te prenne pour un con, la peur de l’entourloupe, peur qu’on te dise que tout ça, ce n’était qu’un tissu de mensonges. Tu n’as jamais été un fervent croyant de l’âme-sœur, pour ce n’est qu’un amas de conneries commerciales, la secte de l’amour qui recrute en dizaines de milliers de personnes naïves qui pensent que c’est au détour d’un boulevard que dans un regard la moitié se révèlera, l’auréole planté sur le crâne. T’y as jamais cru à ça, et pourtant t’as déjà goûté à cette sensation délicieuse, délicate, fondant sur le bout de la langue, l’impression d’être une personne enfin comprise, cernée de la tête aux pieds sans nul besoin d’en dire plus. Ni même des mots désordonnés, des phrases interminables qui s’enroulent sur elles-mêmes pour terminer dans un silence de mort, celui qui glisse discrètement au creux de l’oreille « Laisse tomber, c’est pas grave, c’est rien. » par facilité. T’as déjà goûté à ce plaisir infini, et puis tu as été fauché en plein vol alors, tu laisses des points d’interrogation sur ce terme, tu laisses ce mot se ranger à une page du dictionnaire laissant les autres le découvrir. Peut-être que dans un éclair t’en comprendras enfin le sens, t’auras l’illumination tatillonne qui te murmure que ce mot il est pur, réaliste, vrai. Mais en attendant, tu préfères voir les autres se casser la gueule sur ces lettres, les dents qui rayent le parquet pour trouver l’âme-sœur potentiellement inexistante.





Barattola, théâtre ouvert des tragédies familiales, acte dix-huit, scène douze. Ton père, c’est le chef du clan, c’lui qui gueule le plus fort entre vos quatre murs pour montrer que c’est lui le patron, celui qui tire malicieusement les ficelles emmêlées de chaque personne qui a le malheur de foutre les deux pieds dans vos vies. Ton père, c’est l’archétype du politicien vicelard, démagogue de naissance auprès de son public d’agneaux prématurés qui a oublié ce qu’était une politique juste et équitable. Bande de conservateurs du vieux pays, les immigrés c’est dans l’bateau, et s’il pouvait couler dans la grande bleue d’ailleurs, ce serait encore mieux. Les femmes derrière les fourneaux, un gosse sur le bras et l’autre au pied qui réclame la soupe entre deux braillements. Et puis les gosses, c’est marche ou crève, fais ce que je te dis si tu ne veux pas te prendre un coup de pied au cul direction ta chambre sans manger. Ton père, c’est ça. L’pourri qui a ensevelit son cœur dans les méandres de la connerie humaine, sept pêchés capitaux rassemblés en un seul homme, le sourire désabusé, le vulgaire au bout des lèvres quand ce n’est pas son cigare qui se consume dans une fumée épaisse. Putain qu’il dit tout le temps, tu comprends pas comment un politicien comme lui peut sortir autant de jurons en une minute sans se faire attraper par la patrouille. Portrait défraichi que tu tires de ta figure d’autorité, la grimace au visage quand on te parle de lui. Et à côté de ça ton père, il aime comme un fou sa femme, sa muse, sa dulcinée, prêt à se foutre à poil devant la terre entière pour lui sauver la peau, prêt à déplacer des montagnes pour lui faire plaisir, lui décrocher les étoiles et lui balancer pour la beauté du geste. Ta mère, son étoile filante qui s’éteint à mesure des jours, bouffée par une insuffisance rénale. Il la voit crever ta mère, il la voit mourir entre ses mains disgracieuses, il sent la moitié de son cœur mourir avec elle. S’éteindre avec son étoile filante qui vogue dans le ciel étoilé pour se crasher dans les spirales sombres de la nuit. Tu détestes le noir, tu savais que c’était une couleur malheureuse. Putain.

Le problème avec ton père, c’est que toi, il t’aime pas. Il t’aime pas comme elle, son capital amour est saturé, partagé entre sa propre personne et ta mère. Il se partage en deux et il a jamais eu l’envie de se partager en trois. Trois c’est trop, trop c’est trois. Il te supporte dans les parages, il te tolère dans la pièce, il t’accepte dans sa vie, mais il ne t’aime pas. T’as toujours eu une envie de lui demander pourquoi il t’aimait pas, mais tu n’as jamais eu le courage de lui poser la question, la peur dans les tripes de te prendre une porte dans la gueule à t’en briser le nez. Tu l’as surpris deux ou trois fois dans des élans d’amour, des câlins chaleureux à la nuit tombée, des promesses en te disant que la petite souris passerait quand tes dents seront tombées, baisers rares sur ton front d’enfant inconscient. Des souvenirs, la nostalgie dégoulinante, c’était bien avant le temps où tu ne le trouvais qu’à moitié saint. Aujourd’hui, votre relation n’est qu’un amas de débris qui s’envolent dans l’infinité de la galaxie, des politesses échangées lors de soirées communes, des trêves partielles pendant les fêtes. Vestiges malheureux jonchant le sol boueux. Mais il te tient, il a fermé ta cage d’or à clef, parce qu’il sait contrôler ta vie, parce qu’il sait te détruire, parce qu’il a compris que toi contrairement à lui, tu fonctionnes aux sentiments.  


«  J’étais très bien comme j’étais, occupé à me détruire, et puis tu t’es pointée et tu m’as dis de me bouger, et pour la première fois de ma vie j’ai eu l’impression que quelqu’un en avait quelque chose à foutre de ma gueule et que cette personne méritait que je fasse des efforts. Aujourd’hui, je pulvériserai le record du plus gros sandwich si tu me le demandais, je tabasserais les mamies, je remplirais de soda les fleuves du pays... J’ai merdé sur toute la ligne je l’admets, t’imagines pas comme je regrette. Je t’aime Jal, t’es tout ce que j’ai au monde... »
Skins
.
T’aurais dû lui dire pareil, t’aurais dû lui dire tout ça, avant qu’elle parte ses mains dans les poches, des valises pleines à craquer sous le poids de ses vêtements raffinés. T’aurais dû lui dire que ton monde il était moins beau sans elle, que tes soirées étaient moins folles, que c’était ta putain de bouffée d’oxygène dans ce cercle étouffant, cercle d’opprimés. T’aurais dû lui dire que t’es qu’un effrayé de l’amour, que t’as peur de te lancer dans les frasques de l’amour et de mal retomber sur tes pieds, de t’en péter la clavicule, ton cœur troué par le seul clou sur le gravier. T’aurais dû. T’aurais dû. T’aurais dû. Mais elle est partie, elle a emporté vos soirées déguisées, vos bouteilles planquées dans les buissons des jardins de la haute société, elle a mis dans sa valise votre grain de folie, et puis, elle a foutu ton amour en boîte et tu l’as jeté à la mer. Sans te retourner. T’as vu noir, encore. Toujours ce noir effrayant. Tu lui en veux autant que tu t’en veux, t’as changé votre jardin d’Eden, tu y as cultivé un jardin d’épines, piquantes, saignantes, douloureuses. Tu t'étouffes dans ta rancune, tu l'accuses du regard, tu saignes de l'intérieur, ton coeur qui hurle, qui s'égosille. Il paraît que c'est une plaie profonde, qui dure dans le temps, tu crois qu'elle a causé ton premier chagrin d'amour, mais t'en es sûr qu'à moitié, vous n'étiez rien officiellement, mais officieusement, t'es quasiment sûr qu'elle était tout. Tu lui as dit adieu, mais ton virus de la nostalgie il t’a rendu malade à en crever depuis qu’elle est plus là. Virus chronique dont tu n’as toujours pas trouvé le remède, le seul qui t’aidera c’est le temps. Mais le temps il est long, trop long. Depuis qu’elle est pas là, tu as l’impression que ton monde est dans une quatrième dimension qui tourne au ralenti, tu fonctionnes aux intraveineuses de caféine pour rester éveillé, tu as oublié la dernière fois où tu es resté debout tard le soir, le nez collé à ton téléphone pour lui parler. T’as oublié ta passion pour braver les interdits, les défis démesurés que tu te lançais pour te sentir vivant, dans la délectation de te sentir libre. T’as oublié l’essence même de ta propre identité, tu t’es oublié tout court, tu as mis ta fugue au placard et puis silence, entracte.




who i am wasn't good enough
Pseudo ; // âge ; 18 ans. pays ; france  :57:  fréquence de connexion/RP ; Je passe un peu tous les jours sans forcément poster. bref avis sur le forum ; simple, épuré, j'adhère  :coeur:  comment l'avez-vous découvert ? via bazzart. un dernier mot ; j'ai l'impression d'avoir fait une fiche super sombre et larmoyante, c'était pas mon but :48:

Type de personnage : pré-lien de Lucia Armani  :coeur:
Anonymous

Invité

Re: (love on the brain)
Ven 10 Juin - 19:26


Bienvenue Giovanni. :46:
Anonymous

Invité

Re: (love on the brain)
Ven 10 Juin - 19:27


Un même monde,
Deux beau-goss,
un lien sera obligatoire.
J'ai peut-être même une idée mais j'attends de découvrir ta fiche :muarf:
En tout cas bienvenue parmi-nous, et n'hésite pas à nous contacter si besoin !
Anonymous

Invité

Re: (love on the brain)
Ven 10 Juin - 19:30


Bienvenue beau jeune homme :54:
Anonymous

Invité

Re: (love on the brain)
Ven 10 Juin - 19:32


aaaaaaaah francisco, y'a trop de bgs sur ce fofo. :63:
bienvenue. :coeur:
Anteia Aggelos
Arrivé(e) le : 24/05/2016
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Re: (love on the brain)
Ven 10 Juin - 19:33


Bienvenue parmi nous ! :33:
Bon courage pour ta fiche I love you
Anonymous

Invité

Re: (love on the brain)
Ven 10 Juin - 19:35


Je te dis officiellement bienvenue ici et encore merci de tenter mon pré-lien :hanoui: :coeur:
j'ai hâte de lire ta fiche et de voir ce que tu vas en faire :43:
si tu as la moindre question, n'hésite pas à me mp, du love sur toi :72:
Jago Sorabella
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Re: (love on the brain)
Ven 10 Juin - 20:49


CHICO. :63:
bienvenue. :coeur:
Anonymous

Invité

Re: (love on the brain)
Sam 11 Juin - 11:52


Bienvenue parmi nous ! :31:
Anonymous

Invité

Re: (love on the brain)
Sam 11 Juin - 20:28


bienvenue sur le forum I love you
Anonymous

Invité

Re: (love on the brain)
Sam 11 Juin - 21:03


Merci pour cet accueil, vous êtes adorables :hanoui:

Lune Fleury a écrit:
Bienvenue Giovanni. :46:
J'aime tellement le pseudo :hanoui: merci :coeur:

Solal Alighieri a écrit:
Un même monde,
Deux beau-goss,
un lien sera obligatoire.
J'ai peut-être même une idée mais j'attends de découvrir ta fiche :muarf:
En tout cas bienvenue parmi-nous, et n'hésite pas à nous contacter si besoin !
Avec plaisir pour le lien, je viendrai squatter voir ce qui est possible de faire :21:
merci beaucoup, je n'hésite pas à mpotter si besoin :coeur:

Gaïa Acciari a écrit:
Bienvenue beau jeune homme :54:
merci :43:

Perséphone Rain a écrit:
aaaaaaaah francisco, y'a trop de bgs sur ce fofo. :63:
bienvenue. :coeur:
Ravie de voir que Francisco plait, merci beaucoup toi :hanoui:

Desideria Borgia a écrit:
Bienvenue parmi nous ! :33:
Bon courage pour ta fiche I love you
Merci :47:

Lucia Armani a écrit:
Je te dis officiellement bienvenue ici et encore merci de tenter mon pré-lien :hanoui: :coeur:
j'ai hâte de lire ta fiche et de voir ce que tu vas en faire :43:
si tu as la moindre question, n'hésite pas à me mp, du love sur toi :72:
Et merci officiellement :33:
J'espère que tout te plaira en tout cas :54:
Merciiiiii :45:

Jago Sorabella a écrit:
CHICO. :63:
bienvenue. :coeur:
Merci (love on the brain) 1504152711

Olivia Valentin a écrit:
Bienvenue parmi nous ! :31:
Merci beaucoup :hanoui:

Winnie Zanelli a écrit:
bienvenue sur le forum I love you
kat :55:
Merci bien :45:
Anonymous

Invité

Re: (love on the brain)
Sam 11 Juin - 21:16


CHICO + LE PRE-LIEN + CE TITRE = :39: :73:
bienvenuuuuuue parmi nous en tout cas :45:
Anonymous

Invité

Re: (love on the brain)
Sam 11 Juin - 21:34


j'ai juste envie de dire que rien que ce que j'ai lu, c'est magnifique :63:

edit: j'ai rien à dire, tout est parfait pour moi, on peut valider :hanoui:
Anteia Aggelos
Arrivé(e) le : 24/05/2016
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Re: (love on the brain)
Lun 13 Juin - 11:38


Bienvenue à Vérone

Désolée du retard, me voici ! :bril. Ta fiche est sublime, je ne cesserai jamais d'être choquée (de plaisir) et heureuse de voir de si bons RPGistes ici :hanoui:. Et puis la petite référence à Skins, rien que pour ça je te vénère :han:. J'espère que tu te plairas bien ici :39:

A présent que tu es validé, n'oublie pas d'aller réserver ton avatar et recenser ton métier (ou tes études). Tu peux également t'inscrire au flood d'intégration afin d'apprendre à connaître les autres joueurs. Enfin, pense à faire une demande de logement afin de ne pas te retrouver à la rue ! Nous restons à ta disposition en cas de besoin, n'hésite pas à nous contacter. Bon jeu sur /LOVE :coeur:

Re: (love on the brain)



(love on the brain)
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