liliana borgia
you're in my veins and I cannot get you out.
kaya scodelario ; GOTTA BE SOMEBODY
nom complet ;
Liliana, fleur de lys,
Elettra, brillante,
Borgia. âge ;
vingt-cinq ans. date & lieu de naissance ;
15 mars 1991 à
Vérone.
nationalité ;
italienne.. Ceci n'est pas véritablement étonnant puisque tu es une Borgia, Liliana. L'Italie, et Vérone en particulier, a été marquée par vos ancêtres.
activité professionnelle ;
aucune. Tu es bien trop occupée par tes études et tes frasques sexuelles pour t'amuser à travailler.
études ;
étudiante en médecine, spécialisée en neurochirurgie à l'Université de Vérone. Liliana, pourquoi t'acharnes-tu autant ? Pourquoi ce diplôme si réputé compte tant à tes yeux alors que ceux-ci ne quittent pas un instant ces nouveaux horizons au loin ? Si loin. Tu ne sais plus véritablement pourquoi ni pour qui tu poursuis cette filière. Une intelligence rare, une analyse fine, une habilité étonnante... Tant d'éloges qui n'apaisent cependant pas ton désir de savourer cette liberté tant chérie.
situation financière ;
riche. Le plaisir de l'or est inestimable, tu ne peux le nier Liliana. Tu profites de ta situation, sans pour autant sentir la liberté t'effleurer. Oh non. Tu sens fondre de plus en plus dans ta chaire les serres de ce fardeau si lourd à porter. Borgia, un nom d'une renommée rare qui t'étouffe.. Le perdre ? Or de question.
état civil ;
célibataire. Ton coeur demeure blême, silencieux dans cette étrange prison d'os. Un mélange opaque de sentiments dont personne n'a encore réussi à comprendre. Si ton corps est une offrande que tu livres, ton coeur, lui, reste vierge de toutes passions.
orientation sexuelle ;
homosexuelle. Honteux secret, difforme vérité que tu caches minutieusement. Allant d'un bras à un autre, ton sourire semble toujours s'adresser aux hommes, et pourtant...
séductrice, se dit d'une personne ayant un pouvoir d'attraction irrésistible, qui s'amuse de conquêtes en conquêtes. + colérique, se dit d'une personne prompt à déchaîner une colère monstrueuse. + cynique, se dit d'une personne avouant avec insolence sa conduite immorale, qui méprise les conventions sociales + silencieuse, se dit d'une personne ayant l'habitude de s'exprimer assez peu, préférant le silence aux badinages épuisants + élitiste, se dit d'une personne préférant fréquenter seulement les meilleurs éléments d'un groupe d'un point de vue intellectuel et physique aux dépens de la masse + joueuse, se dit d'une personne qui aime prendre des risques por obtenir ce qu'elle souhaite + observatrice, personne qui regarde avec une certaine attention et un grand esprit critique, à qui rien n'échappe + charismatique, se dit d'une personne dont l'influence sur les foules est impressionnante, possédant une personnalité dotée d'un prestige et d'un pouvoir de séduction hors normes. + intimidante, se dit d'une personne qui inspire de la crainte ou un trouble chez les autres + violente, se dit d'une personne faisant preuve d'un vif emportement et d'une extrême brutalité envers les autres + acerbe, se dit d'une personne manifestant une agressivité blessante + paradoxale, se dit d'une personne en constante contradiction avec les autres, qui est contraire à la normale + désinvolte, se dit d'une personne dont l'attitude manifeste ne liberté excessive + cruelle, se dit d'une personne qui apprécie faire souffrir, qui est sans pitié et d'une grande sévérité + objective, se dit d'une personne qui ne fait pas intervenir des éléments affectifs dans ses jugements + renfermée, se dit d'une personne qui garde ses ressentiments pour elle-même + secrète, se dit d'une personne qui dissimule ses états d'âmes aux regards des autres, qu'on ne découvre pas facilement + susceptible, se dit d'une personne qui s'offense facilement + audacieuse, se dit d'une personne qui fait preuve de courage et d'impertinence + captivante, se dit d'une personne qui attire inlassablement le regard des autres + instable, se dit d'une personne dont l'équilibre est précaire, qui n'est pas stable + lunatique, se dit d'une personne dont l'humeur change bien trop souvent + méfiante, se dit d'une personne qui ne parvient pas à faire confiance aux autres + méprisante, se dit d'une personne qui juge les autres indigne de son estime + intransigeante, se dit d'une personne qui n'accepte en aucun cas des compromis + imprévisible, se dit d'une personne dont on ne peut pas prévoir les réactions + insaisissable, se dit d'une personne dont il est difficile de cerner le comportement + intelligente, se dit d'une personne qui fait preuve de discernement, de bon sens, qui conçoit et comprend les rapports entre diverses choses + minutieuse, se dit d'une personne qui fait preuve d'une grande attention + impatiente, se dit d'une personne qui ne parvient pas à attendre quelque chose ou quelqu'un + pessimiste, se dit d'une personne qui est enclin à prévoir seulement des désastres + courtoise, se dit d'une personne qui parle et agit avec une politesse raffinée, avec une désir fort de ne pas déplaire + déterminée, se dit d'une personne qui provoque son futur + excessive, se dit d'une personne qui se porte facilement vers les extrêmes + enjouée, se dit d'une personne qui est d'une grande gaieté + sensuelle, se dit d'une personne qui est porté vers le plaisir des sens, et dont l'aspect évoque le plaisir + hypocrite, se dit d'une personne qui dissimule son caractère et ses intentions véritables afin de se présenter sous un jour favorable + menteuse, se dit d'une personne qui induit les autres en erreur, qui n'agit pas conformément à la vérité.
Love at first sight
Il semblerait que tu sois un paradoxe humain, Liliana. Tu n'as jamais véritablement aimé, tu désire plus que tout que l'on t'aimes et pourtant le face à face avec les autres est un supplice. Tu as le sentiment que certaines limites sont des obstacles bien trop dangereux pour se permettre la liberté de les outrepasser, et pourtant tu te retrouve dans une situation où tu es précisément en train de le faire. L'infranchissable ne serait donc qu'une simple illusion ? Il est si bon de sentir dans son être se développer les méandres sombres de l'interdit. Tu comprends mieux que jamais ô combien tes propres limites ne te tiennent pas à distance de l'affreuse masse d'anonymes, non, elles ne te protègent pas de tes problèmes ou de tes innombrables tentations. Elles t'enferment simplement, te séparant de la douce vie. Que dois-tu choisir ? Continuer à lentement t'éloigner jusqu'à ne devenir qu'une ombre parmi tant d'autres ? Ou apprécier le délice d'un certain plaisir ? Si un jour, tu fonds dans le néant, devenant ainsi en quelque sorte un pur esprit, est-ce que tu t'apercevra que tes relations n'ont aucune véritable consistance ? Qu'il ne s'agit simplement que d'une illusion ? Qu'une apparence ? Tu ne l'espères point. Qu'est-ce que l'on fait lorsque l'on découvre que l'amour ronge dans notre cœur un abyme immense ? Si grandissante, qu'un jour peut-être quelqu'un pourrait voir à travers ta chair la moindre de tes pensées ? C'est une question qui te torture l'esprit depuis quelque temps déjà Liliana. A vivre trop longtemps avec du vide à la place du cœur, tu t'es habituée à l'obscurité, pourtant, tu ne cesses d'observer la lumière chez les autres : le doux émoi amoureux qui les submerge. Lorsque l'on tombe en amour pour une personne, il est une sorte d'obligation d'en souffrir ? Est-ce une sorte d'épée de Damoclès, vacillant au-dessus de nos cous comme une promesse à venir ? La douce caresse de l'amour endormant les malins avant d'asséner le coup fatal ? Tu te préoccupes de sujets qui ne te concernent même pas. Tu ne sais pas aimer, tu ne sais que te faire aimer. Encore une fois, un cadeau empoisonné. Tu es un animal égaré dans un monde qui lui est étranger et incompréhensible. Un jour peut-être, sentira-tu dans ta poitrine ta cage thoracique se resserrer, peut-être même... Il doit sans doute il y avoir entre certaine personne un lien si profond qu'il continue à vivre à travers les plus violents orages. Tu es tout de même heureuse de trouver des instants charnels intenses, il ne doit pas exister pire malheur que de ne trouver personne avec qui partager ses ébats. Tu ne veux absolument pas partager les tiennes avec un vulgaire inconnu qui ne saurait qu'alourdir ton esprit avec des bavardages insignifiants. Ce genre de rencontre ne te causerait que de souffrances, elle ne serait qu'une simple apparence. L'amour... Dépendre de quelqu'un d'autre que de toi-même, voilà une bien étrange sensation, te sentir t'affaiblir, te torturer... C'est tout ce que tu as toujours redouté. Une mystérieuse porte vers un vif sentiment, compliqué, incurable, d'autant plus profond qu'il en semble devenir bénin, insaisissable, d'autant plus tenace qu'il semble factice dans tes yeux. Tu as dans l'âme le goût d'amertume, de tristesse et d'une joie immense. Tu ne peux être éprise d'un vif romantisme à l'égard des autres, c'est impossible. L'amour est une illusion, un mensonge, et il commence à décliner lorsqu'il est possible d'exprimer clairement ce qui plaisant chez l'autre. Tu es ainsi rassurée, rien ne t'es indéchiffrable. Mais peut-être... Non. Tu as bien trop peur de sombrer pour n'importe qui, sentir dans son regard ô combien il te maîtrise. C'est aussi pourquoi tu préfères demeurer loin des autres, profitant donc de ta propre souffrance. Tu ne cours pas le risque d'aimer ou d'être déçue, tu ne vois jamais tes rêves frustrés par quelqu'un d'autre que toi-même. Tu ne te soucie guère des bienfaits que t pourrais dispenser. Tu passe ton existence à créer un masque, un rôle parfait, scintillant sous ses moindres facettes. Tu l'aborde en rejetant tout ce que la vie pourrait t'offrir de meilleur. Peu importe. Personne ne doit savoir, personne ne doit se douter.
Chère Liliana,
l'amour finit bel et bien par se transformer en cicatrice, plus ou moins large, plus ou moins béante, plus ou moins vivace... Loquace. Liliana, toujours. La question n'est pas simplement de savoir si l'amour est supportable ou non. Peu importe finalement, le temps efface jusqu'à la dernière trace de sa présence. Seule l'affreuse souffrance, celle de l'absence demeure en mon âme. L'humide passage des larmes lui-même finit par s'évaporer sous la chaleur inhumaine du temps. La véritable question est de comprendre si je dois me protéger de ces innombrables sentiments ou au contraire les exposer à ton regard plein de lumière, aveugle, mort. Si je dois vivre à l'abri ou a découvert. Si je suis prête à porter sur ma peau la trace de notre histoire. Liliana, d'où viennent donc ces terribles influences ? Ces vagues d’effrois mystérieuses qui changent en découragement mon moindre sentiment de joie et mon exaltation en détresse ? J'ai tendance à bien trop souvent assimiler mes élans de douleurs à ta perte brutale. J'en suis profondément navrée, mais sais-tu ô combien ton absence est lourde sur mon coeur ? Comme son poids lacère jour après jour ma chaire ? Les autres depuis leurs regards austères m'envoient des rayons de culpabilité plus puissante de jours en jours. Quel est donc son secret pour vaincre si facilement la tristesse ? Quand on aime, on s'accroche, on s'incruste, on s’agrippe, on se cramponne au moindre souvenir, à la moindre effluve de présence et ce même si elle est anodine. Lorsqu'on ne peut plus, on rampe, parce qu'il n'y a pas de limite à l'amour, parce qu'on n'en a pas le choix. Je n'ai pas le choix. Je t'aime toujours autant Liliana, et je chérie ton souvenir plus que tout au monde. J'essaye de me persuader que le monde continue de tourner après que les choses présentent ont cessé de l'être, mais je vois bien que dehors rien ne change. Tout reste comme l'ultime instant de ta présence. Dans cette demeure qui était notre, les heures du bonheur font encore des ombres. Quand tu es partie, tu as presque tout laissé, seule un objet indéfinissable... Celui qui me rendait la vie acceptable s'en est allé. Qu'est-ce que cela pouvait bien être ? J'ai beau cherché, je ne trouve aucune réponse acceptable. Liliana. Je veux t'écrire pour être avec toi. Est-ce une manière de te faire m'aimer par procuration ? Sans doute. Je veux écrire pour toi, toi que j'ai connu, toi que j'aime. Tu ne m'aimeras jamais. Jamais. Cette idée m'obscène au point de me tirailler l'âme toute la nuit durant. Sur mon visage se creuse les signes de l'indifférence. Les cicatrices douloureuses de la souffrance et du manque. Ecrire me permet de devenir un être meilleur, je m'évite la disgrâce totale. Liliana, si seulement je pouvais retrouver l’innocence. J'entends par là, réussir à outrepasser la douleur. Réussir à vivre de nouveau. Je voudrais pouvoir broyer le bonheur, croire en lui. Je ne le peux malheureusement plus. Liliana. J'ai tant rêvé de ta présence que je te perds dans mes souvenirs. Tu n'es plus qu'une masse informe qui pourtant fait battre mon coeur à l'unisson du tien, enfin je l'espère encore. Est-il encore temps d'atteindre ce corps lointain et d'y venir poser milles embrassades afin de sentir une fois de plus ta chaleur ? Pourrais-je seulement encore une fois entendre ta voix qui m'est si chère ? Mon esprit troublé s'amuse à me torturer, je m'imagine de longues heures durant te serrer contre ma poitrine... Pourtant je ne saisis même pas ton ombre. Ma douleur me rappelle cependant bien trop vite à moi-même. Sa réalité transperce chacun de mes fantasmes. Il n'est plus temps pour moi de te rejoindre, il est bien trop tard. Je lutte désespérément en vain. Liliana, je dors debout, les yeux fermés à l'excès, cherchant dans mon esprit les instants les plus nettes de ma mémoire. Tu es la seule qui compte aujourd'hui pour moi. Et tu n'es plus là. Je pourrais moins entendre ta voix, sentir tes accolades que celles de n'importe lequel de ces anonymes qui se bousculent dans les rues. Liliana... Il ne me reste plus peut-être qu'à devenir un fantôme. Une ombre qui se promènerait agréablement devant cette vie solaire et pourtant si misérable. Liliana, je suis une dé-sublimée. Ma carcasse se lamente minablement au pied de notre lit. Je réclame ta présence, alors que tu t'es arrachée à moi. Comment puis-je être si ignoble ? Si lâche ? Je refuse de devenir ton esclave. Mes amis disent que chaque Homme de ce monde abrite en lui une perte ou un manque, un quelque chose qui ronge l'âme mais que l'on finisse tous par apprivoiser. Cette seule phrase semble devoir apaiser ta perte. Est-ce cela sa réponse incroyable à la vie ? Quintessence de l'obscène et du blasphème même. Je ne supporterais pas longtemps leurs comportements. Comment osent-t-ils encore se présenter à moi après de pareils conseils ? Je m'obstine à les suivre, idiote. A force de les fréquenter depuis si longtemps, j'ai appris à masquer leurs présences par des fantômes au allures plus ou moins semblable à la tienne. Mon esprit résonne de ta voix chaude et suave. C'est beaucoup plus agréable que la leurs si terrible. Peut-être que je perds petit à petit pied avec la réalité, avec mon monde... Pour m'enfoncer lentement dans celui que je construit. Défense sublime face à la douleur. Cependant, en ce monde je ne peux être sûre de rien puisque la lumière est illusion, puisque le bruit est illusion, que la vie est illusion. J'habille seulement le présent avec un peu de lointain, cela me permet de croiser les regards sans que l'on ne me voit véritablement. Cela me permet d'être là, de sentir des choses que je sais ne pas être, que je ne peux pas voir mais qui me font battre la poitrine, qui me brûle déjà. La vie m'a déjà tellement pris que je me permet certains cadeaux. J'oublie ainsi la souffrance. Liliana. Je suis celle qui traîne ma blessure comme une trahison. Tu m'as trahie, véritablement trahie. Tu es partie, tu as disparu. Avec ton beau sourire, tu t'es effacée brusquement. Je ne suis que ton jaloux, que ton ombre. Je te hais autant que l'amour que je te porte. Je suis dé-sublimée par ta perte brutale, et pourtant... Je suis là, encore. J'ai ce besoin incessant de me confronter à toi alors que je ne supporte même plus ta présence. Ta voix hurle dans mon crâne de t'abandonner. Mais je demeure au dessus de ma feuille à t'écrire. Encore et encore.
Je t'aime, encore et pour toujours.
Chère Eleana,
Je te prierais de bien vouloir cesser de m'importuner sous peine de sanctions judiciaires importantes.
Liliana Borgia
who i am wasn't good enough
Pseudo ; atrazine.
âge ; dix-neuf ans.
pays ; France.
fréquence de connexion/RP ; 5/7.
bref avis sur le forum ; Romantique ? Sympathique avec un très joli design.
comment l'avez-vous découvert ? par Caterina Agnesi.
un dernier mot ; BOUH !
Type de personnage : prélien by Desideria Borgia
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