vito zanelli
how many secrets can you keep
arthur gosse ; here without younom complet ; vito sandro zanelli, du grand, du beau, du reluisant. on la retient facilement la famille zanelli, tellement qu'elle resplendit.
âge ; vingt neuf ans. le chiffe trente tapi dans l'ombre d'une année, d'une nouvelle vie qu'il ne souhaite pas franchir.
date & lieu de naissance ; douze mai, 1987, italie, vérone.
nationalité ; un sang italien, éclairé par la belle vérone.
activité professionnelle ; quelque chose de beau, de grand, juste à l’effigie de son nom de famille. avocat. il a abandonné ses rêves d'enfants, voulant se bâtir une carrière prospère. mais au fond, il veut défendre la veuve et l'orphelin vito, se battre contre les injustices de son monde.
études ; il a obtenu son diplôme en droit, à l’université de vérone. dès son entrée en études supérieures, vito savait ce qu'il voulait faire. il ne s'agit pas seulement d'être reconnu pour son nom de famille, vito, il veut briller par lui-même.
situation financière ; riche. riche à gerber des billets. l'argent pousse sur les arbres, qu'il croyait étant petit.
état civil ; fiancé. bientôt marié, pour le meilleur et pour le pire. et lui, il se fourvoie, prétend ne voir que le meilleur. c'est son amour de jeunesse, ce qui n'était censé qu'être une amourette sur les bancs de la fac.
orientation sexuelle ; les jolies, les bizarres, les différentes, celles qui sortent du lot. les femmes sans jamais en douter.
vous voyez ce gars, celui qui s'asseyait toujours au fond de la salle et qui n'écoutait le cours que d'une seule oreille ? celui qui préférait lire des bds, emprisonné dans son monde à paillette ? celui qui n'avait pas froid aux yeux, oui, le seul qui osait répondre aux professeurs ? celui qui passait la journée à glander sur les bancs de l'école mais qui s'en sortait malgré tout aux examens ? non, pas l'associable de service, l'autre, le jeune avec la clope au bec, le gamin friqué jusqu'au cou. celui qui avait tout le temps le mot pour rire, mais aussi la parole de trop. il savait toujours comment faire chier son monde, que ce soit ses amis ou ses parents. il savait s'y faire avec les filles, lui. oui, c'était un vrai don juan, un brin charmeur et gamin sur les bords. puis il a changé. il a arrêté ses bêtises, s'est pris en mains. monsieur veut devenir avocat, il se range, devient polie et serviable. il applique les bonnes manières qu'il a appris et ne passe plus son temps à parcourir la ville à vélo. il grandit et se construit, vito devient indépendant et réfléchis, mais aussi possessif et indécis.
parce que même après tout ce temps, vito c'est loin d'être un coincé. il a toujours le mot pour rire, la blague qui tue, la farce qui tombe à l'eau, qu'importe qu'il ait bientôt trente ans. parce que vito, quand il a une idée en tète on ne peut que lui enlever à coup de burin. il aime plaisanter, ironiser, rire de tout et de rien. mais surtout de rien. parce qu'il n'a que ça vito, rien. un vide, là au fond d'son estomac. il a peur de sa propre vie. il la voit si proche, déjà toute tracée, elle n'attend plus que lui. alors vito se plaît à imaginer, rêver qu'un jour il prendra l'avion et le bateau pour fuir loin de sa routine.
Love at first sight
il n'y croyait pas, vito. il ne pensait pas que quelqu'un quelque part l'attendait. il ne voulait pas y croire du moins. autrefois vito, il ne comprenait pas. comment pouvait-on se fier au destin ? pourquoi choisirait-il pour nous ? la vie n'est jamais figée, rien ne peut être écrit à l'avance. à quoi bon vivre alors ? ne serait-ce pas ça, exister ? vibrer, trembler, frissonner ? vito n'avait jamais aimé, il n'en connaissait pas même la signification. il n'avait eu que des histoires sans lendemain. vito il faisait des pieds d'nez au destin, il lui montrait qu'il était seul maître de son existence. puis un jour, le jeune homme tomba sur le destin. il tomba pour elle. cette fille au coin de l'amphi. il était comme hypnotisé. il en avait eu des relations vito, des belles comme des moins belles. mais cette brune, elle le hantait jusque dans ses songes. il se montrait méfiant au début, ne pouvant se résoudre à abandonner sa guerre intérieure. et au fil du temps il y eurent des regards, des mots, des rires, des embrassades, des soirées à refaire le monde, des confessions, des baisers. sept années plus tard, une bague, une demande en mariage, et un oui. il l'avait trouvé, celle qui l'attendait, il en était maintenant persuadé. il était tombé sur elle sans s'en rendre compte, sans saisir ce qu'il se passait. il en avait oublié ses principes, ses phrases philosophiques. il comprenait désormais. elle était son tout, la raison de son bonheur, celle qui le faisait vibrer. et pourtant. pourtant rien n'est jamais si simple. peut-être se fourvoie-t-il, peut-être est-ce en réalité le destin qui lui fait des pieds de nez depuis sept années. pourquoi son cœur palpite-t-il plus vite lorsqu'
elle est là ? pourquoi n'arrive-t-il pas à lui cracher non à la figure sans un regret ? pourquoi faut-il que la sœur de sa future femme se montre plus qu'aventureuse envers lui ? et si lui attendait en fin de compte une autre borgia ? parce que vito, il aperçoit en elle ce qu'il n'entrevoit pas chez sa fiancé, l’attrait du danger, une douce folie qui attise sa curiosité. quelque chose de tendre et de féroce à la fois. et plus les jours s'écoulent, moins il peut y résister.
ses pas sont fermement ancrés dans le sol italien. il connaît chaque recoins de la ville sur le bout des doigts, chacun des lieux lui sont si familiers que les souvenirs ne peuvent s'empêcher de s'accumuler en son esprit aujourd'hui. à l'époque, il pensait déjà à s'évader de cette routine vito, quitter son p'tit coin de paradis pour parcourir le monde et s'évader de sa vie. il rêvait de voyages et d'aventures, un simple baluchon sur l'épaule. il savait déjà qu'un jour il prendrait la route, l'avion et le bateau. il savait qu'il s'envolerait, comme ces oiseaux qu'il observe à chaque levé d'soleil.
ↄ choyé il l'a toujours été. fermement protégé dans ce petit cocon familial qu'ont instauré ses géniteurs depuis sa plus tendre enfance. et pourtant, se retrouver au milieu d'une fratrie féminine n'a pas toujours été simple. vito, il du s'affirmer à travers le temps, prouver sa place au milieu de ce monde tout rose. parce que vito, c'est l’enfant du milieu, le petit canard qu'on ne prend pas en compte. il ne s'en est jamais plaint pourtant vito, ça l'arrangeait bien au fond. il n'a jamais été sous le feu des projecteurs. il n'est pas l’aîné, et ne possède encore moins de frère jumeau. vito, c'est le banal, l'invisible, tant qu'il ne fait pas de bêtises. celui qui est présent sans être là. alors, il faisait tout pour se faire remarquer. pendant un temps il eu une période un peu difficile, protestant contre toute forme d'autorité. puis ça lui est passé, lorsqu'il comprit que cela ne servait à rien. et aujourd'hui il n'en garde aucune rancune qu'il dit. parce qu'au fond, il les aime ses sœurs, elles rythment son quotidien. si bien que sans elles à ses côtés, il trouverait certainement son existence bien fade.
ↄ l'évasion semble primordiale, bienfaitrice même dans son quotidien. vito, il a délaissé les chewing-gums depuis les cours de récréations afin de s'immiscer à cette drogue-douce qu'est la nicotine. il a besoin de sa dose quotidienne, vito. quelques tubes cancérigènes pour affronter les aléas de la vie. petite dépendance accrue à la cigarette, il fume comme un pompier. lorsqu’il angoisse, lorsqu'il stresse, lorsqu'il est content, lorsqu'il broie du noir, lorsqu'il s'ennuie. au matin, le soir et à quatorze heure. tout le temps et partout.
ↄ vito, depuis petit pour s'échapper du quotidien, il joue de la guitare. c'est peut-être une passion, ou peut-être pas. il n'en a que faire de l’appellation, il aime ça, point. vito il joue seulement chez lui, à l'abris des oreilles indiscrètes. il n'assume pas, on dit de lui que c'est le frère raisonnable après tout, celui qui baigne dans le concert. pourtant, ça lui donne l'impression d'être vivant, vito, d'avoir un second souffle d’existence. gratter les cordes de sa guitare, chatouiller les arrangements, ça lui fout les frissons, ça le prend aux tripes.
ↄ vito, il se prétend as des fourneaux. il aime cuisiner. autrefois il voyait ses amis déguster des hamburgers surgelés et des sandwichs du supermarché dans leurs chambres étudiantes, et il en a eu assez. personne dans cette bande de bras cassés pour cuisiner un authentique plat ? parce que pour lui ce n'est pas de la vraie nourriture. y'a pas de goût, pas d'accord, c'est du chimique. alors depuis il tente des trucs, improvise un menu quatre étoile avec ce qu'il y a dans le frigo. c'est pas souvent exquis mais ça reste comestible. enfin, ça c'est ce qu'il croit puisqu'il ne s'est pas vraiment amélioré depuis le temps.
ↄ vito, c'est un travailleur hyperactif. il est toujours au taquet, faisant tout à mille à l'heure. même à l'université, vito était l'un des meilleurs étudiant de sa promotion. et il ne se sent d'ailleurs pas de travailler autrement, il vit de ce qu'il aime après tout. alors certes, vito n'est pas astronaute, ni marchant de glace, pas même musicien international, comme il l'aurait souhaité étant petit, mais il défend des gens, des causes auquel il tient. il est assez reconnu dans le milieu - et même s'il ne veut pas se l'avouer, son nom de famille aide un peu.
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who i am wasn't good enough
Pseudo ; tania.
âge ; la majorité.
pays ; allez les bleus
fréquence de connexion/RP ; régulièrement.
bref avis sur le forum ; vous vendez du rêve.
comment l'avez-vous découvert ? bazzart.
un dernier mot ; un jour je serai le meilleur dresseur (et bim t'as la chanson)
Type de personnage : pré-lien de desideria