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Anonymous

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(soleta) don't let me down
Jeu 16 Juin - 16:06


don't let me down

ft. greta & solal


« set me free, leave me be. i don't wanna fall another moment into you're gravity. here i am, i and stand. so tall. juste the way i'm suppose to be. but you're into me and all over me. »
Le cœur en pièce. Le cœur qui fait un mal de chien. Cette impression qui vient d’éclater, de se briser en petits morceaux. Greta, elle marche, trop vite. Depuis combien de temps? Elle ne sait pas. Elle finit par s’arrêter, les larmes qui filent contre les joues, laissent la trace salée contre la peau. Elle marche trop, trop vite. L’effort qui étouffe, la douleur à la poitrine qui prend à la gorge et la paume qu’elle pose contre le cœur. Une pause. Elle s’arrête. Elle pose la main libre contre le mur froid, elle tente de calmer les larmes qui étouffent, qui empêchent de respirer correctement. Les larmes qu’elle voudrait empêcher, mais c’est hors d’elle. Le souffle qui se coupe sous les sanglots qui passent entre les lèvres. Le souffle qu’elle tente de reprendre. Le souffle qui manque et le cœur qui fait mal, trop mal. Le cœur réduit en morceaux.
Greta, elle finit par lever les yeux, elle finit par se rendre compte qu’elle n’a pas la moindre idée d’où elle se trouve. La paume se pose au visage, elle essuie les larmes qui marquent encore la peau fragile. Les sanglots qui coincent la gorge. Les sanglots qu’elle refoule.

Le son de son portable qui attire l’attention et elle le prend entre ses doigts pour regarder le message qu’elle vient de recevoir. Le cœur arrête. Le cœur implose. Elle aurait aimé qu’il la retienne tout à l’heure. Ce message. Ces mots.
J'agis trés souvent comme un con. Aujourd'hui en est une preuve. C'est plus fort que moi, pour la première fois je crains une chose. J'ai peur, et pourtant, je n'ai aucune envie que tu me files entre les doigts. Tu me rends dingue, à tel point que j'en perds pieds. C'est juste nouveau, si inconnu à mes yeux que je n'arrive pas à gérer tout cela. Tout ce que je sais, c'est que j'ai besoin de toi.
Elle reste muette, elle laisse son dos se poser contre le mur froid alors qu’elle a du mal à détacher ses yeux de ce message. Elle aurait les entendre, mais elle sait que c’est déjà un effort de sa part de lui envoyer ce message. Elle attend. Elle essuie les larmes sur le visage, observe les alentours. Son cœur lui fait encore mal. Le pincement à la poitrine. Sa maladie.
Elle envoie un message à son tour. Greta, elle tente de trouver le nom d’une rue pour être capable de se situer, pour être capable de donner une indication à Solal afin qu’il vienne la rejoindre. Elle n’a pas envie d’être loin de lui. Elle n’a pas envie que leur histoire se termine. Elle n’a pas envie de le perdre, elle sait qu’elle ne le supporterait pas. Le souffle qui se calme un peu, mais le cœur qui reste douloureux. La foutue maladie qui ronge le cœur fragile. La main qu’elle pose une fois de plus à la poitrine. Cette envie de ne plus rien ressentir. Elle s’en veut. De lui avoir balancé la haine au visage, les mots sans tendresse. Ça ne lui ressemble pas. C’est trop difficile. Lui. Elle. Eux.
Le portable qui sonne encore.
J’arrive à une seule condition. Que tu rompes ton contrat avec Armani.
Elle répond. Greta, elle a envie de lui envoyer une claque en plein visage. Elle soupire. Ça ne sera pas bon pour son image. Elle se doute que son agent ne sera pas d’accord. La tête qui se pose contre le mur alors qu’elle roule les yeux vers le ciel un moment. Elle a besoin de quelqu’un pour la faire connaître. Elle ne sait pas, elle ne sait pas qu’il pourrait être bon pour sa carrière lui. Elle ne veut pas l’utiliser pour ça de toute façon. Elle veut simplement être avec lui. Elle va parler à son agent, elle va lui dire qu’elle n’a pas envie de jouer mascarade.
Et si je ne veux pas attendre demain ? Que dirais-tu, si les rôles étaient inversés, Greta ?
Elle a envie d’imploser à nouveau, mais elle tente de garder ce calme. Ça ne sert à rien. Elle le sait.
Elle soupire. Elle compose le numéro de son agent, elle n’a pas la moindre idée de ce qu’il pourra lui dire. Elle va paraître pour une fille qui ne sait pas ce qui veut aux yeux des médias et ce n’est pas bon pour sa carrière. Elle déteste cette situation.
La voix se fait entendre. Elle soupire. Ça ne lui fait pas envie, de parler de ça. « Oui. Bonjour. Vous allez bien? Je voulais vous parler de la situation avez Ezio.» un souffle. « J'aimerais qu'on trouve un autre moyen de me faire connaître.» Et le combat commence.

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Re: (soleta) don't let me down
Jeu 16 Juin - 18:07


« don't let me down »
Solal Alighieri
feat.
Greta Casabelle


 

 



 

 

Quand le ciel s'est éteint à brûler trop, quand les alcools mènent la danse de nos amours. Quand la sève a quitté la terre, les sanglots noyés les quais des métros de nos amours. Quand les tambours fatigués ne battent plus que l'arrivée d'une autre guerre,  d'un autre amour. A nos fragiles aux horizons pleurantes, il parait que l'océan chante pour nos amours.

Tu aurais dû la rattraper avant même qu'elle ne s'éloigne. Tu aurais dû, et pourtant, tu l'as laissé te filer entre les doigts pour ensuite lui envoyer quelques vulgaires petits messages. C'est digne de toi ; des remords après les mensonges. Renier l'évidence et puis être rongés par les non-dits. T'aimerais que tout soit plus simple. Qu'elle soit à toi, et que plus rien d'autres qu'un nous ne compte à vos yeux. Et si elle s'ouvre à toi, toi tu ne peux t'empêcher de t'emprisonner dans un mutisme sans pareille. Tu te meurs en silence, rongé par des non-dits et cette évidence que tu renies. Tu souffres en silence de la voir dans les bras d'un autre que toi. Il la touche, frôle sa peau sous tes yeux, sans que tu ne puisses intervenir. Et ça, ça te rends dingue. A tel point que ton poing s'est enfoncé une dernière fois dans l'écorce du vieux platane. Un exutoire comme un autre. Une facette de ta personnalité qu'ignore Greta. Elle ne sait pas, elle ignore tout de ta capacité à accumuler les coups. Greta, elle ne connait qu'une infime partie de toi, la plus sincére, celle qui ne cesse de s'affirmer en sa présence. Avec elle, la violence des coups , les principes familiaux, tes exils, tes rebellions, plus rien n'a d'importance. T'es juste toi, toi, sans tes maux, sans tout ce qui te consume de l'intérieur. Il a ce toi avec les autres, cette distance que t'inflige à chacun et puis, il a ce toi avec elle, celui qui a besoin d'elle pour avancer. T'es comme tiraillé de l'intérieur, divisé en deux parties de toi-même qui ne peuvent s'empêcher inlassablement de se combattre entre-elles. Alors, même si une partie de toi refuse de s'abaisser à elle. L'autre part à sa poursuite. Tu coures, laisses tes enjambées s'emporter dans l'espoir de la retrouver. Parce que c'est elle, et pas une autre. La seule personne en dehors de ta cadette que tu ne peux envoyer valser sans être ensuite rongé par la culpabilité. Tu ne peux pas, tu n'arrives pas à la laisser s'éloigner de toi. C'est pire qu'une drogue, pire que ces indénombrables substances que t'ingurgite tout au long de ton quotidien. Pire qu'une matinée sans caféine, qu'une heure sans cette dose bienfaitrice qu'est la nicotine. Au fond de ta poche, ton portable vibre une dernière fois. Un message sans grande importance, qui ne fait qu'accélérer la cadence même de tes pas.

Courir à en perdre haleine , et entrevoir sa silhouette à l'autre-bout. Elle a beau être dos à toi, tu ne peux t'empêcher d'élargir ton sourire en la reconnaissant. Et puis, de là où tu es, tu remarques même qu'elle est déjà au téléphone. Il a suffit d'un message, d'un ultimatum pour qu'elle délaisse ses enjeux professionnels à ton profit. T'as dû mal à y croire, à croire qu'elle est prête à autant de sacrifices pour toi. Pour cet homme dont elle ne connait quasiment rien. Et c'est là, à cet instant précis que tu te rends compte qu'elle est différente des autres. Elle , elle est prête à abandonner sa carrière, la mettre en péril alors que toi, t'es dans l'incapacité même de t'ouvrir à elle. A celle que tu aimes. T'es lamentable, Solal. Dos à elle, tes mains glissent délicatement de ses hanches à son bas-ventre. Doucement, tu reviens savourer sa présence. Tu t'enivres d'elle, de cette douce odeur qui émane de sa peau. Et alors que tes lèvres reviennent s'égarer dans le creux de son cou, tu lui révèle enfin ton patronyme. Un nom quelconque dont l'importance pourrait avoir d'avantage de poids au travers de sa discussion. « Dis-lui que tu es à moi, à Solal Alighieri.» Pour la première fois, tu bénirais presque ton identité, ce patronyme que tu supportes comme un véritable fardeau et qui - pour une fois - pourrait bien arranger ton avenir.
© Gasmask

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Re: (soleta) don't let me down
Jeu 16 Juin - 22:51


don't let me down

ft. greta & solal


« set me free, leave me be. i don't wanna fall another moment into you're gravity. here i am, i and stand. so tall. juste the way i'm suppose to be. but you're into me and all over me. »
Elle entend les réprimandes de son agent, les commentaires qu’il lance et les questions qu’il pose. Elle tente de le dissuader, de le convaincre, de lui faire entendre raison, mais elle sait parfaitement qu’il voit cela du mauvais œil. Ce n’est pas bon pour les affaires. Pour elle. Pour lui. La voix qui monte d’un ton, elle fait les cent pas, elle marche, elle n’arrive pas à lui faire comprendre son point de vue. Elle savait que ça allait finir de la sorte. Elle savait qu’il n’allait pas vouloir qu’elle abandonne aussi rapidement.
La moindre parcelle de son corps se temps lorsqu’elle sent la présence dans son dos. Les muscles se crispent pour se détendre ensuite. L’odeur qu’elle reconnait, les mains contre le corps qu’elle sait trop bien. Il s’approche et elle se laisse manipuler, elle retrouve le confort de son corps, son dos qui vient trouver ce torse qu’elle aime trop, ce corps dont elle ne sait plus se passer depuis des années. Les frissons passent sur sa peau alors que les lèvres viennent dans le cou, qu’elle sent le souffle chaud contre l’épiderme. Les frissons qu’il fait passer sans faire le moindre effort. Le corps qu’il fait réagir sans ne rien faire. « Non, mais écoute…» Il lui coupe la parole. Encore et encore. Elle soupire. « Dis-lui que tu es à moi, à Solal Alighieri.» Elle se mord la lèvre, elle n’entend que son agent qui s’emporte, elle n’arrive pas à placer un mot. La mâchoire se contracte pendant un moment. Elle n’a pas envie de s’énerver. Pas une fois de plus. « C’est juste que..» Elle lève la voix. « C’est que je suis avec quelqu’un et il se nomme Solal Alihieri.» Elle ne s’attendait pas à un silence aussi pesant, elle ne s’attendait pas à une réaction de la sorte. Elle ne vient pas d’ici. Elle ne connait pas les familles importantes, elle ne connait pas encore ce qui se passe dans la ville. Cela fait trop peu de temps pour qu’elle en sache plus qu’elle n’en sait pour le moment. Il reprend. Il rit. Il semble content et lui lance que c’est parfait, mais qu'il y aura des mesures à prendre et elle ne pourra pas s'afficher tout de suite. Elle ne peut pas passer pour celle qui change d'homme comme de vêtements. Ce n'est pas bon pour elle. Greta, elle range le téléphone au fond de ses poches, elle reste stoïque pendant une seconde, pendant un moment.

Greta, elle se retourne pour laisser son regard se poser dans le sien, elle l’analyse pendant un moment. « Alors, monsieur Aligheri. Qu’est-ce qui fait que mon agent semble aussi ravi d’avoir entendu votre nom?» Un pas. Elle réduit l’espace entre eux à pratiquement plus rien. Son corps vient trouver le confort du sien et elle laisse ses bras passer autour de son cou. Elle n’a pas envie de se défaire de lui. Plus maintenant. Jamais. Le cœur encore abimé par les mensonges, par la peine d’un instant plus tôt, mais le plus important c’est qu’il est là maintenant. Les billes océans détaillent les traits pendant un moment, dessinent les lèvres dont le goût lui manque trop souvent. Les rencontres trop séparées, espacées. Un de ses mains quitte l’épaule pour laisser ses doigts venir caresser la peau de la joue, laisser son index dessiner lentement la lèvre inférieure. Elle crève de poser les siennes contre celle du brun, mais elle ne fait rien. Pas encore. « Seriez-vous une célébrité connue à Vérone par hasard?» Sûrement. Surement qu’il a de l’importance, qu’il peut changer la donne, parce que son agent n’aurait jamais lâché le morceau et elle le sait. L’index reste contre les lèvres pendant un moment, la douceur du geste et la pulpe des doigts qui quitte l’objet de convoitise pour dessiner la ligne de sa mâchoire. Les lèvres se posent contre le cou, un baiser qu’elle y pose et l’odeur dont elle s’enivre. La sienne. Le souffle dans le cou, contre l’oreille. « Parce que j’aimerais bien savoir à qui j’appartiens.» Les dents qui s’amusent un peu avec le lobe d’oreille et la voix qui se fait plus tendre que joueuse. « Je suis contente que tu sois là Solal.» Les yeux qu’elle ferme, un baiser dans le cou une fois de plus. Elle a envie de lui dire ce qu’elle ressent, mais ça lui fou la trouille. Le visage qui revient face à lui pour planter ses yeux au fond des siens.


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Re: (soleta) don't let me down
Dim 19 Juin - 14:27


« don't let me down »
Solal Alighieri
feat.
Greta Casabelle


 

 



 

 

Quand le ciel s'est éteint à brûler trop, quand les alcools mènent la danse de nos amours. Quand la sève a quitté la terre, les sanglots noyés les quais des métros de nos amours. Quand les tambours fatigués ne battent plus que l'arrivée d'une autre guerre,  d'un autre amour. A nos fragiles aux horizons pleurantes, il parait que l'océan chante pour nos amours.

Quelques mots, quelques sons parviennent à ton oreille alors que tu sais que cette révélation ne sera guère sans conséquence. La famille Alighieri ne possède pas autant de membres que les Sorabella, ou bien même les Borgia. Elle n'est pas toujours aussi vivement impliquée que celles-ci , certes, vos géniteurs ne cessent de prendre parti , mais les dernières générations s’abstiennent silencieusement de s'engager au coeur même des querelles familiales. Alors , tu sais, tu devines déjà les conséquences mêmes qu'auront tes mots. Le dernier descendant des Alighieri à pouvoir transmettre son patronyme s'est engagé vers une comédienne. Le mélange des genres, de la noblesse aux paillettes. Une annonce qui ne pourra s'empêcher d'engendrer de nombreux commérages. C'est plus fort qu'eux, les véronais sont avides de ces petites rumeurs qui voleront en éclats.  « C’est juste que.. C’est que je suis avec quelqu’un et il se nomme Solal Alihieri.» Et là, tu perçois l'absence de sons. Un silence plus qu'évocateur qui met subitement vos problèmes en stand-by. Ce sera de courte durée, t'en es certains. Ce n'est qu'un problème parmi tant d'autres. Parce qu'il n'y a pas que cette histoire de faux-couples, il y a les exigences de tes géniteurs, ce mariage-arrangé qui ne tardera guère à faire parler de lui , ainsi que ces idioties de querelles familiales. « Alors, monsieur Aligheri. Qu’est-ce qui fait que mon agent semble aussi ravi d’avoir entendu votre nom?» son dos quitte ton torse, et ses douces prunelles viennent directement t'épier. Elle cherche des réponses, les mêmes réponses que tu ne lui as jamais accordé. Et en guise de réponse, un vague haussement d'épaule. Ce même, et continuel petit mouvement qui noie les réponses. « Seriez-vous une célébrité connue à Vérone par hasard?» A l'entente de ces mots, tes prunelles menacent de s'élever vers le ciel. Une "célébrité" est un grand mot pour toi. Pour cet homme que tu es qui ne possède que son rang au sein de la société grâce à son héritage. Un patronyme mieux reconnu que d'autres. Ce lourd fardeau que tu renies si souvent. Alors, en signe de réponse ton visage bascule de droite à gauche, un léger mouvement alors que ses doigts frôlent habilement l'une de tes joues. Peu à peu, tu retrouves la douceur de ses gestes. Douce délicatesse de gestes qui te font perdre la tête. Ses doigts dérivent alors, s'égarent sur les courbes de ta mâchoire. Et toi, silencieux, tu profites de l'instant. De cette douceur qui s'égare contre ta peau, de celle qui t'enivres à chaque seconde. Ses lèvres se posent enfin, douce pression que tu accueilles au creux de ton cou. « Parce que j’aimerais bien savoir à qui j’appartiens.» Il y a ces mots, ceux qui glissent en ton esprit pour raviver l'attachement que tu lui portes. Et puis, ce souffle chaud, qui s'égare habilement sur le creux de ta peau. De douces sensations qui t'enivrent un peu plus à chaque instant. « Je suis contente que tu sois là Solal.»


à l'intérieur de toi, ton coeur bouillonne de rage. Il crie, jaillit à l'intérieur de ton être dans l'espoir que toi aussi tu prononces des révélations. Il aimerait que tu lui dises enfin tout ce que tu ressens à son égard. Et même si tu commences à y croire, même si une partie de toi s'est enivrée d'elle. Tu ne peux. Les mots se meurent inlassablement au fond de ta gorge. Il est trop tôt, ou peut-être n'es-tu tout simplement pas encore prêt à l'idée d'un tel aveux. Tu préfères égarer délicatement tes mains sur le creux de ses hanches, ramener ce corps qui t'appartient au prés du tient. Tu veux juste qu'elle reste prés de toi et que son corps s'éternise d'avantage prés du tient. Le visage incliné dans sa chevelure, tu t'enivres un peu plus de son doux parfum. C'est ta manière, une manière bien singulière de lui prouver qu'elle vaut mieux que les autres à tes yeux. Qu'elle est un peu plus que ce que tu peux prétendre parfois. Et si la vérité sur ton attachement à son égard s'éternise en silence au fond de ton être, d'autres mots menacent quant-à-eux de s'y extirper. De douces vérités, des mots qui contrastent avec tes mauvaises habitudes.  « Je ne veux plus que tu partes.» La conclusion est sans-appel, même ton emprise vient à se resserrer autour d'elle. Tu veux qu'elle reste prés de toi, qu'elle demeure là , ici, coincée contre ton torse. Et ces mots résonneraient presque comme un doux supplice, l'exigence d'un homme qui se perd en l'absence de l'être aimé. « Et, je ne suis pas vraiment célébre. Ma famille fait partie des familles nobles de Vérone, elle possède son influence. Moi, je ne suis que Médecin. » T'as laissé la vérité s'extirper entre tes lèvres. Quelques aveux bien mérités qui laissent ainsi entrevoir un homme, qu'elle ne connait pas. D'autres facettes autrefois inconnues qui se dévoilent peu à peu à elle.



© Gasmask

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Re: (soleta) don't let me down
Mar 21 Juin - 15:08


don't let me down

ft. greta & solal


« set me free, leave me be. i don't wanna fall another moment into you're gravity. here i am, i and stand. so tall. juste the way i'm suppose to be. but you're into me and all over me. »
La main qui s’égare inlassablement sur la peau, cet épiderme dont elle ne sait plus se passer, cette odeur pour hanter la moindre des pensées. Ça serait bien plus simple de ne pas l’aimer, de ne pas se faire crever le cœur à s’attacher, mais elle n’a pas envie de faire autrement. Les questions qu’elle pose et les questions qu’elle ne peut empêcher. Elle pensait que son agent allait lui demander plus, lui dire qu’elle ne pouvait pas changer de la sorte. Certes, elle doit terminer ses engagements, ne pas s’afficher tout de suite pour ne pas passer pour celle qui passe d’un bras à l’autre. Ça ne lui ressemble pas. Ce n’est pas elle de toute façon. C’est un sujet tendu et franchement, elle n’a pas envie de parler de ça maintenant. Le visage qui trouve le confort du torse, elle finit par se laisser allez dans le creux des bras parce qu’elle ne supporte pas de ne pas ressentir la chaleur. Les questions sans réponses, mais les quelques informations qu’elle finit par soutirer, par avoir. « Je ne veux plus que tu partes.» Elle n’a pas envie de partir, elle n’a jamais réellement eu envie de partir. Parce qu’elle se sent bien. Parce qu’elle aime le confort des bras. Parce qu’elle l’aime, simplement. Elle n’a jamais réellement aimé avant Lui. Les paumes qui passent autour du corps, les mains qui se posent dans le dos. Cette relation complexe. Les secrets. Son secret. Elle n’a pourtant pas envie de lâcher, pas envie de partir, pas envie d’abandonner. « Je n’ai pas envie de partir Solal. Je n’ai jamais eu envie de te perdre.» Les yeux qui se ferment pendant un moment et du corps qu’elle fini pas se détacher pour laisser ses billes océans se poser dans le fond des siennes. Solal. Il est tellement beau. Solal, il fait battre son petit cœur fragile.

« Et, je ne suis pas vraiment célébre. Ma famille fait partie des familles nobles de Vérone, elle possède son influence. Moi, je ne suis que Médecin. » Greta, elle se contente d’écouter, parce qu’il n’a jamais parlé de lui et ça lui pose du baume au cœur. Il s’ouvre. Un peu. Ça ne risque pas d’être facile. Elle se doute, mais c’est déjà un pas en avant. Les épaules qu’elle hausse doucement et les deux paumes qu’elle pose au visage pour attirer le visage près du sien, pour qu’elle soit certaine qu’il pose son regard dans le fond du sien. « Peu m’importe au final, j’aime ce qu’on est ensemble. Simplement.» Une façon de lui dire que son nom de compte pas vraiment à ses yeux, une façon de dire qu’elle aimera ce qu’il est peu importe. Elle le pense. Elle l’a toujours aimé, dès le début, sans savoir la vérité sur sa personne. Le visage qu’elle garde entre les mains un moment et le baiser qu’elle pose sur le coin des lèvres avant de se défaire une fois de plus. Greta, elle tourne le dos un moment. Il faut qu’elle parle de ce que son agent lui a dit au téléphone. Elle se retourne pour laisser ses iris détailles le visage pendant un moment. « Je dois voir mon agent demain, mais je sais qu’on ne pourra pas s’afficher avant un moment. Je sais qu’il faudra être prudent, il m’en a glissé un mot. Il ne faut pas que je passe pour une girouette aux yeux des médias, ça risque de mettre en péril ma carrière Solal.» Elle l’aime, mais elle n’a pas envie de tout briser, elle n’a pas envie de perdre sa chance de briller et elle n’a pas envie de le perdre non plus. S’afficher. S’afficher voudrait dire qu’ils sont officiellement ensemble, est-ce qu’ils sont prêts? « Mais je vais arrêter de m’afficher avec Ezio.» C’est ce qu’il voulait. C’est ce qu’il a fini par avoir. Quelques fois qu’elle s’est montrée avec lui en public et ça risque de faire parler, mais cela finira surement pas se réparer. Elle le sait. Elle espère, parce que Solal est important pour elle, mais elle ne peut pas perdre tout ce qui lui tient à cœur depuis gamin, depuis l’enfant. Un pas en avant. Les mains qui s’emparent doucement des siennes pour l’attirer contre elle, l’attirer près d’elle. Cette envie de lui qui ne se dissipe jamais, malgré les années, malgré les souffrances.


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Re: (soleta) don't let me down



(soleta) don't let me down
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