Alceo Santorelli
IT DOES NOT DO TO DWELL ON DREAMS AND FORGET TO LIVE.
max irons ; gotta be somebodynom complet ;
Santorelli famille aux allures parfaites, papa, maman, petite fille, sourires. des esquisses d'euphorie peignant leur visage de famille unie, prétentions voilées ou authentique spectacle exhibitionniste de ce bonheur à demi feint ? puis y'a
Alceo. une composition sonore qui, une fois murmurée, peut faire frémir. une nomination poétique pourtant révélatrice des aspirations audacieuses d'un homme. Vaste refuge d'étoile, il est le néant comme il peut-être la lumière
âge ;
vingt-cinq hivers fragiles et délicats cueillant sa chair meurtrie par le temps, ce temps qui passe, s'écoule, joue entre les paresses de chaque visage, les iris de chaque regard, les pores de chaque corps. pourtant, elle a le sentiment de fuir ce temps maudit depuis des décennies, le sentiment suprême de sentir planer son regard terreur sur son être bientôt poussière.
date & lieu de naissance ; née un
dix décembre, sous les rires glacials de l'hiver traître, cette nuit translucide fut marquée par les bruits des vagues se déchaînant dans le lointain, secouées par les hurlements sauvage du vent roi. ici et là, entre les voûtes célestes, à des millions d'années lumières de la terre, sa vie entière est voilée d'un mystère de papier. pourtant, comme tout être vivant, malgré ses dires exaltées, elle est bien née quelque part. et ce quelque part est son chez soi,
Milan, ville nacrée d'une beauté sainte.
nationalité ; il se dirait fils de jupiter, frère de saturne et ami de neptune, venant des abysses de l'univers, là où tout commença. pourtant, il n'est qu'un humain aux façades mortelles, un jeune homme simplement
italien, sans passé particulier.
activité professionnelle ;
artiste dans l'âme, coups de crayons qui se perdent sur le papier scarifié, il s'essaie au dessin et à la peinture sans être particulièrement douée. Mais il apprécie la sensation du crayon sur le papier, les formes des traits et l'abstrait qui en ressort. Van Gogh, Camille Sisley, maîtres de l'impressionniste, il aime s'en inspirer. il s’essaie à de nouvelles choses, aux oeuvres dans les assiettes dans ce
restaurant bien côté. il l'a choisi pour lui faire découvrir cette gastronomie riche en savoir faire. francisco il espère ne pas le décevoir.
études ; il y avait bien des études d'ingénierie aérospatiale bien entamées. sauf que, il a perdu l'envie de toucher la lune, préférant se satisfaire des délicieux mets d'un restaurant où il travaille.
situation financière ;
riche. héritage familiale comme tout ce qui s'ensuit. une richesse entachée par ce désir de puissance. un désir qu'il ne partage. c'est alors une richesse intouchable, maudit par ses idéologies contrastant celles de sa famille. seuls les récompenses de son travail, de sa lutte acharnée lui permette de vivre dans ce monde.
état civil ; loup solitaire, homme errant ça et là, à la recherche de réponse.
orientation sexuelle ; il est amoureux des courbes féminines et de ce qu'elles peuvent lui faire ressentir.
LA FAMILLE AVANT TOUT s'il y a peut-être une chose qui le rapproche à sa famille plus que tout le reste, c'est sans doutes l'attachement, la dépendance, leur sang, leur lien. vouloir du mal à ses frères et ses soeurs, c'est lui causer du tort à lui, et alceo ne laisse passer aucun affront, aucune attaque. alceo, il aime ses frères, il aime son clan, il aime son nom.
LE CONTRÔLE AVANT TOUT alceo, c'est l'intouchable, tête pensante, tête structurée, tout se maintient, tout se contrôle, rien ne doit découler du hasard. et à force de tout contrôler, de s'obliger à ne pas céder à la colère, à l'éclat de joie, à la satisfaction, on en croirait presque qu'il s'agit d'un homme froid et distant, incapable de ressentir, incapable de comprendre les émotions des autres. mais c'est faux, se dit-il. c'est faux... il sait seulement bien les cacher.
LE VOLEUR DES COEURS alceo il est beau, alceo il est fringuant. alceo il a ce sourire qui fait froid dans le dos, des lèvres qui mordent et des mains qui agrippent, qui déchirent et qui brisent. alceo, il parait si charmant, avec son joli minois, son air avenant et son côté un peu réservé. que de coeurs a-t-il emporté dans son sillage, avec ses manières et ses doux mots. qu'importe s'il aime, ou n'aime pas, pourvu que cela serve ses intérêts, ses envies, ses désirs ; en cela des demoiselles en auront fait les frais, éplorées, cruellement abandonnées. jusqu'à murmurer dans les ruelles que sous ses airs de preux chevalier se cache le pire des effrontés. mais que nenni, ce sont elles qui ont brisé son cœur, assure-t-il : il n'est que la victime du chant des sirènes, des parfums envoûtants et des charmes féminins.
L'ARROGANCE, HÉRITAGE FAMILIALE alceo, c'est l'autoritaire. sois fier, lui disait-on alors qu'il n'était qu'un môme. sois fier de ton rang, de ton nom. les santorelli sont au dessus de ceux qui rampent dans la fange, ceux qui pourrissent dans les bas fonds et ceux qu'on appelait jadis des gueux. alceo n'a jamais adopté ces idées, même si le monde est ainsi fait et qu'elles sont la vérité, la réalité. il ne méprise pas ceux qui lui sont inférieurs, il ne les considère pas comme plus bas que terre, lui qui est né avec une cuillère d'or dans la main, lui qui n'a jamais eu à trimer, à ramper pour obtenir ce qu'il désirait mais pourtant il ne veut pas. parce que ce n'est pas un combat loyal. il préfère blâmer ceux qui en vaut la peine.
LA BIBLIOTHÈQUE PENSANTE un grand curieux que voilà. alceo s'intéresse à tout, lit beaucoup, enfermé dans la bibliothèque de la demeure familiale. au fil des années, sa tête est devenue comme un immense répertoire à connaissances d'où il peut tirer des répliques cinglantes.
L'HOMME DE VALEUR alceo c'est un homme honnête, un homme de parole qui ne fuit pas face au problème. courageux et loyal, il n'hésitera à se battre pour défendre des valeurs qui lui sont importantes. des injustices mâles cachées. alors alceo devient tempête, maître du sarcasme. mots violents, insolence non-domptée. alceo, il dit toujours ce qui lui passe par la tête, et parfois il s'emmêle.
L'HOMME DANGEREUX mais alceo il est dangereux, bancal et nocif. il aime le contrôle. manipuler afin que tous suivent ses intérêts. sur un jeu d'échec, ils ne sont que des pions pour lui. stratège et lucide, il en devient un excellent maître du jeu. alceo il est mauvais, faut pas s'en approcher si on veut pas s'brûler.
Love at first sight
l'amour, l'amour, l'amour, le maux de tout de le monde, de lui, de ce bourdon perdu et fatalement apeuré face à son étendue. il prétend ne jamais en vouloir, ne pas même souhaiter le contempler du coin de l’œil. personne ne l'aimera jamais, il en a eu conscience très tôt et s'est ainsi enterré dans la négation de tout amour. pour lui, aimer rime fatalement avec souffrance. ainsi, prétendant être heureux face à ce désert sentimental. sauf qu'elle est tombé comme ça. par hasard. alors qu'il se revendiquait être intouchable, être immunisée face à l'amour. pourtant elle est là,
elle. cette femme au coeur sensible, une déesse déchue. beauté enivrante, il ne peut se défaire de son regard de nature. il se noie dans l'élégance de cette femme admirable. qu'il aime, qu'il veut, qu'il désire. sans jamais rien faire. il est le seul à l'entraîner dans ce feu ardent qui brûle, qui croit, qui se nourrit d'elle, il le sait. sauf qu'il est têtu, acharné sur cette idée que son âme est écorché, qu'il ne pourrait pas toucher à l'amour. cette délivrance qu'il croit maladif. il n'en veut pas, pourtant elle est là. beaucoup trop dans sa tête, il veut l'enlever. mais cette lutte est vaine. il est déjà entaché.
Tu as grandi parmi les Santorelli. Une vie ennuyeuse est une maison bien trop grand pour ton petit corps frêle et mince de petit garçon. Pourtant avec le temps, tu avais réussi à l'apprécier, cet endroit. Parce qu'on s'habitue aux choses basiques. Les meubles étaient en marbre et les ustensiles de cuisine en or. Tu étais riche mais tu t'en fichais. « Alceo joue avec moi à cache-cache. » demanda ta sœur, Leo. Tu étais le benjamin de la famille, jeune encore. Et proche de ta soeur. Leo était une belle créature qui avait hérité de la beauté de sa mère et son père. Tu étais son aîné de deux ans mais tu la considérais comme une sœur jumelle. Elle voulait jouer à cache-cache, comme toujours, sauf que tu n'aimais pas ce jeu. Tu étais toujours le dernier. Le dernier à avoir été trouvé. Parce que ta cachette c'était la meilleure. Au début c'était bien parce que tu aimais gagné mais ça aussi ça devenait fastidieux. On s'en lassait de gagner toujours de la même façon. « Désolé mais papa a besoin de moi. » Mensonge. Mais elle n'y voyait que du feu parce que tu avais ce don pour faire croire n'importe quoi aux gens. Puis, elle te connaissait. Elle savait que tu adorais ton géniteur, que tu aimais passer du temps avec lui. « Papa, pourquoi le ciel est bleu ? Pourquoi la terre est ronde ? Pourquoi les gens pleurent ? Pourquoi nous ne comprenons pas les animaux ? Pourquoi je respire, pourquoi papa ? » T'étais un enfant aux questions innombrables déposant sur le visage de ton paternel un sentiment de savoir universel. Comme s'il détenait l'absolue vérité de toutes ces questions. Le monde était fou, un peu bancal et pourtant tes yeux crépitaient à l'entente des chants provenant des volatiles, à la vue du nuancier céleste et aux mille douceurs du vent. Et pour toi, ton papa avait la clé de l'univers entre ses mains. Il était grand et sage. Tel un héros que tu imaginais chaque soir avant de te coucher. Ton modèle vivant, conteur d'histoires enchantées. Tu lui vouais un culte parce qu'il était la représentation de cet aventurier du passé, le seul à connaître les secrets de ce monde. Ainsi qu'un bohème, tu voulais être comme lui. Sauveur du monde peut-être mais il était aveugle. Aveuglé par un amour à sens unique. Maman. Une belle femme, certes. Mais une peste, une actrice de pacotille qui ne le respectait pas. Fou d'elle, il ne voyait pas tout ce qu'elle faisait, toi si. Sauf qu'elle avait les mots, elle avait les arguments pour te faire taire. Te valant parfois quelques coups, quelques douleurs partiels mais tu étais ce gosse aux sourires rois qui se fichaient de tout, même de ses regards haineux et de la déception d'un père amoureux.
Tu es tombé dans le panneau. Comme un con. Tu as foncé tête baisser. Que dire de cette fille. Qu'elle était belle et terriblement intelligente. Qu'elle aimait Emile Zola et Mallarmé. Et Salinger. Et toi. Un jour qu'elle te mettait dans le même sac que tout ces gars et leurs œuvres. Tu lui demandais dans quel ordre elle nous classait. Elle sourit et dit : « alphabétique. » Sur le moment tu souris aussi. Aujourd'hui, tu te demande si sur sa liste tu figurais par ton nom -autrement dit à la traîne derrière Mallarmé – ou par ton prénom ce qui te permettait de te faufiler en tête de classement. Tu l'avais rencontrée à la bibliothèque. Ce jour-là, il y avait deux filles derrière le comptoir, une brune assez sexy et elle. Une blonde coiffée d'une queue de cheval et des lunettes sur les yeux, la parfaite sourie des bibliothèques. Tu préférais aller vers elle, plutôt que de sauter sur la brune sexy. Tu venais simplement chercher un livre. Mais elle, elle t'avait renvoyé chier. Prétextant que les gens de ta classe sociale pouvait se permettre de s'acheter ce genre de livre. Elle n'avait pas tord. Mais tu avais insisté. Parce que tu étais borné et que tu n'aimais pas l'idée qu'elle est gagnée. Ou peut-être étais-tu con. « Vous êtes con et riche. » m'avait-elle répondu après une longue conversation pondérée de reproches et de critiques. Sur ce tu lui répondais : « riche je veux bien mais, permettez moi de vous demander, pourquoi con ?» Tout simplement : « parce que vous ne m'avez toujours pas invité à prendre un café. » Sans gêne elle t'avait balancé ça, accompagné d'un sourire radieux. Que je vous explique pourquoi je l'avais emmenée prendre un café. C'était génial de capituler au moment crucial. C'est-à-dire de faire brusquement semblant d'en avoir envie. Car ainsi j'eus mon bouquin. J'eus 19 sur 20 à mon interrogation de astronomie. Soit exactement la note que tu donnais aux jambes d'Agathe quand elle sortit de derrière le bureau.
who i am wasn't good enough
Pseudo ; j'en ai pas réellement, telle un bohémien qui cherche sa route, mais lorsque je me fais appelé, on me nomme : semper eadem
âge ; j'suis jeune et innocente
.
pays ; francia .
fréquence de connexion/RP ; souvent (genre tout les jours quoi
).
bref avis sur le forum ; ajknfrejznfgrjeh -vous en faîtes beuguer mon ordi
.
comment l'avez-vous découvert ? une amie qui connaît mes goûts
.
un dernier mot ; j'vous love les fesses
.
Type de personnage : inventé