Ezio & Wilma.

Retrouvailles surprenantes. × ft. Ezio & Wilma

Il était treize heure quand Wilma sortie de son cours de littérature anglaise, son cours préféré. Bien qu'elle était Italienne et qu'elle adorait la littérature italienne, elle était passionnée par le talent des Anglais dans l'écriture, en particulier William Shakespeare qui inspirait énormément Wilma. La jeune femme salua son professeur et sortie de l'université. Elle avait terminé sa journée de cours, un grand soulagement pour elle. La jeune étudiante allait pouvoir étudier et faire ses devoirs qu'elle devait remettre pour la semaine prochaine. Si elle avait du poids sur les épaules? Oui, beaucoup, mais elle était mieux quand elle a de la pression. La jeune femme fonctionnait beaucoup mieux ainsi. Wilma marcha de longues minutes, regardant tout autour d'elle. C'était une journée magnifique à Vérone, alors elle voulait en profiter, mais son dilemme d'étudiante lui disait qu'elle devait faire ses devoirs et étudier. Elle avait un examen la semaine prochaine et elle devait vraiment l'étudier, puisqu'elle avait peur d'échouer, malgré que c'était en philosophie et qu'elle se débrouillait très bien dans cette matière. La jeune femme avait toujours de très bonnes notes, ce qui rendait ses parents très fiers. Wilma était heureuse de rendre ses parents fiers d'elle. La jeune femme avait l'impression de faire quelque chose de bien dans sa vie. Elle allait être diplômée de la plus prestigieuse université de Vérone et allait devenir une grande écrivaine. C'était son plus grand rêve.

Wilma continua de marcher, lorsqu'elle vit un petit café au coin de la rue. Comme elle avait ses livres de cours, elle décida que c'était l'endroit idéal pour aller étudier et pouvoir se concentrer. La jeune femme entra et alla faire la file, attendant que ça soit son tour. Wilma regarda alors ses messages sur son Iphone 6 et se fut alors son tour. Elle regarda le caissier, souriant doucement. « Salut. Je vais commander un café viennois, s'il vous plaît. » Elle passa alors une main dans ses cheveux bruns et donna ensuite la monnaie exacte pour payer sa boisson chaude. Depuis qu'elle buvait du café viennois, elle avait l'impression que sa vie avait changé. C'était tellement bon. Elle était véritablement devenue accroc à cette boisson caféinée. De plus, cela lui permettait de rester debout tard, afin d'étudier et de faire ses devoirs. Ce n'est pas toujours évident la vie d'étudiant. Elle pris sa boisson chaude et alla s'asseoir à une table. Alors qu'elle déposait ses livres et qu'elle but une gorgée de son café, elle vit un jeune homme entrer. Un jeune homme qu'elle reconnu immédiatement. Elle se figea sur sa chaise, ne pouvant pas s'empêcher de regarder le beau brun. Elle réussit à parler, après cinq minutes d'hésitation. « Ezio...? »

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when I see you again
wilma & ezio

une gueule de bois. une vilaine gueule de bois. tu t’es réveillé avec un mal de tête insupportable. une tronçonneuse dans le cerveau t’aurait fait le même effet. tu as joué au malin hier soir. sortir, boire, draguer. tu n’as pas réussi à t’arrêter. les verres se sont enchainés. les conneries aussi. mais tu es rentré seul. pas de coup d’un soir. pas de fille à jeter en pleine nuit. ça t’évite d’inventer une excuse bidon pour la faire dégager de ta chambre. t’émerges difficilement. tu veux te rendormir. oublier cette journée. attendre que la nuit passe et te réveiller demain. hiberner, ça c’est une bonne idée. tu ne veux pas faire face à tout ce qui t’attend aujourd’hui. tu refuses de voir ton père. tu sais déjà que votre rencontre va se limiter à des reproches. il va te demander pourquoi tu te pointes aussi tardivement, pourquoi tu as cette tête de déterré et pourquoi tu ne t’es pas occupé du dossier qu’il t’a donné il y a deux jours. tu sais déjà tout ce qu’il va te dire et tu ne veux pas. tu n’as pas envie d’entendre tout ça. ton téléphone sonne. tes sourcils se lèvent. tu hésites. puis tu tends le bras. sans surprise. ton paternel. rien que sa photo te donne envie de te recoucher. tu ne réponds pas. fais le mort, ezio. tu passeras pas du tout pour un lâche comme ça. huit appels en absence. autant de messages vocaux. ton père va te tuer. sauvagement. ta tête retrouve ton coussin. tu grognes. pas le choix. il faut que tu l’affrontes. plus tu attends, plus ta mort sera douloureuse alors autant aller maintenant au bûcher. tu te lèves, tu te douches et tu t’habilles. il est plus de treize heures. tu as loupé toute la matinée. tu aurais dû te pointer aux bureaux armani ce matin à huit heures. tu as juste cinq heures de retard. pour toi ça passe, pour ton père c’est inacceptable. tu sors de la villa. une villa vide. ils sont tous en cours. eux, ils ont une vie qui tient encore la route. toi la tienne, tu as l’impression que tout part en vrille. tu perds tout. petit à petit. tout ça à cause de ce foutu empire que tu dois te trainer sur le dos. tu demandes à ton chauffeur de t’arrêter en ville. tu as besoin d’un café et de quelque chose à manger. ce serait une mauvaise idée de faire une crise d’hypoglycémie devant ton paternel, il serait capable de te laisser mourir. tu ouvres la porte du café. encore un peu dans le brouillard. pas très bien remis de ta nuit. tu passes ta main dans tes cheveux. tu ne t’es pas coiffé. tu ressembles à rien. ton père aura honte. il cherchera à faire quelque chose de soigné de ta touffe. tu t’avances vers le comptoir. tu commandes un café. sans sucre, sans crème. juste de la caféine pure. dans l’espoir de te réveiller, de retrouver tes esprits. puis une voix t’interpelle. ton prénom appelé. tu te retournes. des yeux verts. un sourire étincelant. wilma. ça fait longtemps que tu ne l’as pas vu. tu attrapes ton café et t’approches d’elle. elle est belle. toujours aussi rayonnante. « Wilma ? Ca fait.. longtemps. » tu émerges encore. tu n’arrives pas à compter les années. tu ne sais plus depuis quand tu ne l’as pas vu. alors tu ne comptes pas. « Tu vas bien ? Tu fais quoi maintenant ? » ouai, tu sais pas. tu n’as pas pris de nouvelles. mais elle, par contre elle a dû t’avoir vu dans les journaux. ton visage placardé en une avec ton nouveau statut d’héritier. ô joie.

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Retrouvailles surprenantes. × ft. Ezio & Wilma

Wilma était sous le choc. Après tant d'années, elle revoyait Ezio, le petit garçon qu'elle avait aimé était devenu un jeune homme, toujours aussi beau, malgré le fait qu'on avait l'impression qu'il avait la gueule de bois, mais elle ne le dit pas. C'était mieux ainsi. Elle ne voulait pas mettre le jeune homme en colère. La belle brune se rappela la première fois qu'elle avait rencontré Ezio. Il n'avait que huit ans et il était en colère, du fait d'avoir été adopté n'avait pas été facile pour lui, mais Wilma avait réussi à le calmer et ils avaient passé de beaux moments ensemble, mais ils se sont éloignés et viennent tout juste de se retrouver. La jeune femme regarda toujours Ezio dans les yeux, souriant doucement. « Oui, ça fait très longtemps. Je suis heureuse de te voir, après tout ce temps. »

La jeune femme passa une main dans ses cheveux bruns, buvant une autre gorgée de sa boisson chaude. Même si cela faisait très longtemps qu'elle ne l'avait pas vu, la jeune femme avait lu des choses sur lui dans les magazines et ce genre de chose, mais elle ne croyait pas tout ce qu'on disait. La jeune femme préférait croire les gens qu'elle connaissait que les inconnus. C'est ses parents qui lui ont appris cela et s'est restée ancré en elle. La jeune femme regarda toujours Ezio qui la regardait aussi. Il avait toujours le même regard, le regard qui l'hypnotisait, qui la faisait sourire constamment pour aucune raison. « Je vais très bien et toi alors? Oh, pas grand chose, Je suis étudiante en littérature à l'université et toi alors? Ça va bien le foot? »

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when I see you again
wilma & ezio

tu as encore la tête dans les choux. tu n’y vois pas très clair. ton mal de tête toujours aussi présent. tu te sens minable. tu ne devrais pas te mettre dans des états pareils. mais bizarrement c’est la seule envie qui te prend quand tu sais que le lendemain ton paternel t’attend pour enchainer les réunions. t’es gêné, mal à l’aise de rencontrer quelqu’un que tu connais. tu aurais préféré te faire discret, baisser la tête et arriver aux bureaux de l’empire sans croiser personne. ton chemin de croix, de honte, de gueule de bois tu l’aurais fait dans ton coin, seul. sans que personne ne puisse te juger. ça aurait été idéal. mais trop beau. parce-que rien ne se passe comme tu l’as décidé. c’est bien connu, tu devrais être habitué depuis le temps. tu sais bien qu’il t’arrivera toujours quelque chose. une nouvelle merde qui te tombe sur le nez pour t’enfoncer un peu plus. ton café à la main, tes yeux qui se posent sur la jeune fille qui t’a appelé. tu aurais pu te retrouver face à n’importe qui. un sorabella dans le pire des cas. mais la chance semble être de ton côté aujourd’hui. pas d’ennemi en vue. juste la belle et douce wilma. elle te sourit légèrement. « Oui, ça fait très longtemps. Je suis heureuse de te voir, après tout ce temps. » tu ne réponds pas. oui ça fait très longtemps. tu ne sais plus. c’est toi qui a coupé les ponts. enfin vous vous êtes perdus de vue et tu n’as jamais cherché à reprendre contact. t’es con, ezio. wilma c’est une perle, un petit bijou dont il faut prendre soin. « Je vais très bien et toi alors? Oh, pas grand chose, Je suis étudiante en littérature à l'université et toi alors? Ça va bien le foot? » tu bois une gorgée de ton café. tu esquisses un sourire. charmeur. elle illumine ta matinée et elle ne s’en rend probablement pas compte. « Je vais arrêter ma carrière dans le foot pour me consacrer entièrement à l’entreprise familiale. » tu essayes de ne pas montrer ton dégoût quand ces mots franchissent tes lèvres. tu n’en as absolument aucune envie mais tu n’as pas le choix. il faut que tu te fasses une raison. « D’ailleurs je vais en retard. Ca te dit de m’accompagner jusque là-bas ? On pourra discuter. » tu n’as pas envie d’y aller mais tu te dis que si wilma t’accompagne, le trajet sera toujours un peu plus agréable.

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Retrouvailles surprenantes. × ft. Ezio & Wilma

Wilma ne se rappelait même plus de la dernière fois qu'elle avait vu Ezio. Cela faisait tellement longtemps. Elle ne savait même pas pourquoi ils avaient arrêté de se parler. Ezio avait ses choses à faire et la jeune femme aussi, mais ce n'était pas une bonne raison pour qu'ils arrêtent de se voir. Toutes les raisons sont mauvaises. Il n'y a que des excuses bidons, mais, cela personne ne le dira. La jeune femme aurait aimé reprendre contact avec le jeune homme, mais elle ne voulait pas le déranger et ne voulait pas avoir l'impression qu'elle était un fardeau pour lui. Cette simple pensée la rendait triste, mais elle faisait semblant que ça ne se voit pas. C'était beaucoup mieux ainsi et, de toute manière, elle le revoit, alors tout va mieux dans le meilleur des mondes. Ezio doit avoir vécu énormément de choses depuis la dernière fois. Wilma aussi, mais ce n'est pas aussi extraordinaire. Elle a continué à mener sa petite vie sans problème, devenant une étudiante en littérature et passant du temps avec sa famille et ses amis, rien de bien compliqué en soit. La jeune femme passa une main dans ses cheveux bruns, buvant une gorgée de sa boisson chaude. Elle se demandait bien pourquoi Ezio était dans cet état. Il avait probablement fait la fête la veille, ce qui est normal pour les jeunes de son âge, mais elle sait qu'il vient d'une famille très influente de Vérone et qu'il doit faire attention. Il doit probablement avoir des problèmes, mais Wilma ne le sait pas et ne le saura probablement jamais. « Oh, c'est vrai? Tu es heureux de ta décision? »

Quand ils se sont rencontrés, Wilma était capable de lire en Ezio comme dans un livre ouvert, mais cela faisait tellement longtemps qu'ils ne s'étaient pas vus que ce n'était plus le cas. Elle était incapable de le déchiffrer et elle le connaissait quand même bien. Elle savait qu'il n'allait pas se confier facilement, alors cela allait prendre du temps, mais Wilma n'abandonne jamais aussi facilement. « Bien sûr, avec plaisir. » Wilma sourit doucement et sortie du café avec Ezio. Sachant qu'il est extrêmement connu, les gens allaient probablement se poser des tas de questions sur la jeune femme qui marche avec lui. Les gens ont le don d'inventer des rumeurs sur tout et n'importe quoi, mais Wilma ne veut pas embarquer dans ce petit jeu. Ce n'est pas pour elle. La jeune femme continua de marcher en la présence de son ami, le regardant de temps en temps. « Sinon, quoi de nouveau? »

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