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come on to me now (Cesar)
Dim 5 Fév - 2:35


Going under cast
a spell just say the word


Tu jettes ton téléphone sur le lit dans un soupir. Face à ta penderie, les yeux dans le vide. Tu ne sais ce qu’il t’a pris accepter ce rendez-vous stupide. Vraiment par moment tu ne te comprends pas toi même. Ce mec t’en a strictement rien à faire en plus mais ça des jours qu’il insistait pour aller boire un verre, alors t’avais fini par céder. Un verre, un simple verre tu savais que tu allais le remballer de toute façon. Ton téléphone émet un son, le son de /Love. Tu le prends et tu souris. Cezario. C’est avec lui que t’as envie d’aller boire un verre, pas avec un autre. Tu te mords la lèvre. Et si, et si ce Cezario n’était pas, ton Cezario, celui que t’avais rencontré en France. Pourtant ça ne peut être que lui, tu le reconnaîtrais entre mille même après un an, tu en étais quasiment certaine. Qui est ce que ça pourrait bien être d’autre hein. Tu lui dis que tu sors boire une verre avec quelqu’un. Tu ne lui dis pas que tu aurais préféré y aller avec lui. Même si t’en meurs d’envie. Tu poses ton téléphone et tu prends une petite robe noire aux manches en dentelle et tu l’enfiles en vitesse parce que évidemment tu n’es pas en avance. Il allait attendre tu t’en foutais tant pis pour lui. T’allumes une dernière cigarette que tu fumes en finissant de te préparer. T’as lu qu’il ne supportait pas l’odeur du tabac, au moins ça l’empêcherait peut-être de tenter quoi que ce soit. Dans tous les cas il n’avait pas intérêt à tenter quoi que ce soit.

Qu’est ce que tu foutais là. Le bar était pas mal rempli pour un début de soirée et tu avais déjà envie de faire demi tour, de prendre à une gastro fulgurante. Un homme qui ressemblait que vaguement au photo de son profil se sourit et semblait se lever pour venir dans ta direction. Trop tard. c’était foutu. Si tu voulais l’éviter c’était trop tard. Tu savais que tu aurais du venir en jean et t-shirt trop large ça l’aurait peut-être refroidi. Tu soupires discrètement et lui rend un sourire poli.  « … Et donc t’en pense quoi ? » Oh merde il attendait une réponse sauf que tu n’avais rien écouté. Strictement rien. c’était pas ta faute il était chiant comme les pierres. Tu m’étonnes qu’il ait peu de relations personne ne peut tenir plus d’une soirée, c’était impossible. Il fallait que tu répondes quelque chose n’importe quoi et que tu arrives à te barrer parce que sinon tu allais lui balancer ton verre à la gueule. « Euh .. Ouais c’est génial! » Il fronça les sourcils. Là tu compris que c’était pas du tout la réponse qu’il attendait mais t’en avais rien à foutre. « Je vais me chercher un verre, tu veux quelque chose ? » Il secoua la tête pour me dire non. Son verre était à moitié plein. Tu lui souris avant de te lever. Libération. Tu regardais ta montre une trentaine à peine s’était écoulées. t’avais envie de te tirer une balle. Vraiment. T’avais l’impression que tu étais restée assise au moins deux heures à l’écouter déballer sa vie aussi inintéressante qu’un poisson dans un aquarium. T’avais sans doute jamais eu autant besoin d’un verre à ce moment précis. T’avançais donc rapidement vers le bar. « Une Vodka martini s’il vous plait » Le barman acquiesça. Tu n’avais aucune envie de retourner à la table où le mec dont tu n’avais même pas retenu le nom devait t’attendre alors tu t’accoudas au bar en attendant ton verre. Et puis sans que tu saches pourquoi ton regard balaya l’espace autour de toi. Et puis tes yeux se posèrent sur une silhouette que tu ne pensais pas voir là, pas ce soir, pas maintenant, que tu ne pensais jamais revoir il y a encore un mois ou deux. Ton coeur loupa un battement. Et tu n’arrivas pas à réprimer un léger sourire. Il était là, aussi beau et aussi hypnotique que dans tes souvenirs. César. Ok tu devais te calmer. Maintenant. Le Barman te servit ton verre et tu pris une longue gorgée. Respire Eury.
roller coaster
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Re: come on to me now (Cesar)
Dim 5 Fév - 10:55



COME
ON TO
ME NOW.

Le voyage de retour lui avait laissé un méchant jetlag mais le producteur avait l’habitude de ce genre de décalage, la clé, qu’il disait, c’était de ne pas se laisser avoir par le sommeil, de rester éveiller jusqu’à l’heure du couché de la nouvelle région. Plus facile à dire qu’à faire cependant. Le jeune trentenaire était vautré dans son lit, les volets baissés à tenter de chasser sa migraine affreuse qui pointait le bout de son nez lorsque son téléphone vibra. C’était /LOVE. Il étira son bras et attrapa son petit bijou de technologie pour lire la notification et lâcher un léger sourire en voyant le correspondant. C’était elle. Mais ses sourcils se froncèrent lorsqu’il lut le message. Un sentiment de possessivité et de jalousie naquit dans ses tripes. Elle sortait ? Avec un autre homme ? Même si le garçon n’était pas sûr que c’était la femme de Paris, il ne pouvait s’empêcher d’avoir l’impression qu’elle lui appartenait. Parce qu’ils s’entendaient trop bien, parce que même lorsqu’il était à l’autre bout du monde, c’était avec elle qu’il avait envie de parler et non pas avec celle qui était son épouse depuis cinq ans maintenant.

Cesar se redressa immédiatement pour se décider en un éclair. Impossible de la laisser aller à ce rendez-vous sans y mettre son grain de sel. Et le producteur serait enfin fixé sur l’identité de la mystérieuse mais non moins délicieuse  forgotten_desires. L’homme attrapa le premier vêtement venu. Un jean bleu ainsi qu’une chemise rouge foncée agrémenté d’un veston bleu. Il se gratta la barbe un moment devant la glace, l’estomac étrangement noué par les possibles retrouvailles avec Eurydice. Ce ne devait être qu’une nuit sans lendemain mais la possibilité de la revoir encore l’enchantait. Elle avait laissé une marque indélébile dans son âme. Cesar n’était pas homme à tromper son épouse même avec leur relation actuelle, elle avait été la première et la dernière. Il eut un sourire, l’ours bourru avant d’attraper une veste de costume et de sortir après avoir subtilement demandé l’adresse du bar où se rendait la belle blonde.

Les rues étaient fraiches mais l’homme ne s’en souciait pas, il rentra tête baissé dans le bar pour s’y installer et commander un whisky sec sans glaçon. Ses yeux observèrent la salle et enfin, il trouva l’objet de ses désirs, de ses attentions. Elle était bien là, c’était vraiment elle. Eurydice. Il eut un sourire nettement plus franc alors qu’il avala cul sec son verre, en commandant un autre tout en détaillant l’homme assis en face de la belle demoiselle. Il semblait aussi ennuyeux que les pierres. Lorsque Cesar vit la jeune femme se lever, il se tourna vers le barman, faisant mine de n’être qu’un simple client et non pas un pseudo espion par pure jalousie. Mais, il se connaissait. Il ne résista pas bien longtemps avant de se tourner vers elle et de lui sourire, levant son verre avant de boire une gorgée.

Le producteur s’approcha finalement de la silhouette fine et la salua d’un signe de la tête, s’arrêtant juste à côté d’elle. « Soirée ennuyeuse ? Tu aurais dû me demander, je t’aurais invité, Forgotten_desires. » Un léger clin d’œil puis un sourire, il désigna le verre de la belle au barman pour signifier qu’il l’invitait puis Cesar s’installa sur le tabouret du bar, l’invitant à faire de même. « Tu permets que je te kidnappe pour te secourir de ce type banal ? » Un nouveau sourire, il était bien loin l’ours bourru avec elle. Cesar avait envie de se faire charmeur, presque aimant. Elle n’avait pas besoin de rejoindre ce type après tout. Il y avait nettement mieux juste sous ses yeux et à voir les étoiles dans les prunelles de la belle demoiselle, il ne se trompait visiblement pas le moins du monde.

EXORDIUM.
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Re: come on to me now (Cesar)
Dim 5 Fév - 14:57


Going under cast a spell just say the word

Il s’avançait vers toi. Et tu le regardais faire parce que tu étais incapable de détacher ton regard de lui. L’espace d’un instant même tout paraissait presque irréel. Pourtant c’était bien lui. Cesar. Celui qui était resté dans tes pensées depuis presque an. Cette histoire sans lendemain que tu pensais qui allait être comme toute les autres mais qui fut comme aucune autre. Et il était là, en train de te rejoindre, ce soir-là.  « Soirée ennuyeuse ? Tu aurais dû me demander, je t’aurais invité, Forgotten_desires. » Sa voix t’arracha un frisson qui parcouru ton dos.Incontrôlable.Un léger sourire apparu sur tes lèvres. La soirée promettait de prendre une tournure bien plus intéressante maintenant qu’il était face à toi. T’essayais de rester le plus neutre possible. Tu ne voulais pas montrer qu’intérieurement il venait de te retourner l’estomac et que tu avais envie d’exploser de joie. La trop longue gorgée de vodka martini à jeun n’aidant pas forcément à rester totalement neutre. Tu savais que tu aurais dû manger un morceau avant de partir au lieu de te bouger pour ne pas être trop en retard.

« On est samedi soir, je pensais que tu serais occupé »T’avais répondu après avoir relevé les épaules, presque innocente après tout tu ne savais pas ce qu’il faisait de ses samedis soirs. Tu ne savais pas grand-chose de lui même en y réfléchissant deux secondes. Mais t’aimais ce mystère qu’il dégageait, parce que t’avais envie d’en apprendre tellement sur lui. Ouais t’aurais pu rester une soirée, à l’écouter sans en perdre une miette. D’un coup de tête tu désignas la table où tu te trouvais quelques instants avant. « Et puis il était un peu insistant, un verre c’est pas grand-chose, non ? » Tu lui souris en coin un peu amusée.  Bon ok l’autre garçon avait été carrément lourd depuis plusieurs et t’avais accepter pour qu’il te fiche enfin la paix. Le beau brun en revanche n’était pas obligé de le savoir. T’avais même cru voir une légère pointe de jalousie mais tu n’en étais pas sûre. « Tu permets que je te kidnappe pour te secourir de ce type banal ? » T’aurais voulu lui dire qu’il pouvait bien t’emmener où il voulait, y’avait peu de chance pour que tu refuses. Mais tu te retins. Tu n’allais pas baiser les armes pas aussi facilement. Pas maintenant. Pas tout de suite. Non tu te contentas d’un léger rire avant de répondre. « Tant que je me retrouve pas avec une cagoule sur la tête et à l’arrière d’un van noir, je pense que tu ne peux rendre ma soirée que meilleure. » Tu assis donc sur la chaise à côté de lui. Plongeant ton regard dans le sien. Tu laissas tes yeux, le détailler lentement et tu te rendis compte qu’il t’avais manqué bien plus que tu l’avais pensé. Il avait quelque chose qui t’apaisait quelque chose qui faisait que t’étais bien quand t’étais avec lui. Et tu savais que la soirée allait être meilleure. Tu regardas une dernière fois vers la table où tu étais quelques minutes avant. Le jeune homme attendait encore commençant à regarder un peu autour de lui. Le pauvre. Il pouvait bien attendre. Tu ne risquais pas d’y retourner.  « J’espère que tu n’as rien annulé ou loupé pour me sauver la soirée, je m’en voudrais sinon» Tu attrapas l’olive dans ton verre pour la manger sans le quitter des yeux. Tu t’en voulais tout était relatif, on lui avait peut-être posé un lapin et il était passé au bar. T’en savais rien. Tu pris une nouvelle gorgée de ton verre, plus petite celle-ci. La vodka martini à jeun n’avait pas été la meilleure idée de la soirée.
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Re: come on to me now (Cesar)
Dim 5 Fév - 15:51



COME ON
TO ME
NOW.

Eurydice était réellement comme dans ses souvenirs. Le jeune homme aurait pu la dessiner sans le moindre souci tellement il se rappelait des traits de son visage, des courbes fines et délicieuses de son corps. Mais ça, il se garda bien de lui dire que même au bout d’un an, elle avait laissé une trace indélébile qu’il avait même été jusqu’à l’encrer sur sa peau cabossée par les années de combats. Une simple lettre cachée derrière son oreille droite. Un magnifique E majuscule qu’il cachait jalousement comme si ce souvenir n’appartenait qu’à lui, que personne ne méritait de le voir. Sauf peut-être elle, celle qui représentait la tentation, l’essence même de sa tromperie passée. Un an déjà. Un an et elle était toujours aussi belle, aussi envoutante. Un léger sourire fendit son visage en l’entendant, ses yeux bruns ne quittant pas un instant les traits de la belle succube. « Pour le savoir, il aurait fallu le demander, tu sais ? » Une petite pique, très légère mais déjà, il portait son verre à sa bouche, avalant une petite gorgée d’alcool ambré qui brûlait son palais et anesthésiait son esprit peu à peu.

Il la laissa s’installer comme elle le souhaitait, fronçant les sourcils qui montrèrent des rides juste au-dessus de son nez. Cesar ne dit rien mais sa main serra un peu plus fort le verre comme pour canaliser l’envie qu’il avait d’aller voir cet homme bien trop insistant avec ce diamant brut qu’était Eurydice. Les autres ne méritaient clairement pas d’avoir la possibilité de lui faire cette demande mais, contre toute attente, sans doute pour ne pas effrayer la demoiselle, il ne bougea pas, se contentant de hocher la tête, de tenter de calmer son envie d’en mettre une belle au pauvre sot qui venait de perdre la compagne de soirée. « J’aurais dû me montrer insistant pour avoir ce privilège également ? » Un léger rire, il savait parfaitement que la jeune femme lui aurait dit oui sans hésiter, ça se voyait. Elle venait d’abandonner un inconnu pour venir passer le reste de sa soirée avec lui, l’amant d’un soir, le souvenir du sud de la France. Entendant finalement la réponse à sa question, Cesar ne put s’empêcher de rire légèrement à l’écouter. Un étrange sourire barrant alors son visage bourru. « S’il n’y a que ça pour te faire plaisir, ça peut s’arranger, tu sais ? »

En était-il capable ? Oui, s’il était certain qu’Eurydice ne dirait rien en le voyant. Mais c’était amusant de voir comme elle partait directement dans ce genre de délire. Il but une nouvelle fois sa commande avant de repousser son verre vide pour avoir le même auprès du barman qui les observait du coin de l’œil, visiblement intrigué par leur échange. Levant ses yeux bruns vers ceux de sa belle compagnie, Cesar se gratta la barbe avant de soupirer et de hausser les épaules. Risquait-il de lui avouer que sa soirée n’était censée être occupée que par le repos du guerrier et par ce méchant Jetlag qui lui paraissait bien loin à l’heure actuelle ? « Tu veux la vérité ou le mensonge ? » Il fit une légère pause avant de reprendre, attrapant son verre maintenant rempli entre ses doigts musclés. « J’avais prévu de me reposer en fait. Je reviens de Chine et je t’avoue que le décalage est plutôt violent. Mais après avoir eu ton message, j’avais plutôt envie de m’assurer que ce type ne te ferait rien de… Fâcheux pour lui. » Un nouveau sourire, une nouvelle gorgée de whisky puis il haussa à nouveau ses épaules cachés par sa veste de costume.

Le producteur lança un regard vers la table où se trouvait le pauvre bougre qui venait de se faire poser un lapin puis il eut un sourire amusé avant de se lever, le verre à la main, l’autre tendue vers Eurydice. « Allons à une table un peu plus loin, tu veux ? Je n’ai pas envie de voir ce type débarquer sans prévenir en beuglant comme un veau. » Il soupira légèrement avant d’entraîner sa compagnie et amante dans un coin un peu éloigné du bar, commandant un petit en-cas pour ne pas rester à jeun et fatigué avec de l’alcool dans les veines. Il tira la chaise pour installer la jeune femme avant de s’attabler en face. L’homme leva son verre et trinqua avec celui de la belle demoiselle. « A nos retrouvailles, magnifique charmeuse. Et au hasard des choses. »

EXORDIUM.
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Re: come on to me now (Cesar)
Dim 5 Fév - 21:25


Going under cast a spell just say the word

T’étais retournée dans l’hôtel où tu l’avais rencontré le bel italien. Quelques mois plus tard avec des copines, parce qu’elles voulaient aller faire la fête dans le sud de la France à la fin de l’été, elles avaient insisté et t’avais fini par accepter, après tout tu n’étais jamais contre partir pour boire tout un week-end. L’hôtel t’avais donné la même chambre qu’à l’époque. Votre chambre. T’avais failli en demander une autre et puis t’avais renoncé. Rien n’avait changé. Ça t’avais retourné le bide. Parce que t’avais l’impression de sentir encore son odeur, t’avais l’impression qu’il allait sortir de la salle avec un sourire, son sourire. Celui qui t’avais fait fondre quand tu l’avais vu la première fois. Mais non il n’était pas sorti de la douche et tu avais été résolument seule dans cette chambre. Ca a sans doute été la première fois tu as vraiment senti qu’il te manquait beaucoup plus que tu le pensais, beaucoup plus que tu voulais bien te l’avouer. Pendant ce week end là, tu n’avais ramené personne dans ta chambre. Tu n’avais pas pu. T’aurais eu le sentiment de souiller quelque chose. t’avais pas beaucoup dormi non plus. Les yeux fixés sur le mur à coté du lit, là sous le tableau t’avais marqué vos deux noms cette nuit là. l’inscription y était toujours. Et aujourd’hui tu te trouvais face à lui de nouveau dans ce bar. Le hasard faisait bien les choses. Il marquait un point. Tu aurais pu lui demander. Pourquoi tu ne l’avais pas fait ? La peur d’être déçu peut-être, de voir que ce n’était pas celui qu’elle avait cru. Alors non elle n’avait rien demandé. Elle le regrettait un peu à présent. «  AH AH mais oui j’aime tellement les gros lourdos qui grattent tant qu’ils peuvent. ça et les merdes de chiens dans la rue ouais, ma grand passion dans la vie » C’était ironique bien évidemment. Mais lui, ça n’avait rien à voir, pour lui tu aurais été capable d’être la parfaite stalkeuse. Tu aurais pu être ce genre de fille chez qui il savait qu’il pouvait faire ce qu’il voulait quand il voulait et partir sans demander son reste. Un putain de Kleenex. Parce que tu le savais, que t’étais incapable de lui dire non. Mais tu joues à la fille détachée et qui plaisante, tu essais de faire comme tu fais avec les autres, ceux qui ne comptent pas, ceux que tu ne rappelles jamais ou que tu oublies parfois mais avec lui, avec cet homme, t’as l’impression qu’il arrive à voir quand tu caches ton jeu.  

« Tu veux la vérité ou le mensonge ? » tu te mis à rire doucement mais t'espérais que sa question était plus rhétorique qu'autre mais tu n'eus pas le temps de répondre quoique ce soit qu'il avait déjà repris.  « La chine ?! Oh j’avais tellement aimé, quand j’étais enfant. Tu dois avoir un sacré jetlag effectivement. T’étais là-bas pour affaire ou en vacances ? » ça te gênait un peu quelque part qu’il soit venu, parce que pour avoir connu de trop nombreux jetlag, t’étais généralement une épave pendant un ou deux jours après ton arrivée.  « Tu sais ...j’ai pas l’air mais je suis une grande fille, je saurais su me défendre…  » Bravo. Tu viens de lui dire que t’avais pas vraiment besoin de lui. Championne du monde. « Enfin je veux dire, j’aurais passé une soirée naze c’est tout, il ne se serait rien passé » Manquerait plus qu’il pense que tu donnes ton cul à n’importe qui. Alors que pas du tout. Vraiment pas. « mais je suis contente que tu sois venu ». Ouais. contente jolie euphémisme hein. T’avais pris  la main qu’il te tendait afin de le suivre. Tu l’avais serré presque malgré toi. Comme pour être sur qu’il était là, que t’hallucinais pas. Le contact de sa peau était chaud et réconfortant, tu n’aurais jamais voulu la lâcher. Ton verre dans l’autre main tu pris une nouvelle gorgée. Tu croisas le regard du pauvre mec, seul, un petit sourire hautain se nicha entre tes lèvres avant de détourner les yeux. Ton compagnon te lâcha la main pour que tu puisses t’asseoir. Tu avais presque oublié à quel point il était attentionné. Tu levas ton verre vers lui en retour. « A nos retrouvailles.En espérant avoir cette fois, plus qu’une seule soirée » Tu lui lanças un clin d’oeil en finissant ton verre. Une vague légère de chaleur dû à l’alcool t’envahit. Tu t’adossas à la chaise sans le quitter des yeux. Machinalement tu te mordis la lèvre inférieure quand tu te rendis compte que tu avais mille et une question qui se bousculaient dans ta tête. Pourquoi il était parti, il y a un an, sans un mot. Pourquoi est ce qu’il n’était jamais parti, de ta mémoire. Pourquoi lui. Pourquoi maintenant. t’avais peur de sa réponse, peur de lui faire peur, peur qu’il parte encore et que cette fois tu ne le revois vraiment plus. « Je… Je n’aurais jamais cru te revoir ici, enfin à Vérone » T’avais posé ta main sur la sienne, le sourire aux lèvres, comme pour te rassurer te dire qu’il ne partirait pas.
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Re: come on to me now (Cesar)
Sam 11 Fév - 15:32



COME ON
TO ME
NOW.

Depuis cette fameuse soirée, Cesar n’avait pas remis les pieds en France. Pas le temps, plus tellement l’envie également. Il aurait eu comme l’impression de vouloir briser le charme de la nuit passée avec la magnifique jeune femme qu’il avait retrouvé totalement par hasard sur un réseau social de sa chère et tendre ville. Ca aurait été étrange de retourner là-bas sans elle. Surtout que son épouse lui demandait depuis quelques temps maintenant d’aller visiter le sud de ce pays dont la gastronomie n’était plus à faire. Alors, il retardait toujours l’échéance, se disant qu’au pire il louerait une autre chambre d’hôtel pour ne pas avoir le souvenir qui planerait sur lui de la seule nuit où il avait rompu la promesse de ce mariage qui malgré tout battait sérieusement de l’aile. Il esquissa un sourire en l’entendant parler de ce type qui visiblement l’avait eu à l’usure. L’homme vêtu de sa tenue décontractée eut un rire même au vue de la comparaison avant de secouer la tête et de hausser les épaules. « Je pourrais presque le plaindre au vue de la comparaison, tu sais ? J’espère que tu ne penses pas pareil de tout le monde. » Il se redressa un peu, chassant bien vite l’idée qu’elle pensait la même chose de lui sinon elle ne serait certainement pas ici.

Ecoutant la réponse à ce qu’il venait de lui avouer, l’italien eut un léger rire avant de l’observer un peu plus, essayant de percer à jour ses pensées qui semblaient bien floues surtout pour un homme comme lui qui avait énormément de mal à comprendre les femmes. « Il faudrait que je t’y emmène la prochaine fois. C’était pour le travail, bien sûr. Je ne prends que très peu de vacances. Quelques jours dans l’année et encore. » Pour les passer avec qui ? Cette femme qui refusait obstinément de lui lâcher la grappe. Il eut un léger soupire en songeant à cela avant de l’écouter à nouveau et de froncer les sourcils, laissant bien entendu la belle demoiselle se dépatouiller toute seule. « Je sais que tu peux te défendre. Mais je me disais que peut-être, avoir un grand mâle viril à tes côtés pouvait te plaire. Voir te détendre comme la dernière fois. » Première allusion à cette fameuse fin de soirée qu’ils avaient passés ensemble en France. Puis, ils s’installèrent à table et portèrent un toast. Celui de la belle Eurydice le fit franchement sourire, il hocha vivement la tête avant de trinquer et de boire une gorgée de son verre. Cesar embrassa la salle d’un regard rapide avant de river ses yeux vers sa compagne, lui apportant toute son attention. « Moi non plus, je dois t’avouer. Je ne savais pas que tu vivais ici aussi sinon je me serais manifester avant. » Attrapant les doigts de la jeune femme dans les siens, il joua un peu avec sa main puis la garda dans la sienne, large et chaude bien qu’un peu calleuse à cause de la boxe.

« Que dirais-tu si nous commandions à manger ? Sauf si tu préfères qu’on aille dîner ailleurs. Ou que je te laisse comme la grande fille que tu es. » Un léger rire moqueur se dessina sur ses lèvres alors qu’il but une nouvelle gorgée de son alcool avant de poser le verre et de s’adosser sur le dossier de la chaise. Celle-ci craqua mais il ne s’en formalisa pas le moins du monde, bien trop occuper à se rappeler presque à la perfection du visage d’Eurydice et de la palette d’émotions qu’elle pouvait lui offrir. Elle était magnifique, pile comme dans ses souvenirs les plus softs. Cette pensée lui arracha un sourire charmeur, se disant que la vie était décidément bien surprenante, un vrai délice.

EXORDIUM.

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Re: come on to me now (Cesar)
Sam 11 Fév - 23:50


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Alors qu’il te demandait si tu comparais les mecs tous de la même façon tu secouas négativement la tête. Même si au fond tu pouvais ranger pas mal de personne dans cette catégorie là. C’était différent avec César. En bien mais c’était différent. t’étais pas cette fille confiante et sure d’elle, celle qui fixait les limites et qui contrôlait la situation. Non t’étais pas comme ça avec lui. t’étais débile. Une ado in love de son premier mec. Sauf que des mecs t’en avais connu des tas et l’amour t’y croyais sans y croire parce que c’était plus simple de finir au pieu avec un bel inconnu et un verre de trop pour finalement se barrer le lendemain matin. Oui parce que comme ça tu pouvais jouer à la fille forte qui n’avait besoin de personne et pas de mec. T’as toujours réussi à te blinder. Et puis il est arrivé, lui et sa gueule cassé et t’as eu le temps de te blinder. Et toute ces certitudes débiles que t’avais, commençaient à s’effriter alors que ton regard chocolat détaillait chaque parcelle de sa peau.

En chine. Est ce qu’il était vraiment sérieux ? Est ce qu’il avait dit ça comme ça ? Tu n’avais préféré pas relevé. L’espace d’un instant tu te demandas s’il l’avait dit ce genre de choses à beaucoup d’autres filles que toi. Peut être des dizaines. Qu’est ce qui te disait que tu n’étais pas plus que la énième fille qu’il accostait dans un bar. Tu préférais chasser cette idée, ne pas y penser, ne pas l’envisager. Parce que cette éventualité te crevait le coeur.
Tu te mis à rire doucement quand il parla plus ou moins subtilement de votre précédente soirée. Bien sûr que ça pouvait te plaire, ça te plaisait même beaucoup mais tu ne laissas rien paraître ou presque. Simplement ta main dans la sienne qui caressa sa peau presque inconsciemment alors que l’instant d’après tu étais à la table face à lui. « Je ne suis pas là depuis très longtemps, je dois te l’avouer une dizaine de mois pas plus et puis je pense pas que tu traînes beaucoup dans les boites de Vérone » Parce que la plupart de tes soirées ou week-end se terminaient là-bas parce qu’en dehors de ça tu bossais pour finir tes études ou tu donnais des cours de yoga à des italiennes un peu trop riches, ça te payait au moins tes clopes et tes bouteilles. Tes doigts jouaient doucement avec la paume de sa main alors que tes yeux, eux,  se baladaient sur son corps musclé te remémorant chaque détail de sa peau. Un frisson parcouru ton dos avant que tu te concentres sur ce qu’il disait.  « Non non commandons ici c’est parfait. Je vais pas me faire prier si tu es attendu nulle part, je préfère manger avec un homme viril en face de moi, cas où, on sait jamais, si je bois trop tu pourras me ramener jusqu’à chez moi » T’avais fixé ton verre vide avec un air innocent, presque enfantin et de rire un peu. Tu voulais pas l’avouer mais il fallait que tu manges, la vodka-martini commençait lentement à faire effet et tu savais pertinemment que ça ne serait pas ta dernière. Il fallait donc que tu manges avant que l’alcool délie un peu trop ta langue. Tu fis signe alors au serveur qui s’approcha lentement avant d’arriver à votre table. « Mettez moi une Vodka-Martini et puis un risotto » Tournant les yeux vers ton compagnon pour qu’il prenne sa commande aussi tu repris. « Apportez nous une bouteille de vin français si vous avez. On aime bien la France » Le serveur était parti, tu n’avais pas quitté César des yeux, un petit sourire malicieux aux lèvres, joueuse. Toi aussi tu pouvais placer des allusions à votre précédente rencontre Parce qu’au fond t’étais une enfant. Parce que t’avais aussi envie de le tester de voir les limites jusqu’où tu pouvais aller. « toute bonne soirée mérite une bouteille non ? Et puis qui sait on pourrait nous apporter celle qu’on avait bu il y a un an » Oui la coïncidence serait trop belle.
roller coaster
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Re: come on to me now (Cesar)
Dim 12 Fév - 12:07



COME ON
TO ME
NOW.

La négation plutôt vive de la belle Eurydice lui arracha un sourire bien plus grand que les précédents. Visiblement, il ne faisait pas partit du lot et cela le comblait largement. Ses yeux ne quittaient pas le visage doux de la belle demoiselle. L’italien aurait pu lui faire remarquer que ses joues étaient légèrement roses mais il ne dit rien. Cesar préférait garder ce moment précieusement sans le briser parce que cette couleur la rendait encore plus irrésistible. Elle avait fait voler en éclat tout ce qu’il avait promis à son épouse, à madame Wislon qui devait en ce moment même l’attendre dans leur appartement, le maudissant de ne pas l’avoir prévenu qu’il rentrerait tard malgré son retour récent d’un voyage plutôt long. Mais, il s’en moquait. Il était avec celle qui lui faisait tourner la tête. Pourtant, il en côtoyait, des belles femmes, des actrices prêtes à tout pour avoir le succès. Et c’était Eurydice qui l’avait fait craquer, qu’il avait eu envie de posséder jusque dans une chambre d’hôtel presque toute la nuit avant de filer le lendemain matin, n’arrivant pas à regretter son geste alors qu’il avait observé pendant un moment la belle endormie contre lui.

Cesar hocha la tête en écoutant la jeune femme avant de rire un peu et de soupirer. « En effet, je ne sors presque jamais. Ce soir fait exception va-t-on dire. Et quelle exception. » Il rit encore une fois avant de serrer un peu plus la main de la belle demoiselle dans la sienne. L’homme remarquait bien le regard baladeur de son invitée, lui arrachant un sourire charmeur en voyant bien que l’effet de la première soirée se reproduisait aussi pour cette douce créature. « Je pourrais même te raccompagner jusqu’à ton lit pour veiller sur ton sommeil. En tout bien tout honneur. » Léger clin d’œil, le producteur eut un petit sourire alors qu’il finit son verre et qu’il laissa la demoiselle s’occuper de sa commande. Lui, hésita un instant mais finalement, il demanda au serveur le plus simplement du monde. « Un whisky et un risotto également. » Il eut un léger sourire, une lueur taquine dans les yeux lorsqu’il entendit la jeune femme commander une bouteille de vin français. Visiblement, elle était aussi joueuse que lui ce qui lui convenait parfaitement. Cesar hocha la tête avant de se rapprocher légèrement de la jeune femme.

« Reste à voir si la soirée se finira de la même manière que l’année dernière ou si nous lui donnerons une tournure différente. » Le serveur revint rapidement, débouchant la bouteille de vin, la même mais d’une année différente puis il la fit goûter à Cesar qui hocha la tête, satisfait du goût qui chatouillait son palais. Le garçon versa le liquide carmin dans leurs verres puis il déposa le récipient sur la table avant de s’éclipser. Le producteur leva le verre de vin avant de tendre celui-ci pour le faire tinter contre celui de son invitée. « Mademoiselle Banner, je suis plus que ravis de passer un nouveau moment avec vous. » Il porta le vin à ses lèvres avant de laisser le serveur poser les assiettes devant eux. « Alors, dis-moi, tes études ? Tu en as encore pour longtemps ? Tu vis seule dans cette grande ville ? » Attrapant la fourchette posée à côté de son assiette, il commença à goûter le repas qu’ils avaient commandés. C’était un délice, parfaitement assaisonné et relevé. L’homme n’avait cependant d’yeux que pour Eurydice, il désirait en apprendre un peu plus sur la belle, la dernière fois avait été un peu trop pressée pour qu’ils puissent réellement apprendre à se connaître autrement qu’en un corps à corps puissant et passionné.

EXORDIUM.
Anonymous

Invité

Re: come on to me now (Cesar)
Dim 12 Fév - 16:46


Going under cast
a spell just say the word


L’image de César en pyjama dans son lit à vingt une heure te traversa l’esprit et tu ne pus réprimer un léger rire, amusé. « T’es un peu un  vieux quoi, faut pas t’aider à manger j’espère » l’humour ça te rassurait un peu . Ça te donnait cette impression de garder la situation bien en main même si dans ce cas précis, tu avais l’impression d’être un putain de funambule aux yeux bandés. Le fait qu’il parle de te ramener jusqu’à ta chambre t’arracha une légère moue mi-dubitative, mi-amusée. « bien entendu en tout bien, tout honneur » Vous n’étiez pas crédible. Mais alors pas du tout. L’éventualité de finir la soirée chez toi en revanche ne te dérangeait pas plus que ça, bien au contraire et sans doute si tu te serais écouté vous y seriez sûrement déjà chez toi, mais ce petit jeu de sous-entendu t’amusait sans doute un peu trop pour que tu y songes à y mettre fin. « Ne gâchons pas la surprise de comment va finir la soirée, tout est possible. » tu lui avais lancé un regard attendu avant qu’une pensée te traverse l’esprit. Et s’il était ce genre d’hommes, de ceux que tu rencontres dans un bar, tard le soir, qui t’offre un verre ou deux et qui finissent dans tes draps pour partir au petit matin sans te donner de nouvelles. Ce que tu avais l’habitude de faire toi quelque part, les soirs où tu sortais un peu trop tard. Le serveur vint te sortir de tes pensées alors qu’il arrivait avec vos deux plats et que tu vis César lever son verre vers toi, l’instant d’après. « Je suis ravie de passer un bon moment avec vous aussi Monsieur Wilson, la soirée n’aurait pas pu prendre un meilleur tournant » Tu trinquais à ton tour sans le quitter des yeux et puis tu finis par boire quelques gorgées de ton verre de vin. Le liquide vint réchauffer ta gorge et tu plantas ta fourchette dans le plat devant toi, remerciant le ciel de pouvoir enfin te mettre quelque chose dans l’estomac autre que liquide qui de surcroît était divin.

« Je … suis en dernière année d’école vétérinaire, il me reste quelques mois après je verrais, je suppose. » Tu n’y avais jamais vraiment réfléchi à l’après. Tu ne savais pas te projeter. Tu ne l’avais que rarement fait, tu n’étais pas le genre à avoir un plan établi pour ta vie pour les dix ans venir, tu n’avais pas de plan établi pour les trois jour à venir. Tu pris une nouvelle bouchée avant de reprendre. « Seule oui. Enfin mes parents ne sont pas loin mais oui je vis seule, mais les grandes villes ne m’ont jamais vraiment impressionnées, j’en ai connu d’autres » C’était étrange. Ce n’était pas ton genre de parler aussi facilement. Aussi rapidement. t’aimais garder un peu un peu de mystère. Mais tout te paraissait naturel et simple avec le bel italien. Tu n’avais pas ta réserve habituelle, cette barrière que tu aimais mettre entre toi et ses hommes qui avaient partagé des instants de vies et ton lit pour la plupart. Parce que tu savais que rien n’allait durer ou parce que tu n’avais pas envie que ça dure, tu n’attendais rien, tu vivais simplement. Et il était arrivé avec ses putains de gros sabots, comme un éléphant dans un magasin de porcelaine, ça avait bref, trop bref sans doute. Mais le trentenaire avait ce truc, ce truc que tu pouvais pas expliqué. Pas encore. « Et toi alors que fais tu pour devoir partir en Chine plusieurs jours et ne jamais prendre de vacances ? » t’avais cette curiosité sincère, cette envie de gratter la surface de cet homme, de voir ce qu’il y avait derrière cette apparence presque brute, d’homme fort, viril et sur de lui qu’il se donnait, tu aurais pu passer la nuit à l’observer et à l’écouter.
roller coaster

Re: come on to me now (Cesar)



come on to me now (Cesar)
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