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Anonymous

Invité

(f) prismastra
Lun 30 Jan - 21:48


prismastra
21 ans - La Citadella - célibataire - Suki Waterhouse

#literature #outerspace #chill #cocooning #fashion

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je suis plutôt...
candide - rêveuse - douce -  câline (pour ne pas dire pot de glue) - gentille - souriante - tolérante - taquine - futée - fouineuse - puérile - boudeuse - susceptible - rancunière - capricieuse - jalouse - possessive

Yeux : d'un brun quelconqueProfession : étudiante en lettres
Cheveux : blondsAlcool : en soirée
Mensurations : 1m74, 54 kg, normaleTabac : tolère la fumée
Style : éclectique, chiné en friperies (de luxe)Alimentation : mange de tout
Origines : inconnues, probablement européennesPéchés mignons : la bouffe asiat' - couleurs pastels
Sexualité : hétérosexuellePetits plus : tatouages, bien que discrets
Musiques
1. Ruby - twenty øne piløts
2. Where Is My Mind - Pixies
3. Video Games - Lana Del Rey
4. Zombie - The Cranberries
5. Stay High - Tove Lo
Films
1. Dirty Dancing
2. Arrête-moi si tu peux
3. Terrain d'entente
4. Coup de foudre à Notting Hill
5. Forrest Gump
Livres
1. Orgueil et Préjugés
2. Gatsby le Magnifique
3. Les Liaisons dangereuses
4. Le Songe d'une nuit d'été
5. Peter Pan
Passions diverses
1. Lire
2. M'allonger nonchalamment sur mon lit et rêver
3. Ecrire
4. La mode
5. Ce qui se passe au-dessus de nos têtes, dans le ciel
à propos de moi

Quel est votre meilleur souvenir ? J’aimerais pouvoir te dire que mon plus beau souvenir remonte au jour où ceux que je considère désormais comme mes parents ont pris la décision de m’adopter, mais ce serait mentir. J’étais en réalité âgée d’à peine trois mois, et tu sais aussi bien que moi que l’on oublie tout de cet âge premier. Cela n’empêche que c’est probablement la meilleure chose qui me soit arrivée au cours des vingt-et-une dernières années. Mais si je dois replonger dans les méandres de ma mémoire… Si je dois conter un moment dont je me souvienne, c’est sur une soirée du mois de décembre que se portera mon choix. Cette soirée était des plus banales, en soi : ce n’était rien de plus qu’un réveillon, comme il y en a tous les ans par millions, à travers le monde tout entier. Mais celui-ci était spécial – de mon point de vue, tout du moins. Quelque chose dans l’ambiance enchantée de ce Noël l’a rendu particulièrement heureux, luxuriant, presque naïf à mes yeux. Le repas était copieux, les tenues et la décoration sublimement festifs, mais le plus important… le plus important tenait simplement à la présence de ma famille à mes côtés, aussi cliché que cela puisse sembler. Nous étions purement et simplement réunis tous ensemble pour l’une des dernières soirées de l’année, ensemble et heureux. Et c’est le plus beau cadeau qu’il soit… même si, je l’admets, la machine à écrire que m’ont offerte mes pa… pardon, le père Noël ce soir-là constituait tout de même un cadeau de choix. Je l’utilise toujours aujourd’hui lorsque je ne note pas mes histoires dans mes nombreux carnets, ne serait-ce que pour embêter mon grand frère adoré. Car oui, en plus de te défoncer littéralement les doigts, cet engin fait également un boucan monstrueux. Et c’est juste jouissif.

Votre plus grand rêve ? Des rêves, j’en ai des tas – en même temps, lorsque l’on passe comme moi le plus clair de son temps la tête dans les nuages, c’est plutôt inévitable. Visiter des contrées qui me sont encore inconnues, faire publier ma prose – pourquoi pas, après tout ? –, rencontrer l’âme sœur… Mais le rêve qui me tient le plus à cœur, c’est probablement d’aller dans l’espace. Tu peux rire, je t’en prie. Je sais que c’est un rêve de petit garçon que de devenir astronaute, mais je n’en demande pas tant. Oh, bien sûr, lors de ma période de préadolescence, quand je me cherchais et que j’étais encore un peu moins réaliste qu’aujourd’hui, j’ai souhaité faire des expéditions dans le cosmos mon métier. Mais je n’ai pas tardé à comprendre que je n’avais pas les compétences nécessaires pour cela, et que, à moins de fournir un travail et des efforts considérables, je ne les aurais jamais. Et… comment dire ? J’ai un peu de mal avec la notion d’effort, me décourageant assez vite. Assez en tout cas pour ne pas avoir la persévérance nécessaire pour réaliser un rêve de petite fille. Aujourd’hui, j’aimerais simplement faire un tour dans l’espace. Cette possibilité se concrétise, mais demande une certaine somme et une préparation physique spécifique, donc je pense que cela attendra encore un peu. Néanmoins, je me dois de faire cela un jour. Cela doit être tellement incroyable que de pouvoir découvrir de ses propres yeux ce monde inconnu, que rien de terrestre n’égale…

Avez-vous des peurs ou des phobies ? Lorsque, comme moi, tu n’as jamais connu tes parents ; lorsque ta mère s’est délestée de ta garde sitôt expulsée hors d’elle ; lorsque ta vie a débuté par un abandon, tu ne peux que craindre d’être abandonnée de nouveau. Encore et encore. Des géniteurs jamais rencontrés, de nombreuses questions restées sans réponses. Pourquoi m’avoir laissée ? Suis-je le triste résultat d’un viol ? D’un coup d’un soir mal protégé ? Ou simplement d’un couple trop jeune, d’un père trop lâche qui a mieux aimé fuir que d’assumer ses responsabilités et élever sa progéniture ? Pourquoi m’avoir abandonné sans même m’avoir laissé le temps de faire mes preuves, de leur prouver que je pouvais constituer plus qu’un poids dans leur vie ? Plaies ouvertes dans ce cœur pur d’enfant, plaies qui n’ont jamais appris à cicatriser, qui laissent de nombreuses séquelles aujourd’hui encore. Mes proches ont beau me prodiguer tout l’amour du monde, la crainte d’être abandonnée n’a jamais cessé de me hanter, de me ronger. Crainte que je tente de dissimuler au mieux aux yeux des gens que j’aime, crainte qui n’en reste pas moins mon pire cauchemar. Vision d’horreur que de me voir délaissée par mon entourage tout entier, âme isolée au cœur d’une pièce terriblement vide. Car, cessons de nous voiler la face deux minutes, je t’en prie : nos proches peuvent toujours trouver mieux que nous, et tu le sais tout aussi bien que moi.

Êtes-vous plutôt sportive ? Peut-on considérer le sommeil comme un sport ? Non ? Je vois… Le fait de paresser des heures durant sur son lit non plus, j’imagine ? C’est bien ce que je pensais. Dans ce cas, je suis tout sauf sportive. Je suis au contraire plutôt casanière. Attention, j’aime la nature, les fleurs et les grandes étendues d’eau, les ciels nocturnes et les papillons ; seulement, j’aime encore mieux me glisser sous la couette avec un bon roman et un mug de chocolat chaud. C’est ce qui constitue, selon moi, une après-midi réussie. Quoique, maintenant que j’y pense… J’adore également chiner dans les boutiques vintage de la ville, seule ou accompagnée. Et qui a dit que le shopping ne constituait pas un sport ? Je ne vois que cela qui puisse expliquer que je grossisse aussi peu.

Quel événement de votre vie vous a le plus marqué(e) ? Je devais avoir neuf ans, tout au plus – et Dieu sait que nos souvenirs ont tendance à se flouter avec le temps – mais je m’en rappelle avec une exactitude presque effrayante. Pendant les vacances, nos parents nous avaient emmenés en Islande, mon frère et moi – le genre de destination qui en fait rêver plus d’un, mais que nous avons rapidement appris à considérer comme lambda, ayant été habitués dès notre plus jeune âge à nous rendre fréquemment à un bout ou l’autre du monde. Ce voyage m’a marqué, comme tous les autres que nous avons fait – les paysages étaient d’une beauté à couper le souffle, nous avons vécu des expériences uniques… Mais ce qui m’a frappé, ce qui s’est inscrit au fer rouge dans mon esprit, c’est cette soirée précise où nous avons eu la chance de voir une aurore boréale. Un phénomène rare, auquel notre statut de petits privilégiés nous a donné accès. Je me souviens avoir été saisie par la beauté de l’instant, littéralement pétrifiée par la splendeur parfaite, l’atmosphère paisible que cette manifestation exhalait. Je n’ai malheureusement pas eu la chance de revoir un spectacle pareil depuis ce jour-là ; mais je crois que c’est de là qu’est née cette fascination que j’ai pour le ciel et tout ce qui s’y trouve, des nuages aux étoiles, en passant par tous les mystères que renferme notre galaxie. Je n’ai jamais été douée en sciences, et c’est là que réside la raison pour laquelle je n’ai pas fait d’études d’astronomie ; pour autant, tout cet univers me passionne, et j’exploite depuis ce jour mes maigres connaissances en la matière pour scruter le ciel, nuit après nuit, tentant de reconnaître quelques étoiles par-ci par-là. Et lorsque les connaissances ne suffisent plus, eh bien… Je laisse libre cours à mon imagination.

Pourquoi avez-vous choisi la profession que vous exercez actuellement ? J’ai toujours adoré lire. Dès mon plus jeune âge, j’ai été séduite par la propension qu’a la littérature à nous entraîner dans de lointains paysages, parfois même de lointains univers. Cette faculté qu’elle a de nous offrir sur un plateau d’argent des personnages d’encre et de papier, des histoires toutes entières, plus ou moins complexes, plus ou moins utopiques, mais nous offrant immanquablement un moyen de nous évader de la réalité. Et je crois que c’est exactement ce que je recherche, depuis mon plus jeune âge : échapper à la réalité. Échapper à une réalité souvent inconfortable pour la gamine que je suis, qui n’a jamais su réellement prendre ses marques. Une gamine qui ne se sent jamais totalement à sa place où qu’elle soit, qui peut se laisser séduire par le charme de l’instant présent jusqu’à ce que ses démons se rappellent à son bon souvenir, ne manquant pas de la faire de nouveau se sentir de trop, comme si elle ne méritait pas la place qu’on lui offrait. Cette gamine, c’est moi. De A à Z. Et c’est dans la littérature que j’ai su trouver ma terre d’asile, seul lieu où cette sensation ne vient jamais me gagner. J’aime à me perdre dans les récits qu’elle propose, mais également analyser l’essence même du texte, et m’essayer à en écrire moi-même. Faire des études de lettres m’est donc apparu comme étant une évidence ; il n’y a que dans cette branche que je voie un possible épanouissement à long terme.

Et si vous étiez un animal ? Je pense que le chat est l’animal qui me correspond le plus. De nature assez paresseuse, il aime se prélasser à longueur de journée et, comme tu l’auras sans doute compris à la lecture des réponses précédentes, il s’agit là d’une activité que j’affectionne tout particulièrement moi aussi. C’est une bestiole très câline, qui a malgré tout un côté assez solitaire ; l’aspect affectueux de la chose me ressemble, l’aspect indépendant un peu moins. Et puis, cela ne t’est jamais arrivé de regarder un chat et de le voir fixer le vide avec une attention toute particulière, comme s’il était parti dans un autre monde ? C’est un animal calme, perdu dans son propre univers, ce qui le rend assez mystérieux par certains côtés. Pour résumer, c’est une bête qui se laisse vivre, profitant de sa vie en tentant de grappiller des caresses çà et là. Et je crois que cela me ressemble pas mal. Ce n’est pas pour rien, après tout, que j’en ai adopté deux… Moon et Pyxis, un angora et un bébé Bengal, deux demoiselles qui me tiennent compagnie au quotidien.

Depuis quand êtes-vous à Vérone ? Depuis toujours, à vrai dire. C’est inscrit sur le certificat d’adoption que j’ai trouvé dans les papiers de mes parents : je suis née à Vérone, le 15 juin 1995, dans une clinique de la ville. Malheureusement pour moi, le nom de mes géniteurs n’est pas lui aussi renseigné sur le document, pas plus que leur âge ou d’où ils venaient… C’eût été trop beau. C’est donc dans le flou artistique le plus total que j’évolue dans cette ville, sans savoir s’ils y ont vécu, s’ils y vivent encore ou pourquoi ma mère a décidé de m’y donner la vie. Ayant été adoptée par un couple de Véronais, c’est ici que j’ai grandi et que je compte bien rester, pour l’instant du moins. J’aime cette ville, l’atmosphère qu’elle dégage, et le temps m’a appris à la connaître sur le bout des doigts. C’est devenu ma maison, et je suis toujours heureuse de la retrouver au retour d’un voyage à l’étranger. Si j’aime découvrir de nouveaux territoires et les cultures qui y sont associées, il n’est nulle part où je me sente mieux qu’à Vérone. C’est du moins le constat auquel je suis arrivée après avoir passé l’année précédente en Australie, dans le cadre de mes études – période la plus longue que j’ai passée hors des limites de la ville.

Quel est, selon vous, votre plus grande qualité ? Je dirais que c’est ma gentillesse. J’estime être une personne naturellement douce, ouverte et tolérante. Je fais de mon mieux pour me montrer aussi agréable que possible, aussi bien envers les inconnus qu’envers mes proches. Enfin… En toute honnêteté, ce n’est pas vraiment une chose qui me demande des efforts particuliers. Disons plutôt que je ne vois pas l’intérêt d’être malveillante envers autrui ; cela ne fait que générer de la souffrance, et cela ne me viendrait même pas à l’idée d’ajouter à celle que le monde recèle déjà en son for intérieur. J’aime le concept de karma, qui part du principe que si l’on est bon, l’univers le sera en retour, et réciproquement. Autant d’idées qui me poussent à cultiver cette part de ma personnalité.

Et votre pire défaut ? Je suis très susceptible. Et par-là je ne veux pas dire que je prends mal certaines remarques, de temps à autre. Non, non. Je suis vraiment susceptible. Du genre à me vexer pour tout et rien, pour des critiques parfois plus destinées à me venir en aide qu’à me faire du mal. La rancune n’aidant pas, j’ai tendance à me renfermer sur moi-même et à bouder pendant un bon moment – ou, si ma mauvaise humeur ne dure pas, le souvenir quant à lui perdure, et je suis parfaitement capable de ressortir la dispute des années après. C’est assez casse-pieds à vivre pour mes proches, et ils ne manquent d’ailleurs pas de me le reprocher – ce qui me vexe, soit dit en passant, mais est-ce vraiment surprenant ? Ce n’est de toute manière pas une chose dont je me cache, bien que je tente tant bien que mal d’y remédier. Mais lutter contre sa nature est une tâche des plus ardues, j’imagine que tu le sais, aussi j’espère que tu sauras m’accepter avec mes petits défauts, de la même manière que j’accepterais les tiens.

Que pensez-vous de votre famille ? Pour te la faire courte, ma famille, c’est toute ma vie. Bien que je ne partage pas une goutte de sang avec eux, ils ont su m’accorder une place entière dans leur vie et dans leur cœur, aussi bien mes parents que mon frère, et je leur suis éternellement reconnaissante pour cela. De mon point de vue, la plupart des enfants tombent sur une famille au hasard, qui est celle qui les a engendrés et les élèvera. Mais pour les personnes comme moi, celles qui ont été délaissées par leurs géniteurs dès leur premier souffle, le hasard de la famille qui les accueillera pour les années à venir est d’autant plus grand. Elles ne grandiront pas dans LA famille qui lui a donné la vie, mais dans n’importe laquelle qui voudra d’un enfant qui n’est pas le sien. C’est la roulette russe, on peut tomber aussi bien sur le pire que sur le meilleur. C’est ce jeu de dés du destin qui détermine chez qui on passera notre enfance qui va faire de nous la personne que l’on deviendra. Et je ne pourrais être mieux tombée que sur ma famille. Elle a toujours fait en sorte que je ne manque de rien, aussi bien sur le plan matériel qu’affectif. Mes parents et mon frère sont bien les trois personnes que j’aime le plus, et en lesquelles j’ai le plus confiance sur cette Terre ; rien ne pourrait plus m’attrister que l’éventualité de les décevoir, et je serais prête à tout sacrifier pour eux.

Que pensez-vous des rencontres sur internet ? Cela m’apparaît comme étant un moyen comme un autre de faire de nouvelles rencontres, si ce n’est qu’il présente l’avantage considérable de permettre de rencontrer du monde confortablement enfoui sous sa couette. Et si ça ce n’est pas génial, je ne sais pas ce que c’est ! Cela constitue selon moi l’une des avancées majeures de notre temps, et si cela peut permettre à des personnes timides d’aller vers des gens qu’elles n’auraient jamais osé aborder en face à face, cela ne peut qu’être super ! Après, j’admets que ce n’est pas la chose la plus romantique qu’il soit… Je trouverais cela un peu triste de raconter à mes enfants, dans dix ou vingt ans, que j’ai rencontré leur père sur Internet – admets-le, c’est tout de même plus classe de dire que l’on s’est rencontrés à une soirée chez des amis, ou que l’on s’est bousculé un jour de pluie et que le coup de foudre a été immédiat… Mais bon, cela reste malgré tout un moyen qu’il serait dommage de ne pas exploiter, de mon point de vue tout du moins.

Et sinon, les réseaux sociaux, ça vous branche ? Carrément ! J’adore la possibilité que cela nous offre de pouvoir partager notre vie avec nos amis, de pouvoir leur montrer ce que l’on fait en direct, ou presque. Je pense que cela nous rapproche, dans le sens que cela nous pousse à dévoiler plus de choses sur nous-même, tel que ce que l’on aime faire, ce que l’on aime manger, les séries ou les chansons que l’on préfère… Et nous dévoiler autant permet à nos proches, ou même à nos connaissances, de trouver de plus nombreux points communs et donc de nouveaux sujets de conversations… Oui, c’est vraiment quelque chose que j’adore ! Ce n’est d’ailleurs pas pour rien si je passe une grande partie de mon temps le nez collé à l’écran de mon téléphone… Après, je dois reconnaître qu’il est des jours où, à l’inverse, je ressens le besoin de me couper de tout ça pour mieux m’isoler dans ma petite bulle. Cela dépend donc totalement de mon humeur : je peux aussi bien prendre dix snaps toutes les heures que ne pas ouvrir l’application durant une journée entière.

Que regardez-vous en premier chez un homme/une femme ? On dit que les yeux sont le reflet de l’âme, et nul constat ne pourrait être plus vrai. Tout passe par les yeux ; c’est bien la seule part de l’être humain qui ne sache mentir. Et c’est d’ailleurs la partie que je regarde en premier chez un homme. Les iris me fascinent par leur caractère unique, constituant chacun un mélange différent de nuances, d’éclats de couleurs. C’est selon moi l’une des plus belles choses contenues dans le corps humain. J’aimerais beaucoup moi-même avoir de beaux yeux, mais mes pupilles ne sont rien de plus que deux disques d’un brun sombre… sombre comme mon âme. Non, je plaisante. Mais ils sont d’une teinte quelconque, là où j’aurais mieux aimé qu’ils soient un mélange de nuances colorées. Aussi, à défaut de pouvoir m’extasier devant mes propres yeux, je m’escrime à observer ceux des autres.

Quelle est votre premier rendez-vous idéal ? Quelque chose d’assez simple, en soi. Un repas partagé dans un bon restaurant, repas durant lequel on a tout le loisir de discuter et faire connaissance, voir si le courant passe bien entre nous. Dans l’idéal la nuit, en terrasse, histoire de pouvoir profiter de la vue du ciel nocturne, et en charmante compagnie, bien sûr – j’entends par-là un jeune homme au physique plaisant, avec une certaine culture ou du moins de la conversation. Pas de premier rendez-vous au cinéma, en revanche, que je trouve un peu trop intime et qui permet trop peu de faire connaissance, à mon goût. Je réserve plutôt cela pour les fois suivantes, lorsque je connais un minimum la personne.

vous & moi

Comme la plupart des gens inscrits sur le site (ou pas), je cherche à rencontrer de nouvelles personnes, pourquoi pas dans une optique amoureuse ? Encore une fois, cela ne constitue pas selon moi le moyen le plus romantique de rencontrer l’âme sœur, mais cela ne coûte rien d’essayer. Autant multiplier les chances si on nous en offre la possibilité… Je ne pense pas être trop exigeante en matière d’hommes, en tout cas pas sur le plan physique : je fais vraiment un blocage sur le fait qu’une personne ait de beaux yeux ou non, mais à part ça… J’ai plus d’attentes au niveau de la personnalité. Je recherche un homme qui sache me faire rire, et qui ait un minium de culture, avec lequel je puisse tenir des conversations stimulantes intellectuellement, mais qui ne se prenne pas trop au sérieux pour autant. Oh, et le plus important : qu’il soit honnête. Je ne supporte pas le mensonge et la malhonnêteté, et inutile de me sortir des excuses du genre « si je t’ai menti, c’était uniquement pour te protéger ». Non. J’aime mieux entendre une vérité blessante qu’un mensonge. Je ne recherche pas l’homme parfait – même si je rêverais de trouver le prince charmant, je l’admets, je suis moi-même loin d’être parfaite. Mais s’il sait tolérer mes défauts, je saurais accepter les siens. Voilà. Alors n’hésite pas à venir à moi, mon cher !
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Re: (f) prismastra
Mer 1 Fév - 19:50


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(f) prismastra
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